b) Les usagers
Le kabu-kabu est un mode très masculin. 78% de ceux qui déclarent l’utiliser sont des hommes. Ceci est en partie lié au fait que c’est un mode utilisé par les actifs. Or, 94% des hommes qui se déclarent usagers ont une activité (scolaire ou professionnelle) qui les oblige à des déplacements réguliers, contre seulement 36% chez les femmes. D’autres explications à la faiblesse de l’utilisation de ce mode chez les femmes sont à chercher dans la religion et les traditions : la moto est un mode où l’usager est exposé aux regards et où le conducteur est un homme. Il semblerait pourtant que pour les générations plus récentes, l’usage est plus important. Le taxi-moto demeure donc encore chez les femmes un mode de ’jeunes’ (cf.graphe 27).
Graphe 27 : Répartition des usagers du kabu-kabu par âge chez les femmes et les hommes
Ainsi, si l’utilisateur moyen de kabu-kabu a 33 ans en moyenne, il existe d’importantes disparités entre les genres. Les femmes qui déclarent utiliser ce mode ont une moyenne d’âge de 27 ans, et les deux tiers d’entre elles ont entre 14 et 30 ans. Chez les hommes, la moyenne d’âge de 34 ans renferme une réalité très hétérogène : ce mode est utilisé à tous les âges, sans réelle discrimination. Une moitié d’usagers masculins a moins de 31 ans, mais 20% ont plus de 50 ans (contre seulement 4% chez les femmes).
Toutes les professions semblent utilisatrices de ce mode avec cependant une nette prédominance des commerçants qui, bien que représentant 30% de la population active, constituent près de 55% des personnes l’ayant utilisé la veille. Le kabu-kabu semble donc être un réel outil de travail pour certaines catégories d’actifs.
b) Les usagers
Le kabu-kabu est un mode très masculin. 78% de ceux qui déclarent l’utiliser sont des hommes. Ceci est en partie lié au fait que c’est un mode utilisé par les actifs. Or, 94% des hommes qui se déclarent usagers ont une activité (scolaire ou professionnelle) qui les oblige à des déplacements réguliers, contre seulement 36% chez les femmes. D’autres explications à la faiblesse de l’utilisation de ce mode chez les femmes sont à chercher dans la religion et les traditions : la moto est un mode où l’usager est exposé aux regards et où le conducteur est un homme. Il semblerait pourtant que pour les générations plus récentes, l’usage est plus important. Le taxi-moto demeure donc encore chez les femmes un mode de ’jeunes’ (cf.graphe 27).
Ainsi, si l’utilisateur moyen de kabu-kabu a 33 ans en moyenne, il existe d’importantes disparités entre les genres. Les femmes qui déclarent utiliser ce mode ont une moyenne d’âge de 27 ans, et les deux tiers d’entre elles ont entre 14 et 30 ans. Chez les hommes, la moyenne d’âge de 34 ans renferme une réalité très hétérogène : ce mode est utilisé à tous les âges, sans réelle discrimination. Une moitié d’usagers masculins a moins de 31 ans, mais 20% ont plus de 50 ans (contre seulement 4% chez les femmes).
Toutes les professions semblent utilisatrices de ce mode avec cependant une nette prédominance des commerçants qui, bien que représentant 30% de la population active, constituent près de 55% des personnes l’ayant utilisé la veille. Le kabu-kabu semble donc être un réel outil de travail pour certaines catégories d’actifs.