I. Les caractéristiques du bal.

Les lieux où l’on peut « admirer la danse des vivants 1620» sont des endroits d’exception frappés au sceau de la richesse et de l’hypocrisie. Dans les salles de bal où ne règnent que les faux-semblants, ceux là mêmes que dénonçaient les danses macabres, les danseurs ne verront pas la mort s’approcher d’eux.

Notes
1620.

BALZAC Honoré de, Sarrasine, La Comédie humaine, tome VI, Bourges : nrf, Gallimard, 1977, p. 1043.