3.2 Méthode

L’emploi des formulations « G / P / x », si on se réfère à A. L. George1898, I. de Pool Sola1899, D. P. Cartright1900 ou O. R. Holsti1901est à étudier à partir d’une hypothèse de recherche et d’un cadre d’analyse. Il faut caractériser, au plan de l’emploi et par rapport aux textes officiels considérés, les formulations « G / P / x » des écrits extraits de l’échantillon constitué. Cela doit occasionner une comparaison avec les formulations autres que « G / P / x » qu’on trouve dans les écrits qu’il regroupe. Toute formulation relative à la « vie physique » repérée en ceux-ci est ainsi à envisager en tant qu’« unité d’enregistrement », pour reprendre les termes de L. Bardin1902. La façon de coder les formulations considérées est alors à déterminer. La manière de traiter les données recueillies est aussi à préciser.

L’hypothèse ne concerne que certaines formulations « G / P / x » : celles dont l’utilisation vaut en référence au troisième objectif général présenté dans l’arrêté du 24 mars 1993. C’est de fait dans les seuls écrits en lesquels on se réfère à cet objectif qu’elles peuvent se trouver. Chaque formulation « G / P / x » présente dans une production de ce type est à examiner par rapport à cette référence : il s’agit de s’enquérir, au plan de la structure de l’écrit, de l’indication que la phrase ou le titre comportant celle-ci vaut au regard de celle-là. Le repérage de cette caractéristique est, à l’évidence, à envisager a priori au plan de la publication concernée. Cet écrit correspond alors, à ce niveau, à ce que L. Bardin entend par « unité de contexte »1903. La démarche explicitée permet ainsi de s’intéresser aux formulations « G / P / x » étudiées au regard de l’un des deux caractères qu’envisage l’hypothèse.

Cette hypothèse a trait aux formulations « G / P / x » dont l’emploi est original en regard de celui ou de ceux des formulations « vie physique » des textes officiels pris en compte. Ces derniers comprennent au total huit formulations relatives à la « vie physique ». On peut envisager les sept phrases et le titre comportant ces formulations en fonction de leurs écarts de « similarité »1904 au plan des thèmes abordés. Il en est deux présentes chacune dans un énoncé indiquant les visées de l’EPS. Les phrases considérées concernent, d’une part, les « objectifs généraux » de l’EPS1905, d’autre part, les « finalités » de cette discipline1906. Chacune des six autres formulations vaut dans un propos concernant l’évaluation1907. Ainsi peut-on déterminer deux thèmes quant à l’utilisation des formulations relatives à la « vie physique » dans les textes officiels considérés : celui concernant une visée de l’EPS qui a trait à la « vie physique » et celui relatif à l’évaluation en matière de « vie physique » aux épreuves d’EPS de différents examens. On peut envisager chaque formulation « G / P / x » au regard de ces thèmes. La phrase ou le titre qui comporte une formulation « G / P / x » est alors à considérer ici en premier lieu comme unité de contexte1908. La détermination des classes « visée » et « évaluation » procède en effet d’une confrontation des phrases et titres comportant les formulations relatives à la « vie physique » des textes officiels. Il se peut, toutefois, que la phrase ou le titre considéré ne suffise pas à l’affaire. Il en est notamment ainsi pour ce qui est du titre : « Gestion de sa vie physique »1909. Il s’agit dès lors, en un cas de ce type, d’élargir l’unité de contexte. On peut, pour ce faire, prendre en compte la phrase ou le titre précédant le texte qui comporte la formulation examinée. Il est envisageable, le cas échéant, d’examiner celui ou celle d’avant et ainsi de suite, autant que nécessaire. On peut encore, si cela ne permet pas la spécification visée, faire de même à partir de la phrase ou du titre suivant le texte qui contient la formulation considérée. Cette façon de faire permet la prise en compte de la fraction d’écrit la plus courte permettant de coder l’unité d’enregistrement. La procédure ainsi expliquée permet de déterminer les seules formulations « G / P / x » susceptibles d’être parmi celles qu’envisage l’hypothèse : il s’agit de celles qui n’appartiennent ni à la classe « visée », ni à la classe « évaluation ».

La démarche présentée permet de spécifier les formulations « G / P / x » considérées, au plan de leur emploi. Ce, suivant qu’il vaut ou non au regard des deux caractéristiques qualitatives qu’indique l’hypothèse. Cette dernière appelle une comparaison, au plan de l’emploi, entre les formulations « G / P / x » et les autres formulations relatives à la « vie physique ». Elle concerne en effet l’emploi essentiel des formulations « G / P / x » ainsi que le caractère préférentiel de leur utilisation au plan de cet emploi. On peut alors trier les formulations de chaque catégorie autre que « G / P / x »  selon les procédures expliquées à propos des formulations « G / P / x ». Cela autorise à ranger les formulations considérées en deux ensembles. L’ensemble 1 concerne celles dont l’emploi présente les particularités qu’envisage l’hypothèse pour ce qui est des formulations « G / P / x ». L’ensemble 2 regroupe les autres formulations. On peut alors examiner à nouveau chaque formulation « vie physique » dont l’emploi ne renvoie ni au thème « visée » ni au thème « évaluation » : il s’agit de s’enquérir de l’existence d’un thème prioritaire quant à l’emploi des formulations « G / P / x » de l’ensemble 1. Il convient d’envisager la présence, au sein de l’ensemble 1, d’un sous-ensemble regroupant la majorité des formulations « G / P / x ». L’objet est de s’assurer, le cas échéant, que ces formulations sont, au regard du thème relatif à ce sous-ensemble : formulations « G / P / x » les plus représentées et formulations « vie physique » les plus fréquemment utilisées. Il en va à nouveau d’une procédure par tas1910 suivant les écarts de similarité1911 au plan des thèmes. En examinant les phrases et titres comportant les formulations considérées, on peut envisager de créer de nouvelles classes de formulations. Il peut s’avérer difficile, cependant, d’envisager l’emploi d’une formulation au regard de la seule phrase ou du seul titre la contenant. Les formulations pour lesquelles cela ne serait pas possible sont, en premier lieu, à repérer. Elles sont, ensuite, chacune à étudier au regard des différentes classes constituées. Il y a, alors, à élargir l’unité de contexte. La procédure ayant permis de déterminer qu’une formulation ne relève ni de la classe « visée », ni de la classe « évaluation » vaut en ce cas. Elle autorise à ranger les formulations examinées dans l’une des classes identifiées ou dans une autre encore, ce qui permet de diminuer au plus les éventuels cas non classés.

Ces regroupements de formulations permettent les deux types de comparaisons à effectuer. Le premier a trait à la totalité des formulations « G / P / x ». Il est question d’établir si les formulations « G / P / x » appartiennent principalement à l’ensemble 1, voire à un sous-ensemble de celui-ci. Le second type de comparaison concerne la totalité des formulations « vie physique ». Il s’agit d’envisager les formulations « G / P / x » de l’ensemble 1 ou d’un sous-ensemble de celui-ci, qui en regrouperait la majorité. Il y a à déterminer si elles y sont utilisées préférentiellement aux autres formulations. La mise en place de ces comparaisons nécessite, si on se réfère à L. Bardin1912, la spécification de « règles d’énumération ». On peut, pour une catégorie de formulations et une classe données, prendre en compte un nombre total d’occurrences. Les nombres d’écrits ou de sources concernés contribuent, de façon complémentaire, à rendre compte de l’utilisation des formulations considérées. Chacun des dénombrements envisagés est en effet susceptible de relativiser l’importance des autres.

Par ailleurs, l’hypothèse a des implications concernant les distributions, par source et par écrit, des formulations « G / P / x ». On devrait avoir un lien significatif entre celles-ci et deux types de distributions. Il s’agit, d’une part, des distributions correspondantes concernant les formulations « G / P / x » appartenant à l’ensemble 1 ou au sous-ensemble de celui-ci, qui en comprendrait l’essentiel. Il est question, d’autre part, de celles relatives aux formulations « vie physique » de l’ensemble 1 ou du sous-ensemble de celui-ci, qui contiendrait l’essentiel des formulations « G / P / x ». Il est envisageable de s’enquérir de ces relations en calculant, en chaque cas, le coefficient de corrélation de Spearman (calcul avec correction compte tenu des rangs ex æquo) : le choix de ce test se justifie du fait des caractéristiques des distributions concernées. Ainsi apparaît-il pertinent d’ajouter une procédure à chaque type de comparaisons envisagé.

3.3 Résultats

On note la référence au troisième objectif général indiqué dans l’arrêté du 24 mars 1993 en cinq écrits parmi les douze considérés (tableau n° 7). On l’observe deux fois en l’un d’eux, une fois dans chacun des autres. On trouve, dans quatre publications, une citation : avec précision de la source dans deux cas1913, avec indication que la source est texte officiel et informations permettant de la spécifier dans deux autres cas1914. On rencontre, dans un écrit, la référence aux « objectifs généraux de l’EPS » avec précision de la source1915. L’un de ces écrits contient un tableau relatif à une réflexion à l’EPS au regard de « ses finalités [...] son identité »1916. Une définition de l’EPS en ressort qui comporte une formulation « vie physique ». Des références aux textes officiels sont préalablement données : ‘« IO 85 / 87 / 88 pour les collèges, 86 / 93 / 94 pour les lycées, [...] loi d’orientation 07 / 89 [...] charte des programmes 02 / 92 ». Deux textes officiels, parmi ceux inventoriés, ont trait à la « vie physique’ » : l’arrêté du 24 mars 1993 et sa circulaire d’application du 12 janvier 1994. On trouve l’énoncé d’une visée de l’EPS relative à la « vie physique » dans le seul arrêté du 24 mars 1993. Ainsi peut-on considérer que la référence à cet énoncé vaut ici : il est question de « vie physique » en matière d’EPS, au regard des finalités allouées à cette discipline.

Les cinq productions repérées regroupent soixante-quatre formulations relatives à la « vie physique ». Il en est quarante-deux qu’on trouve en un écrit dont le propos concerne l’EPS au regard de la référence considérée1917. On a de plus, dans une publication, sept formulations en lesquelles « vie physique » complète « gestion » ou « gérer ». B. Paris, qui en est l’auteur, indique qu’il use du « concept de gestion » pour se conformer à la littérature relative au programme d’EPS ; il observe, en outre, qu’il n’est pas question de gestion au plan de l’énoncé du troisième objectif général de l’EPS, dans l’arrêté du 24 mars 19931918. B. Paris utilise encore une formulation qui vaut au regard de cette référence. Elle apparaît en effet dans une question qu’il assimile à celle qu’il libelle en ces termes : « L’école prépare-t-elle les adultes de demain à bien gérer leur vie physique ? »1919. Il est quatre formulations, en un autre article, qui ont trait à l’évaluation aux examens. L’auteur, C. Pineau, indique qu’il s’agit d’évaluer les progrès des élèves. Selon lui, « ‘la notion de progrès est en relation constante avec les trois objectifs généraux de la discipline tels que l’arrêté du 24 mars 1993 les rappelle’ »1920. Ainsi, ce qui concerne la « vie physique » et l’évaluation vaut-il en référence au troisième d’entre eux. On trouve encore trois formulations, en un autre écrit, qui émane de G. Cogérino, dans une citation de l’énoncé de l’objectif général considéré ici1921. On a, en outre, une formulation dans un énoncé voisin de celui-ci1922. Une note de fin de texte précise qu’il est extrait d’un écrit rédigé par C. Pineau et A. Hébrard, publié dans la Revue EPS en 19941923. Il est cependant indiqué, dans le corps du texte, que cet énoncé correspond à celui du troisième objectif général que l’arrêté du 24 mars 1993 assigne à l’EPS. On observe, par ailleurs, un écrit en lequel il est question à deux reprises du savoir « gérer sa vie physique »1924. Or, les auteurs, D. Delignières et C. Garsault, annoncent : « Nous sommes persuadés que l’avenir proche de la discipline va se structurer autour de son troisième objectif concernant le savoir gérer sa vie physique. » Ce « troisième objectif » est énoncé précédemment et vaut au regard de l’arrêté du 24 mars 1993. Les auteurs discourent aussi quant à « la préparation à la vie physique d’adulte »1925. Cette dernière est alors envisagée au plan de l’acquisition du « savoir gérer sa vie physique ». Un autre écrit, signé de G. Dersoir, comporte un paragraphe ayant pour titre une formulation relative à la « vie physique », qui contient l’énoncé de cet objectif, suivi d’un avis le concernant1926. Cet écrit comprend deux autres formulations qu’on trouve dans une suite de tableaux1927. Elles ont trait aux acquisitions que tous les élèves doivent effectuer en EPS. La spécification de ces acquisitions vaut au regard d’une analyse des finalités et de l’identité de l’EPS faite en référence à divers textes officiels. Seul, parmi ceux-ci, l’arrêté du 24 mars 1993 a rapport à la « vie physique » au plan des visées de l’EPS. Ainsi l’emploi des soixante-quatre formulations envisagées vaut-il au regard de la référence considérée. On a, parmi elles : quarante-neuf formulations autres que « G / P / x » et quinze formulations « G / P / x » (tableau n° 7).

Les soixante-treize formulations à examiner sont aussi à envisager au regard de deux classes, en fonction des thèmes abordés dans les phrases ou titres les comportant. La classe « évaluation » regroupe cinq formulations ; chacune appartient à une catégorie autre que « G / P / x » (tableau n° 7). Il en est quatre en un article intitulé : « L’application de l’arrêté du 24 mars 1993 relatif au baccalauréat et autres examens de l’éducation nationale »1928. Chaque phrase qui comporte l’une d’elles se retrouve dans la circulaire du 12 janvier 19941929. Elle correspond ainsi à l’une de celles dont la prise en compte a permis de déterminer la classe « évaluation ». La formulation restante est présente dans une autre publication. Le texte considéré a trait aux « ‘moyens de s’assurer que l’élève [...] soit en mesure de gérer de façon satisfaisante sa vie physique au-delà du contexte scolaire’ »1930. La classe « visée », quant à elle, regroupe douze formulations dont une relève de la catégorie de formulations « G / P / x » (tableau n° 7). Parmi celles-ci, onze apparaissent dans un texte correspondant à l’énoncé d’un ou plusieurs objectifs généraux de l’EPS1931. La formulation « G / P / x » se trouve dans le texte : « ‘Comment concrètement pensez-vous prendre en compte dans votre enseignement quotidien la finalité “gérer sa vie physique” ? »1932.’ C’est ainsi que cinquante-six formulations ne relèvent ni de la classe « évaluation », ni de la classe « visée ». Il y a, parmi elles, seize formulations « G / P / x » (tableau n° 7).

En définitive, cinquante-quatre formulations s’avèrent appartenir à l’ensemble 1 regroupant celles dont l’emploi présente les deux caractéristiques qualitatives qu’envisage l’hypothèse (tableau n° 7). On compte parmi elles quatorze formulations « G / P / x ». Ainsi l’ensemble 1 regroupe-t-il la majorité des formulations « G / P / x » examinées, puisqu’il en est dix-sept au total. Cette constatation invite à rechercher un sous-ensemble qui comprendrait l’essentiel des formulations « G / P / x » de l’ensemble 1. La confrontation, au plan des thèmes, des textes comportant les formulations n’appartenant ni à la classe « évaluation », ni à la classe « visée » fait apparaître une nouvelle classe. Elle concerne l’enseignement de ce qui a trait à la « vie physique » ; on l’a dénommée : « enseignement » (tableau n° 8). Appartient à celle-ci, par exemple, la formulation qu’on trouve dans le texte : « L’école prépare-t-elle les adultes de demain à bien gérer leur vie physique ? »1933. En définitive, seulement deux formulations s’avèrent non classées. Elles relèvent de la même catégorie, « Av. / I / p+f » (« avoir une vie physique à tout âge »...), et proviennent d’un même écrit1934. On a dénommé « 1E » le sous-ensemble de l’ensemble 1 contenant les formulations dont l’emploi concerne le thème « enseignement ». Il s’avère que ce sous-ensemble « 1E » comprend la majorité des formulations « G / P / x » examinées ; il regroupe en effet quatorze d’entre elles (tableau n° 9). Les formulations « G / P / x » les plus fréquemment utilisées, au plan des écrits comme à celui des sources, sont en outre celles qui appartiennent à ce sous-ensemble. On les trouve en quatre écrits provenant de quatre sources1935. De plus, les distributions concernant ces formulations « G / P / x » et celles relatives à la totalité des formulations « G / P / x » sont liées (tableau n° 9). Le calcul des coefficients de corrélation de Spearman donne, en ce qui concerne  les distributions par écrit : Rho = 0,898 et p = 0,0029. En effectuant celui relatif aux distributions par source, on obtient : Rho = 0,924 et p = 0,0056.

On compte trente-huit formulations autres que « G / P / x » dans le sous-ensemble « 1E » (tableau n° 9). Ces formulations relèvent de neuf catégories différentes. Il en est six, parmi celles-ci, qui se distribuent en trois publications, à être utilisées seulement une fois. On a, dans l’un des écrits : « Conc. / D / x », « G / D / f », « X / D / x », « X / P / p+f »1936. On trouve, dans une autre production, la catégorie « X / D / p+f »1937. Il y a enfin, dans une autre parution encore, la catégorie « Prép. / D / f »1938. Il est, par ailleurs, à noter six formulations « G / D / x », réparties en deux écrits qui proviennent de deux sources1939. Il est à remarquer, aussi, trois formulations « G / P / f », qu’on trouve en un écrit1940. Les catégories « G / D / x » et « G / P / f » s’avèrent toutefois moins représentées et moins fréquemment utilisées que la catégorie « G / P / x ». Seule la catégorie « G / P / p+f », avec vingt-trois occurrences, est plus fortement représentée que la catégorie « G / P / x ». On ne la trouve, néanmoins, qu’en un écrit1941. Les distributions des formulations « G / P / x » du sous-ensemble « 1E » et celles de la totalité des formulations de ce sous-ensemble, enfin, se révèlent liées (tableau n° 9). Pour ce qui est du coefficient de corrélation de Spearman concernant les distributions par écrit, on obtient : Rho = 0,924 et p = 0,0056. En ce qui concerne celui relatif aux distributions par source, on trouve : Rho = 0,810 et p = 0,0152.

Notes
1898.

George (A. L.), Quantitative and Qualitative Approaches to Content Analysis, in : Pool Sola (I. de), Trends in Content Analysis, University of Illinois Press, Urbana, 1959

1899.

Pool Sola (I. de), Trends in Content Analysis, University of Illinois Press, Urbana, 1959

1900.

Cartwright (D. P.), L’analyse du matériel qualitatif, in : Festinger & Katz, Méthodes de recherche (B. 198), 1959, pp. 481-558

1901.

Holsti (O. R.), Content analysis for the social sciences and humanities, Addison-Westley Pub. Comp., 1969

1902.

Bardin (L.), Op. Cit., pp. 135-139

1903.

Ibid., pp. 135-139

1904.

Moles (A.), Op. Cit., pp. 207-209

1905.

Arrêté du 24/03/1993, Op. Cit., p. 1999

1906.

Arrêté du 22/02/1995, Op. Cit., p. 43

1907.

On les trouve dans :

Arrêté du 24/03/1993, Op. Cit., p. 1999

Circulaire n° 94-007 du 12/01/1994, Op. Cit., pp. 240, 242

1908.

Bardin (L.), Op. Cit., pp. 135-139

1909.

Dersoir (G.), Op. Cit., p. 44

1910.

Bardin (L.), Op. Cit., pp. 152-153

1911.

Moles (A.), Op. Cit., pp. 207-209

1912.

Bardin (L.), Op. Cit., pp. 141-146

1913.

Il s’agit de :

Cogérino (G.), Op. Cit., p. 19

Paris (B.), Op. Cit., p. 29

1914.

Il s’agit de :

Delignières (D.), Garsault (C.), Op. Cit., p. 155

Dersoir (G.), Op. Cit., p. 44

1915.

Pineau (C.), L’application de l’arrêté du 24 mars 1993 relatif au baccalauréat et autres examens de l’éducation nationale, Revue EPS, n° 243, septembre-octobre 1993, p. 57

1916.

Dersoir (G.), Op. Cit., p. 39

1917.

Cogerino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, p. 19

1918.

Paris (B.), Op. Cit., p. 29

1919.

Paris (B.), Op. Cit., p. 28

1920.

Pineau (C.), Op. Cit., p. 57

1921.

On les trouve dans :

Paris (B.), Op. Cit., p. 29

Delignières (D.), Garsault (C.), Op. Cit., p. 155

Dersoir (G.), Op. Cit., p. 44

1922.

Cogérino (G.), Op. Cit., p. 19

1923.

Pineau (C.), Hébrard (A.), Op. Cit., pp. 49-54

1924.

Delignières (D.), Garsault (C.), Op. Cit., p. 156

1925.

Delignières (D.), Garsault (C.), Op. Cit., p. 157

1926.

Dersoir (G.), Op. Cit., p. 44

1927.

Ibid., pp. 39-41

1928.

Pineau (C.), Op. Cit., p. 57

1929.

Ibid., p. 60

1930.

Cogerino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, p. 21

1931.

Il s’agit de :

Pineau (C.), Programme en éducation physique et sportive, Revue EPS, n° 245, janvier-février 1994, p. 60

Pineau (C.), Hébrard (A.), Op. Cit., pp. 49-54

Cogerino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, p. 19

Paris (B.), Op. Cit., p. 29

Delignières (D.), Garsault (C.), Op. Cit., p. 155

Dersoir (G.), Op. Cit., p. 44

René (B.X.), Les effets de l’éducation physique et sportive, in : René (B.X.), A quoi sert l’éducation physique et sportive ?, Dossiers EPS, n° 29, 1997, p. 120

1932.

Cogerino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, p. 19

1933.

Paris (B.), Op. Cit., p. 28

1934.

Cogerino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, pp. 19, 22

1935.

Il s’agit de :

Cogerino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, pp. 21, 22, 23

Paris (B.), Op. Cit., pp. 29, 31, 32

Delignières (D.), Garsault (C.), Op. Cit., p. 156

Dersoir (G.), Op. Cit., pp. 39, 41, 44

1936.

Cogerino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, pp. 21, 23,

1937.

Paris (B.), Op. Cit., p. 28

1938.

Delignières (D.), Garsault (C.), Op. Cit., p. 157

1939.

Il s’agit de :

Cogerino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, pp. 19, 21

Paris (B.), Op. Cit., p. 32

1940.

Ibid., pp. 28, 29

1941.

Cogerino (G.), Gestion de la vie physique, Revue EPS, n° 251, janvier-février 1995, pp. 19-23