2.1.3 L’au-delà de l’EPS et le problème de la vie physique en EPS

Les écrits rédigés avant la mise en place de l’arrêté du 24 mars 1993 ont essentiellement trait à une visée relative à la « vie physique », pour un au-delà de l’EPS
Les formulations relatives à la « vie physique » d’un échantillon d’écrits rédigés avant que ne paraisse l’arrêté du 24 mars 1993 ont été étudiées634. Il est question de neuf écrits, qui comportent au total dix-huit formulations qui se répartissent en dix catégories. Il est seulement cinq formulations, qui se répartissent en trois catégories et en cinq écrits, en lesquelles il est question de « vie physique » sans rapport explicite au temps. Elle est envisagée pour ce qui est du futur en deux formulations, relevant de deux catégories et qu’on trouve en deux écrits. Il s’agit, par exemple, de : ‘« l’organisation de la vie physique de l’adulte ’»635. Toutes les autres formulations ont rapport à la « vie physique » pour le présent et pour le futur. Il en est onze de la sorte, qui relèvent de cinq catégories différentes et se répartissent en sept écrits. On a, notamment : « ‘gérer sa vie physique aux différents âges de son existence’ »636. Il s’avère, en outre, que la catégorie de formulations « O / P / p+f » est la plus fréquemment utilisée. Il est question, par exemple, de : ‘« l’organisation de sa vie physique aux différents âges de son existence’ »637. Il y a, au total, six formulations de cette catégorie ; cinq écrits en comportent au moins une. La plupart des formulations considérées a ainsi trait à la « vie physique » envisagée pour le futur. On observe, de plus, qu’elles sont essentiellement utilisées en un propos qui a trait à une visée de l’EPS, relative la « vie physique ». Il est ainsi principalement question, dans les écrits considérés, d’une visée concernant la « vie physique », pour un au-delà de l’EPS.

Les textes officiels considérés contiennent essentiellement des formulations en lesquelles la « vie physique » n’a pas rapport au temps
Les programmes et textes officiels récapitulant les modalités d’organisation des examens qui ont paru au cours des années quatre-vingt-dix, ont trait à l’EPS et à la « vie physique » sont au nombre de sept. Ils renferment un total de quatorze formulations relatives à la « vie physique », qui relèvent de sept catégories638. Parmi elles, il en est treize qui ont rapport à la « vie physique » sans que celle-ci n’y soit envisagée au regard du temps. Elles se distribuent en six catégories ; chaque texte officiel considéré en comprend au moins une. On a ainsi, dans la circulaire du 12 janvier 1993 : « la gestion de la vie physique »639. Il est seulement une formulation à avoir trait à la « vie physique » en relation au temps. On la trouve dans l’arrêté du 24 mars 1993 : « ‘l’organisation de sa vie physique aux différents âges de l’existence’ »640. Cette formulation vaut au plan de l’énoncé de l’un des « ‘objectifs généraux de l’éducation physique et sportive’ ». Il est à noter que trois formulations sont présentes dans l’énoncé d’une visée de l’EPS. Il en est ainsi deux sur trois en lesquelles la « vie physique » n’est pas envisagée explicitement en rapport au temps. C’est le cas de la formulation : « organiser la vie physique »641. C’est ainsi que l’essentiel des formulations relatives à la « vie physique » n’ont pas explicitement rapport à un au-delà de l’EPS. Cette constatation contraste dès lors avec ce qui a été observé au plan d’écrits produits avant que ne paraisse le premier texte officiel considéré.

Les écrits rédigés dans la période d’application de l’arrêté du 24 mars 1993 ont essentiellement trait à la « vie physique », au regard d’un au-delà de l’EPS
Qu’en est-il au plan des écrits rédigés après la mise en place de l’arrêté du 24 mars 1993 ? Un premier ensemble d’écrits regroupe ceux qui ont été produits dans la période d’application de l’arrêté du 24 mars 1993642. Un échantillon de douze écrits, qui émanent de dix sources différentes, a été pris en compte. C’est un total de soixante-treize formulations relatives à la « vie physique » que contiennent ces écrits. Elles se distribuent en quinze catégories de formulations. Il apparaît que trente formulations n’ont pas explicitement rapport au temps. Celles-ci relèvent de six catégories, présentes en huit écrits qui proviennent de sept sources. On a, par exemple, la formulation : « gestion de la vie physique »643. On observe aussi qu’il est six formulations en lesquelles la « vie physique » est envisagée pour le futur. Elles représentent trois catégories, se trouvent en quatre écrits émanant de quatre sources distinctes. On compte notamment parmi elles la formulation : « ‘gestion de la vie physique future’ »644. Les formulations restantes concernent la « vie physique » pour le présent et le futur. Elles sont au nombre de trente-sept. Elles se répartissent en neuf écrits qui proviennent de huit sources. L’une d’elles est la formulation : « ‘l’organisation de sa vie physique aux différents âges de l’existence’ »645. En outre, l’emploi de la plupart des formulations examinées vaut au regard de l’objectif général concernant la « vie physique » qu’indique l’arrêté du 24 mars 1993. C’est ainsi que l’essentiel des formulations considérées a rapport à un au-delà de l’EPS.

Les écrits rédigés après l’abrogation de l’arrêté du 24 mars 1993 ont essentiellement trait à la « vie physique », au regard d’un au-delà de l’EPS
Un second ensemble d’écrits est constitué de ceux qui ont été rédigés après l’abrogation de l’arrêté du 24 mars 1993. Un échantillon de huit écrits, provenant de six sources a été étudié646. On y trouve trente-cinq formulations relatives à la « vie physique », qui représentent treize catégories. Il apparaît que vingt-six formulations ne mettent pas explicitement en relation la « vie physique » et le temps. On les trouve en sept écrits. Il est à noter, cependant, que trois d’entre eux proviennent d’une même source. Or, ces écrits contiennent seize des vingt-six formulations envisagées. Cela relativise le poids de ces formulations dans l’ensemble de celles qui sont examinées. Il est à observer, en outre, que ces formulations ont généralement rapport à un au-delà de l’EPS. C’est ainsi que les dix-huit formulations d’un des écrits concernés ont rapport aux « pratiques d’entretien corporel » des « ‘adultes sortis du système scolaire’ »647. Sur les dix formulations restantes, quatre concernent la « vie physique » pour ce qui est du futur, les cinq autres, pour ce qui concerne le présent et le futur. On les trouve en quatre publications qui émanent de quatre sources. C’est ainsi qu’il est dix formulations, en lesquelles il est question de « vie physique » au regard d’un au-delà de l’EPS. Celles-ci sont réparties en cinq écrits produits par quatre sources. Il s’avère ainsi que les formulations prises en compte ont principalement trait à un au-delà de l’EPS. Certains textes sont même susceptibles d’avoir à ce niveau valeur emblématique, par exemple : « ‘Quelle contribution de l’EPS pour quelle vie physique ultérieure’  ? »648

L’examen des formulations relatives à la « vie physique » accrédite l’idée que le problème de la « vie physique » en EPS a rapport à l’au-delà de l’EPS
Il est ainsi une constatation quant aux formulations relatives à la « vie physique » des écrits qui ne sont pas textes officiels. La « vie physique » est envisagée, pour l’essentiel de ces formulations, au regard d’un au-delà de l’EPS. Or, il s’avère qu’il n’en est pas ainsi au plan des textes officiels. Il est principalement, en ceux-ci, des formulations en lesquelles la « vie physique » vaut sans rapport explicite au temps. On peut dès lors considérer qu’on a affaire à une lecture interprétative des textes officiels. Il est, au demeurant, à noter que le premier de ceux-ci à paraître contient la seule formulation concernant un au-delà de l’EPS. Elle apparaît, dans l’arrêté du 24 mars 1993, au plan de l’énoncé d’un objectif général de l’EPS. Cela a pu jouer quant à la réflexion quant à la « vie physique » en EPS. L’étude des formulations présentes dans les écrits examinés a, par ailleurs, conduit à statuer quant à la question de la « vie physique » en EPS. Elle est apparue réflexion à un enseignement idoine à une EPS ayant visée en matière de « vie physique ». On peut ainsi envisager que cette réflexion vaut au regard d’une visée concernant un au-delà de l’EPS. Certains textes, comportant l’une des formulations relatives à la « vie physique » examinées, y invitent directement. On a, par exemple : ‘« Enfin, pressée par les modifications profondes des moeurs et des rythmes de vie, l’EPS devait se prononcer sur les connaissances relatives à l’organisation de la vie physique de l’adule.’ »649 On a, aussi : « ‘L’école prépare-t-elle les adultes de demain à bien gérer leur vie physique ?’ »650 Ou encore : « ‘Quels obstacles rencontrent les enseignants d’EPS lorsqu’ils tentent de transmettre la gestion de la vie physique à tous les âges de la vie ? ’»651...

L’examen des propos des représentants de l’institution accrédite l’idée que le problème de la « vie physique » en EPS a rapport à l’au-delà de l’EPS
Qu’en est-il de l’au-delà de l’EPS au plan des propos des représentants de l’institution quant à la « vie physique » ? Ceux de trois d’entre eux ont été particulièrement considérés. A. Hébrard considère que « ‘la gestion de la vie physique future, terminologie contemporaine’ » a rapport à la finalité « utilitaire » de l’EPS652. Lorsqu’il envisage les origines de cette visée, il indique : « ‘Ce qui est visé est la préparation à un métier, à une fonction sociale qui peut être la défense du pays.’ » Il envisage aussi cette visée utilitaire à la lumière de l’actualité de l’EPS. Elle concerne, selon lui, « ‘le développement de pouvoirs d’action immédiats et différés (gérer son capital corporel et physique, finalité utilitaire, personnelle ou sociale voire professionnelle)’ »653. Lorsque G. Klein considère la question de la « vie physique » pour ce qui est de l’EPS française, il indique qu’il est question d’un « ‘bien-être à conquérir’ »654. Il précise : cette ‘« conception doctrinale [...] se situerait plutôt sous l’angle d’un bien-être à conquérir, c’est-à-dire dans une visée temporelle qui anticipe sur la vie future. [...] est sous-jacente l’idée d’une construction perpétuelle’ . » C. Pineau, enfin, envisage que la mise en place d’une EPS ayant visée relative à la « vie physique » concerne « ‘la possibilité de mieux gérer sa vie physique aux différents âges de son existence’ »655. C’est ainsi qu’il est question, pour A. Hébrard, G. Klein ou C. Pineau d’une EPS relative à la « vie physique » pour un au-delà de l’EPS. Il est à noter que les propos d’autres représentants de l’institution ne les démentent pas656.

L’examen des enquêtes accrédite l’idée que le problème de la « vie physique » en EPS a rapport à l’au-delà de l’EPS
La question de la « vie physique » est-elle, aussi, celle de l’au-delà de l’EPS au plan des enquêtes concernant les propositions d’enseignement ? Trois enquêtes ont été prises en considération. Celle qu’a faite R. Dhellemmes en 1993 fait apparaître que les personnes interrogées mettent en question la « formation au SGVP » au plan de l’au-delà de l’EPS. On peut en effet lire : « ‘plusieurs collègues soulignent le problème du réinvestissement ; ce qui est implicitement appris sera-t-il réutilisé dans la vie future ?’ »657 La même remarque vaut pour ce qui est de l’enquête qu’a réalisée G. Cogérino en 1993. Elle inventorie en effet, au plan des obstacles relatifs à la « GSVP », les « ‘problèmes du futur’ »658. Elle indique : « ‘l’élève actuel et l’adulte ultérieur sont bien loin de présenter les mêmes attentes ’». Cela souligne la difficulté pour l’élève de ‘« concevoir qu’il lui est nécessaire de s’approprier des savoirs ou savoir-faire qui trouveront leur sens [...] alors qu’il aura quitté le système scolaire depuis un certain temps’ ». G. Cogérino a conduit une autre enquête en 1995. Le compte-rendu de celle-ci montre que la « ‘focalisation sur la gestion de la vie physique ’» est, pour quatre-vingt-onze pour cent des personnes interrogées, ‘« essentielle [...] pour l’élève lui-même et son bien-être ultérieur’ »659. C’est ainsi que l’examen de ces trois enquêtes accrédite l’idée que la question de la « vie physique » correspond à celle de l’au-delà de l’EPS. D’autant que les personnes interrogées relèvent de corps différents. Il s’agit d’IPR-IA en EPS dans l’enquête de R. Dhelemmes et d’enseignants d’EPS dans celles de G. Cogérino.

L’examen des essais de catégorisation accrédite l’idée que le problème de la « vie physique » en EPS a rapport à l’au-delà de l’EPS
Qu’en est-il des trois tentatives de mises en catégories des propositions d’enseignement concernant la « vie physique » en EPS considérées ? Ce sont huit conceptions que G. Cogérino a inventoriées. Il est question, selon elle, pour la conception « ‘préventive et sécuritaire », d’« apprentissages pour aujourd’hui et demain ’»660. Il s’agit, pour ce qui est de la première dimension de la conception « méthodologique », d’« apprentissages pour demain ». Au plan de la seconde, « ‘apprendre à gérer sa vie physique est ici d’abord apprendre à maîtriser les manifestations perturbatrices liées au stress [...] en situation d’examen, d’entretien professionnel, de compétition sportive’ ».661 G. Cogérino indique, à propos de la conception « ‘relationnelle et d’insertion » : « Il importe [...] que l’élève [...] sorte du système scolaire sans avoir été découragé de la pratique physique’ ». Elle observe, pour ce qui est de celle qui a trait à « ‘la pratique physique comme style de vie » : « La gestion de sa vie physique est ici indispensable pour assurer des conditions saines de vie’ ». Elle note, en outre, que la conception relative à la « dimension “sportive” » a rapport à « ‘la pratique assidue et volontaire du contexte non scolaire’ ». Elle considère, de plus, que la conception « maximaliste » est relative à des apprentissages « ‘Pour demain dans la vie’ »662. La conception « pragmatique » ayant trait, elle, à des acquisitions « ‘Pour demain de l’adolescent d’aujourd’hui’ ». G. Klein, pour sa part, a repéré trois catégories de propositions quant à la « vie physique » en EPS. Il annonce, à propos de la modalité concernant « l’entretien d’un capital », qu’il s’agit de « ‘résister à toutes les épreuves présentes ou futures’ »663. Il signifie que la deuxième modalité est, quant à elle, relative à un « bien-être global ». La troisième, qui a trait à « un bien-être à conquérir », a selon lui pour objet d’anticiper « sur la vie future »664. Les trois perspectives qu’a identifiées G. Bonnefoy sont, enfin, à considérer. Il en est une qui concerne notamment, d’après lui, l’apprentissage de « principes utiles » 665. Ses commentaires quant aux deux autres posent, en outre, le problème du « réinvestissement »666.

Pour la détermination de ce qui fait que la question de l’au-delà de l’EPS pose problème
C’est ainsi que les tentatives de catégorisation examinées accréditent l’idée que la question de la « vie physique » en EPS a rapport à l’au-delà de l’EPS. Cette constatation vaut pour ce qui est des enquêtes considérées, quant à ce qui, dans l’enseignement de l’EPS, concerne la « vie physique ». L’examen de ces deux types de travaux signifie, en outre, que la question de l’au-delà de l’EPS est de nature à faire problème. Ainsi, G. Bonnefoy indique-t-il, à propos de la ‘« perspective 2 » : « Les chances d’un réinvestissement dans une vie d’adulte sont minimes’ »667. Il s’interroge quant à la « perspective 3 », en ces termes : « ‘Qu’est-ce que l’élève apprend en EPS et qui lui est utile, qui sera utilisé dans sa vie d’adulte ’ ? » L’enquête de R. Dhellemmes montre, en outre, que plusieurs IPR-IA interrogés « ‘soulignent le problème du réinvestissement’ »668. L’enquête qu’a faite G. Cogérino en 1995 révèle que la quasi totalité des enseignants interrogés jugent qu’il est question du « bien-être ultérieur » de l’élève. Ceux qui l’ont été à l’occasion de son enquête de 1993 posent les « problèmes du futur » comme obstacle à l’enseignement de la « G.S.V.P. ». Il apparaît, par surcroît, que ces observations sont cohérentes avec ce que l’analyse des formulations relatives à la « vie physique » donne à penser. Celles-ci ont en effet, dans les écrits qui ne sont pas textes officiels, essentiellement trait à un au-delà de l’EPS. La question de la « vie physique » apparaît, dès lors, en tant que question d’un enseignement de l’EPS pour un au-delà de l’EPS. Or, l’analyse des données ainsi rapportées conduit à considérer que la question de la « vie physique » fait problème. On peut alors envisager qu’il est question du problème de l’au-delà de l’EPS. Cela est confirmé par l’étude des conceptions relatives à la « vie physique » en EPS. Ce qui vaut, en celles-ci, en tant que visée, concerne un au-delà de l’EPS. Ce dernier est conçu, en chacune, de façon particulière. Toutes correspondent à des acquisitions visées qui sont censées valoir au-delà de l’EPS. Celles-ci sont définies de manière spécifique à chacune. Il en va, dès lors, de points de vue divergents quant aux mises en oeuvre. C’est ainsi que la question de l’au-delà de l’EPS vaut en tant que dénominateur commun des conceptions en présence.

Notes
634.

Voir l’étude n° 1

635.

Pineau (C.), EPS, discipline d’enseignement, Revue EPS, n° 205, mai-juin 1987, p. 23

636.

Pineau (C.), Programmes et savoirs en EPS, Revue EPS, n° 216, mars-avril 1989, p. 25

637.

Par exemple :

Pineau (C.), Introduction à une didactique de l’éducation physique, Dossiers EPS, n° 8, 1991, p. 13

638.

Voir l’étude n° 1

639.

Par exemple :

Circulaire n° 94-007 du 12/01/1994, EPS, Epreuves aux baccalauréats, BEP et CAP, BO n° 3 du 20/01/1994, p. 240, 241

640.

Arrêté du 24/03/1993, Epreuves d’éducation physique et sportive aux baccalauréats, brevets de techniciens, brevets d’études professionnelles et certificats d’aptitude professionnelle, BO n° 24 du 08/07/1993, p. 1999

641.

Arrêté du 22/02/1995, Op. Cit., p. 43

642.

Voir l’étude n° 1

643.

Par exemple :

Paris (B.), L’école prépare-t-elle les adultes de demain à bien gérer leur vie physique ?, in : Le corps à l’école, Apprentissage et développement, Actes du colloque, 30 septembre et 1er octobre 1994, Saint Jacques de la Lande, Dossiers EPS, n° 22, 1995, p. 32

644.

Par exemple :

Hébrard (A.), A toutes fins utiles, in : René (B.-X.), Op. Cit., p. 48

645.

Par exemple :

Dersoir (G.), A quoi sert l’éducation physique et sportive dans le système éducatif français ?, in : René (B.-X.), Op. Cit., p. 44

646.

Voir l’étude n° 1

647.

Cogérino (G.), Op. Cit., p. 5

648.

Cogérino (G.), Quelle contribution des enseignants d’EPS à la santé ?, in : Comité d’Etudes et d’Informations Pédagogiques de l’Education Physique et du Sport, Rencontres Chercheurs / Praticiens, Actes des journées nationales 27-28-29 septembre 1996, Dossiers EPS, n° 35, 1997, p. 57

649.

Pineau (C.), EPS, discipline d’enseignement, Revue EPS, n° 205, mai-juin 1987, p. 23

650.

Paris (B.), Op. Cit., p. 28

651.

Comité d’Etudes et d’Informations de l’Education Physique et du Sport, Rencontres Chercheurs / Praticiens 1995-1996, Créer le dialogue entre chercheurs et praticiens, Journées nationales, 27-28-29 septembre 1996, INJEP – Marly-Le-Roy, Revue EPS, n° 263, janvier-février 1997, p. 59

652.

Hébrard (A.), Op. Cit., p. 48

653.

Ibid., p. 49

654.

Klein (G.), Entretien avec G. Klein, in : Association des enseignants EPS, Op. Cit., p. 90

655.

Pineau (C.), Programme et savoirs en EPS, Revue EPS, n° 216, mars-avril 1989, p. 25

656.

Il s’agit de :

Malvezin (G.), Une nouvelle étape pour l’EPS, Revue EPS, n° 250, novembre-décembre 1994, p. 9

Malvezin (G.), Un nouveau contrat pour l’E.P.S., in : CRUISE, Colloque international, A quoi sert l’éducation physique et sportive ?, Document préparatoire, CRUISE, CUFEP, 1995, p. 22

Rouziès (C.), Réflexions sur les finalités et les objectifs de l’EPS, Revue EPS, n° 260, juillet-août 1996, p. 72

657.

Bonnefoy (G.), Contextualisation du thème et problématique de l’université d’été, in : Amicale des enseignants EPS, Op. Cit., p. 15

658.

Cogérino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, p. 21

659.

Cogérino (G.), Gérer sa vie physique : contribution des enseignants d’EPS, Université de Caen : Centre de Recherches en Activités Physiques et Sportives, mai 1997, p. 60

660.

Cogérino (G.), Op. Cit., p. 12

661.

Cogérino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, p. 23

662.

Cogérino (G.), Gérer sa vie physique : contribution des enseignants d’EPS, Université de Caen : Centre de Recherches en Activités Physiques et Sportives, mai 1997, p. 12

663.

Klein (G.), Op. Cit., p. 89

664.

Ibid., p. 90

665.

Bonnefoy (G.), Op. Cit., p. 16

666.

Ibid., p. 17

667.

Ibid., p. 17

668.

Ibid., p. 15