I.2. Nous sommes tous mortels.

Les riches, les puissants qui se trouvaient en haut de la roue, se voient soudain jetés à terre par la mort. Le mouvement de la roue s’arrête là, les pauvres, eux, ne connaîtront pas de sort plus enviable, mais ils auront au moins, l’espace d’un instant, celui de leur mort, le sentiment d’être égal à ceux qui les ont surpassés toute leur vie.