1.2 Transfert et conceptions de l’EPS

1.2.1 Au regard de la psychocinétique

La question de la prise en compte de l’approche de J. Le Boulch, au regard de la question du transfert
J. Le Boulch indique, dans un ouvrage sorti en 1998 : « ‘L’interaction du corps et de l’environnement passe par le mouvement, fil directeur autour duquel se forge l’unité de la personne corporelle et mentale. ’»1537 Selon lui, le développement consiste en « ‘l’organisation de fonctions nouvelles dans les relations avec l’environnement’ ». Il en va dès lors, à ses yeux, d’une action éducative visant à ‘« favoriser la pleine réalisation de chaque étape de l’organisation fonctionnelle’ ». Aussi s’est-il attaché à mettre en place la psychocinétique ou ‘« Science du mouvement humain appliquée au développement de la personne’ »1538. J. Le Boulch a produit un ouvrage, publié en 1995, dont le premier chapitre s’intitule : « Démarche épistémologique ». L’auteur consacre en ce chapitre un paragraphe à l’évolution de sa réflexion depuis 1967 ; il y annonce : ‘« La psychocinétique devait se forger une démarche propre en fonction de son objet particulier. Vers une science du mouvement humain (1971) représente la première étape de cette formalisation plus générale. ’»1539 Or, J. Le Boulch indique, dans cet ouvrage : « ‘L’approfondissement des concepts “d’image du corps” et de “schéma corporel” va nous permettre [...] de mieux préciser notre conception d’un apprentissage visant à la “disponibilité corporelle” faisant perdre tout son intérêt à la notion de “transfert d’apprentissage” qui n’est finalement qu’un pseudo-problème induit par les conceptions mécanicistes ou associationnistes qu’elles soient classiques ou pavloviennes.’ »1540 Il semble ainsi n’accorder guère de crédit ou d’intérêt au transfert.

La justification de la prise en compte de l’approche de J. Le Boulch, au regard de la question du transfert
La question se pose, en regard de ce propos, de la prise en compte de l’approche de J. Le Boulch. On peut néanmoins entendre qu’il envisage de dépasser les approches qu’il dit mécanistes ou associationistes du problème du transfert. Il demeure que J. Le Boulch qualifie le transfert d’apprentissage de « pseudo-problème ». On peut être surpris, alors, du propos qu’il tient dans un ouvrage sorti en 1998 ; il y présente la psychocinétique en précisant qu’elle s’appuie sur « l’analyse fonctionnelle » et indique : « ‘C’est [...] l’analyse fonctionnelle qui permet de résoudre le problème du transfert qui se pose dans l’apprentissage moteur ’»1541. Il est à noter, toutefois, qu’il apparaît s’intéresser au transfert, dans la dixième édition, sortie en 1972, d’un ouvrage intitulé : « ‘L’éducation par le mouvement – La psychocinétique à l’âge scolaire ’». S’exprimant quant à la structuration spatio-temporelle, il écrit en effet : « ‘[...] ce n’est qu’en s’élevant au-dessus de l’expérience concrète, c’est-à-dire par l’abstraction, la généralisation de l’expérience que les possibilités d’action se multiplient et se transfèrent à des situations sensiblement différentes.’ »1542 Ce qu’il indique dans son ouvrage publié en 1998 accrédite par ailleurs l’idée qu’il vise à dépasser certains points de vue quant au transfert. C’est ainsi qu’il s’y élève contre une théorie du transfert inspirée de « ‘la conception atomistique et mécaniciste de l’apprentissage du psychologue Thorndike’ »1543.

La justification de l’approche de J. Le Boulch au regard des outils d’analyse produits
Ainsi J. Le Boulch avance-t-il que « ‘Le transfert d’apprentissage qui consiste à utiliser ses propres automatismes moteurs en vue de les appliquer à d’autres situations problèmes ne peut être envisagé par la seule description d’un modèle extérieur [...] mais impose la référence à sa propre image du corps. ’»1544 Selon lui, seule une « acquisition fonctionnelle » peut induire chez le sujet des effets dans des situations inédites et diverses1545. Aussi a-t-il modélisé « ‘l’ensemble des fonctions psychomotrices, énergétiques et opératives de l’organisme autonome en interaction avec l’environnement ’»1546. Il en vient à signifier le rôle essentiel de la fonction d’ajustement au regard du transfert : « L’ajustement postural est le lieu du transfert d’apprentissage »1547. Il indique aussi, en relation, le rôle de la fonction d’intériorisation. Il y a alors, à ses yeux, à favoriser le développement de ces fonctions ainsi que du système de fonctions psychomotrices en lequel elles s’intègrent. Il en va d’une éducation par le mouvement : « ‘Notre entrée dans le système se fera par le mouvement, composante du module psychomoteur. ’»1548 L’éducation envisagée ne s’exerce pas qu’en EPS ; l’EPS est plutôt, comme d’autres disciplines, mise au service de celle-ci. Ainsi J. Le Boulch intitule-t-il un écrit sorti en 1997 : « ‘Education Physique, Education psychocinétique (place de l’éducation physique en éducation par le mouvement)’ »1549 Il considère, par exemple, que l’apprentissage de l’écriture peut participer à l’éducation du corps et des mouvements1550. Son approche est fonction des impératifs de développement de l’enfant, qu’il envisage au regard des stades de l’évolution psychomotrice1551. J. Le Boulch a spécifié, en outre, les implications de sa démarche au plan de l’EPS ; un paragraphe de son ouvrage de 1998 a ainsi pour titre : « ‘Méthodologie de l’apprentissage moteur applicable à la didactique de l’éducation physique’ »1552.

La question du transfert au plan des prémices de la psychocinétique
Ainsi l’approche de J. Le Boulch présente-t-elle les caractéristiques autorisant à la retenir parmi celles à examiner. La question du transfert apparaît en filigrane dans sa présentation des différentes étapes de l’élaboration de la psychocinétique. Il situe le début de la démarche fonctionnelle en éducation physique scolaire en 19581553. Il définit le but de cette éducation physique en ces termes : « ‘Faire du corps un instrument parfait d’adaptation de l’individu à son milieu tant physique que social, grâce à l’acquisition de l’adresse [...] qui consiste à exécuter avec précision le geste qui convient dans chaque cas particulier’ ». Il annonce qu’il a par la suite vérifié ses premières intuitions pour en venir, de 1961 à 1967, à une première formalisation théorique. L’étude expérimentale des facteurs de la valeur motrice lui permet de statuer quant à l’action éducative pendant l’enfance1554. Il faut selon lui d’agir sur la composante psychomotrice du mouvement : il constate notamment que l’entraînement méthodique de la force n’a guère d’effet chez les enfants de six à neuf ans. Ses travaux dans le domaine de la rééducation fonctionnelle l’autorisent, par ailleurs, à avancer : « ‘Il n’y a pas de transfert de la position hypercorrigée à la “position” naturelle’ »1555. Il en va, à ses yeux, d’un déplacement de l’action éducative « ‘du pôle de l’effectuation musculaire vers le pôle perceptif ’»1556. La recherche qu’il a conduite aux école techniques de la C.C.I.P. a, indique-t-il, donné naissance au concept d’éducation physique de base. La méthode de J. Le Boulch s’y est inscrite en complément de la méthode Ramain ; il s’agissait de mener à bien une « ‘Préparation physique et mentale des élèves comme préalable à tout enseignement technique ’»1557. J. Le Boulch annonce, en outre, à propos de sa participation à un groupe de recherche interdisciplinaire : « ‘Je pris conscience qu’il était illusoire de rechercher un hypothétique transfert d’une matière à l’autre. L’aide la plus efficace que l’on puisse apporter à l’enfant est de favoriser son développement fonctionnel. »1558

La question du transfert au plan de la psychocinétique
Ainsi J. Le Boulch a-t-il progressivement mis en place une approche interdisciplinaire puis transdisciplinaire de l’éducation par le mouvement. Elle a donné naissance au néologisme « psychocinétique ». J. Le Boulch conçoit l’organisme comme une « ‘structure indécomposable de comportement ’»1559. Selon lui, le système nerveux central assure la cohérence et l’unité de cette structure. La fibre musculaire striée est, quant à elle, l’agent du mouvement. Il indique dès lors : « ‘Notre hypothèse de travail est qu’une action éducative portant sur la motricité, peut entraîner des modifications durables dans l’organisation du système nerveux central et se répercuter sur la conduite totale.’ »1560 C’est ainsi que, de son point de vue, « ‘l’autonomie de la pensée passe par l’autonomie motrice ’»1561. À ses yeux, les muscles et le système nerveux central « ‘représentent une unité fonctionnelle indissociable’ »1562. Il est question du module psychomoteur qui assure une fonction régulatrice au plan du développement : « ‘Notre hypothèse est que la hiérarchisation fonctionnelle progressive qui englobe successivement le corporel et le mental passe par le rôle structurant d’une fonction régulatrice qui est la fonction psychomotrice.’ »1563 J. Le Boulch considère que la psychomotricité fonctionnelle présente deux versants dont l’interaction conditionne l’harmonie et l’unité du développement. Il s’agit des composantes psychomotrices « énergétique » et « opérative »1564. En ce système, la fonction d’ajustement et la fonction d’intériorisation sont fonctions psychomotrices, qui interagissent, essentielles au regard du transfert.

Le transfert au regard de la structuration du schéma corporel
J. Le Boulch indique que la fonction d’intériorisation correspond à une attention du sujet centrée sur son propre corps, qui autorise l’ajustement postural pertinent : « ‘Le versant sensori-moteur de la réponse motrice correspond au schéma corporel inconscient. Son versant cognitif correspond à une image du corps opératoire faite du stockage d’informations extéroceptives et de certaines informations kinesthésique devenues conscientes. La représentation mentale permet d’associer l’image visuelle du corps aux informations kinesthésiques rendues ainsi localisables. C’est à partir de cette image mentale que pourront être organisés les programmes moteurs qui serviront de support à l’apprentissage de certaines habiletés. ’»1565 Il est question dès lors de la possibilité, pour le sujet, d’adapter sa réponse motrice aux caractéristiques de la situation à laquelle il se trouve confronté. Aussi J. Le Boulch annonce-t-il : « ‘Nous suivrons l’évolution de la fonction d’ajustement en fonction des stades de la structuration du schéma corporel et nous en tirerons des enseignements sur la démarche à adopter dans l’apprentissage moteur’ . »1566 Dans son ouvrage intitulé « L’éducation par le mouvement », J. Le Boulch distingue

‘« trois étapes dans l’évolution du schéma corporel :
  • l’étape du “corps perçu”

  • l’étape de la “discrimination perceptive”

  • l’étape du “corps représenté” sur place et en mouvement »1567.

Elles doivent servir de repères en vue d’une éducation par le mouvement visant à favoriser le développement fonctionnel dont dépend le transfert : à celles-ci correspondent des modalités d’intervention différenciées.

Le transfert au regard des stades d’apprentissage
J. Le Boulch apparaît retenir ces étapes de structuration du schéma corporel dans son ouvrage sorti en 19951568. Il annonce qu’il a, dès 1958, eu l’intuition qu’il convient

‘« de distinguer deux étapes dans l’acquisition des automatismes moteurs :
  • jusqu’à douze ans, un stade global d’apprentissage,

  • après cet âge, un stade que j’appelais analytique. »1569

Il reprend ce point de vue dans son écrit publié en 1998. Ainsi distingue-t-il 

‘« deux niveaux d’apprentissage [...]
  1. L’apprentissage perceptivo-moteur
    Sa caractéristique est qu’il s’acquiert dans la confrontation de l’apprenant à une situation problème impliquant une prise d’information libre. Seul le but à atteindre est précisé afin que le sujet en ait la conscience la plus claire possible. Les modalités mises en jeu pour atteindre le but restent infraconscientes.

  2. L’apprentissage cognitif
    Il implique deux contraintes : la conscience du but à atteindre et la représentation mentale du modèle à intégrer »1570.

Une éducation par le mouvement en vue du transfert
J. Le Boulch a résumé, à l’occasion d’un colloque qui s’est tenu en 1994, les grands principes de l’éducation par le mouvement :

‘« A l’école maternelle :
  1. La priorité revient à la formation des attitudes affectives et à l’équilibre de la fonction énergétique [...] Le rôle du maître est de favoriser et réguler ces expériences d’ajustement qui débouchent sur l’acquisition de nombreuses praxies par essais-erreurs. [...]

  2. Cette action spécifique sur la fonction énergétique se prolonge naturellement par le développement des fonctions opératives ; d’une part, la fonction d’ajustement [...], d’autre part, la structuration perceptive. Il faut dans ce dernier domaine mettre l’accent sur la structuration du schéma corporel conscient par la mise en jeu de la fonction d’intériorisation. [...]

’ ‘A l’école élémentaire jusqu’à 9 ans :’ ‘L’éducation du corps et des mouvements peut être assurée [...] :
  1. Par l’éducation physique qui s’appuie sur l’enseignement des A.P.S. à condition que l’utilisation de l’apprentissage par essais-erreurs lors des situations-problèmes se substitue à la pratique du conditionnement.

  2. Par les activités d’expression [...]

  3. Par l’apprentissage de l’écriture [...] qui devrait contribuer à faire évoluer l’ajustement global vers un ajustement cognitif »1571

Le propos relatif à l’« enseignement des A.P.S. à partir du collège » signifie l’intérêt de respecter les deux stades d’apprentissage que J. Le Boulch a identifiés1572. Il est ainsi question d’une éducation par le mouvement, depuis l’enfance et jusqu’à l’âge adulte.

Le transfert d’apprentissage en tant que conséquence d’une aide au développement

Ainsi l’approche de J. Le Boulch s’appuie-t-elle sur l’« analyse fonctionnelle » qui rend compte des fonctions énergétiques et opératives du module psychomoteur. Un autre point de repère réside dans l’identification des phases de structuration du schéma corporel : elle permet d’envisager l’aide à apporter au développement fonctionnel. Il s’agit essentiellement d’aider à la mise en place de l’image du corps opératoire qui permet une exercice intentionnel de la fonction d’ajustement. Ce dernier est alors censé autoriser l’ajustement d’un programme moteur aux conditions en lesquelles le sujet doit oeuvrer ; il est alors question de transfert. Schématiquement, la démarche de J. Le Boulch apparaît ainsi présenter deux grandes phases du point de vue du transfert. La première vise à une éducation des fonctions psychomotrices autorisant ce qu’il dénomme l’autonomie motrice. La seconde a pour objet l’accès à l’autonomie dans l’apprentissage moteur, à partir de l’autonomie motrice1573. Une question se pose dès lors au regard du transfert. Il s’agit, dans un premier temps de mettre en place un potentiel. Ce dernier est censé, dans un second temps, être exploitable dans un contexte différent de celui autorisant sa mise en place. Il convient cependant de noter que l’élaboration de ce potentiel n’est pas, dans la logique de J. Le Boulch, le seul fait de l’apprentissage : elle correspond à une aide au développement du sujet. C’est alors le niveau de développement atteint par le sujet, grâce à la psychocinétique, qui est envisagé permettre le transfert d’apprentissage.

La validité et la recevabilité de l’approche de J. Le Boulch
Il demeure que J. Le Boulch ne présente pas de résultat expérimental décisif quant au passage du premier au second temps de sa démarche. L’élaboration de sa théorie procède de l’intégration d’un grand nombre de références issues de champs de connaissance divers : phénoménologie, psychologie, biologie... Elles sont en outre intégrées dans un propos ayant un objet particulier : il s’agit de fonder une éducation par le mouvement. Si bien qu’il est, en définitive, difficile de se prononcer quant à la validité globale du propos de J. Le Boulch. Aussi est-il judicieux d’envisager l’intérêt de ce propos en regard des données stabilisées quant au transfert, à partir des approches généralistes. Celui-ci se révèle compatible avec la question des « micro-expertises ». C’est ainsi que J. Le Boulch conçoit l’« auto-organisation de ses apprentissages moteurs » comme : un réajustement de ‘« ses automatismes en vue de faire face à la diversité des situations »’ 1574. J. Le Boulch a, en outre, le souci de tenir compte du contexte d’acquisition : tout au long de son propos, il l’envisage en fonction du développement fonctionnel du sujet. Il tient, par surcroît, à ce que l’exercice du mouvement favorise ce développement, s’opposant à ce titre à un entraînement sportif précoce1575. J. Le Boulch ambitionne de mettre en place une éducation par le mouvement ; aussi son point de vue est-il recevable au plan des finalités. Son approche vaut ainsi au regard de la finalité d’éducation. Elle est alors à envisager lorsqu’il s’agit de mettre en place l’aide au « trans-faire ».

Notes
1537.

Le Boulch (J.), Op. Cit., p. 136

1538.

Ibid., p. 104

1539.

Le Boulch (J.), Mouvement et développement de la personne, Paris : Vigot, collection : Essentiel, 1995, p. 27

1540.

Le Boulch (J.), Vers une science du mouvement humain, Introduction à la psychocinétique, Paris : Les éditions ESF, 1971, p. 208

1541.

Le Boulch (J.), Le corps à l’école au XXI e siècle, Paris : PUF, collection : Pratiques corporelles, 1998, p. 106

1542.

Le Boulch (J.), L’éducation par le mouvement, la psychocinétique à l’âge scolaire, Paris : Les éditions ESF, 1972, 10ème édition, p. 188

1543.

Le Boulch (J.), Le corps à l’école au XXI e siècle, Paris : PUF, collection : Pratiques corporelles, 1998, p. 113

1544.

Le Boulch (J.), Op. Cit., p. 115

1545.

Ibid., p. 77

1546.

Ibid., p. 259

Remarque : J. Le Boulch a précédemment présenté ce modèle dans :

Le Boulch (J.), Éducation Physique et Science de l’Éducation, Le mouvement, fil directeur du développement, in : Le corps à l’École, apprentissage et développement, Actes du colloque, 30 septembre et 1er octobre 1994, Saint Jacques de la Lande, Ille et Vilaine, Dossiers EPS, n° 22, 1995, p. 53

Le Boulch (J.), Mouvement et développement de la personne, Paris : Vigot, collection : Essentiel, 1995, p. 13

1547.

Le Boulch (J.), Le corps à l’école au XXI e siècle, Paris : PUF, collection : Pratiques corporelles, 1998, pp. 113-115

1548.

Le Boulch (J.), Op. Cit., p. 118

1549.

Le Boulch (J.), Éducation Physique, Éducation motrice psychocinétique (place de l’éducation physique en éducation par le mouvement), in : René (B.-X.), À quoi sert l’Education Physique et Sportive ?, Dossiers EPS, n° 29, 1997, p. 62

1550.

Par exemple :

Le Boulch (J.), Éducation Physique et Science de l’Éducation, Le mouvement, fil directeur du développement, in : Le corps à l’École, apprentissage et développement, Actes du colloque, 30 septembre et 1er octobre 1994, Saint Jacques de la Lande, Ille et Vilaine, Dossiers EPS, n° 22, 1995, p. 55

1551.

Le Boulch (J.), Le corps à l’école au XXI e siècle, Paris : PUF, collection : Pratiques corporelles, 1998, p. 134

1552.

Le Boulch (J.), Op. Cit., pp. 140-150

1553.

Le Boulch (J.), Mouvement et développement de la personne, Paris : Vigot, collection : Essentiel, 1995, p. 8

1554.

Le Boulch (J.), Op. Cit., p. 14

1555.

Ibid., p. 15

1556.

Ibid., p. 16

1557.

Ibid., p. 17

1558.

Ibid., p. 19

1559.

Ibid., p. 28

1560.

Ibid., p. 31

1561.

Ibid., p. 45

1562.

Ibid., p. 49

1563.

Ibid., p. 51

1564.

Ibid., pp. 51-52

1565.

Ibid., p. 57

1566.

Ibid., p. 56

1567.

Le Boulch (J.), L’éducation par le mouvement, La psychocinétique à l’âge scolaire, Paris : Les éditions ESF, 1972, 10ème édition, p. 41

1568.

Le Boulch (J.), Mouvement et développement de la personne, Paris : Vigot, collection : Essentiel, 1995, p. 170

1569.

Le Boulch (J.), Op. Cit., p. 9

1570.

Le Boulch (J.), Le corps à l’école au XXI e siècle, Paris : PUF, collection : Pratiques corporelles, 1998, p. 140

1571.

Le Boulch (J.), Éducation Physique et Science de l’Éducation, Le mouvement, fil directeur du développement, in : Le corps à l’École, apprentissage et développement, Actes du colloque, 30 septembre et 1er octobre 1994, Saint Jacques de la Lande, Ille et Vilaine, Dossiers EPS, n° 22, 1995, pp. 54-56

1572.

Le Boulch (J.), Op. Cit., p. 52

1573.

Le Boulch (J.), Mouvement et développement de la personne, Paris : Vigot, collection : Essentiel, 1995, p. 296

1574.

Le Boulch (J.), Op. Cit., p. 296

1575.

Le Boulch (J.), Le corps à l’école au XXI e siècle, Paris : PUF, collection : Pratiques corporelles, 1998, p. 139