I. La mise en scène.

Renouant avec l’origine première des danses - un squelette, rappelons-le, ferme la danse macabre de la Ferté-Loupière en saluant le public -, les textes que nous avons choisi d’étudier, bien que ne portant pas le titre de « danse macabre », insistent sur le caractère théâtral qui entoure l’apparition de la mort ou du moins exacerbent l’impression de sa présence.