Jean le Noir. « La rencontre des trois morts et des trois vifs », psautier de Bonne de Luxembourg. (1348-1349)
New York, The Metropolitan Museum of Art, the Cloisters Collection.
Inv. 69, 86, fol. 321 v. et 322.
« La danse des morts » du Temple Neuf de Strasbourg. Premier tableau, (vers 1450) Reproduction de Arnold.
REINHARD Aimé, Le Temple Neuf à Strasbourg, Strasbourg : Typographie de G. Fischbach, 1888.
Fin de « La danse macabre » de l’église de la Ferté-Loupière. (Fin XVe, début XVIe siècle) Peinture murale.
Albrecht Dürer. « Les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse », (vers 1498)
Bois. 39,2 x 27, 9 cm.
« La mort à cheval », Cartes à jouer de Charles VI, (1392).
(H. Rosenfeld).
« Le gentilhomme », Cartes à jouer de Charles VI, (italiennes, XVe siècle).
Gravées au burin et attribuées tour à tour à Finiguerra et à Montegna.
Bibliothèque Nationale de Paris, Cabinet des Estampes.
Alfred Rethel, Auch ein Todtentanz aus dem Jahre 1848, deuxième feuillet.
Leipzig : Georg Wigand’s Verlag, 1849.
Hans Holbein, « La mort et le soldat », Icones Mortis, gravure n° 40.
Gravée sur pierre par Joseph Schlotthauer.
Basileae : Gaspar Trechsel Fratres, 1554.
Ferdinand Barth, « Page de couverture », Die Arbeit des Todes, ein Todtentanz, München : Verlag von Braun & Schneider, 1867.
« Triomphe de la mort », (XVe siècle).
Palerme. Palais Abbatelli. (Photo Lauros-Giraudon).
Auguste Hoyau, Nouvelle Danse Macabre.
Chartres : F. Soulie, 1901.
Nicolas Manuel Deutsch, « La Mort et la jeune femme », (1517).
(clair-obscur à la détrempe)
Kunstmuseum, Bâle.
Ferdinand Barth, « La jeune fille et la mort », Die Arbeit des Todes, ein Todtentanz, München : Verlag von Braun & Schneider, 1867.
Hans Holbein, « La mort et le laboureur », Icones Mortis, gravure n° 38.
Gravée sur pierre par Joseph Schlotthauer.
Basileae : Gaspar Trechsel Fratres, 1554.
« Danse des morts »,
Schedel, Liber chronicon, Nuremberg, 1493.
« Danse des pastoureaux autour d’un mai », Heures de Charles d’Angoulême, (vers 1480)
Bibliothèque Nationale de Paris.
« Dame, à vous sans retollir ».
Machaut, Le Remède de Fortune.
Bibliothèque Nationale de Paris.
Fin de la « danse macabre des Saint Innocents », Guyot Marchant (1485).
Hans Holbein, « La mort et le joueur », Icones Mortis, gravure n° 41.
Gravée sur pierre par Joseph Schlotthauer.
Basileae : Gaspar Trechsel Fratres, 1554.
« L’orchestre des morts », « danse macabre des Saint Innocents », Guyot Marchant (1486).
Auguste Hoyau, « Page de couverture », Nouvelle Danse Macabre.
Chartres : F. Soulie, 1901.
« Le Festin d’Hérode » [danse de Salomé]
Atelier de Luis Borassa (m. 1424).
Paris, Musée des arts décoratifs.
Crespy, « Le sabbat ».
(eau-forte inspirée d’une gravure de Ian Ziarnko, illustrant un ouvrage de Pierre de Lancre, paru en 1613).
Illustration de l’Histoire des imaginations de Monsieur Oufle, Abbé Bordelon, Amsterdam, 1710.
Ferdinand Barth, « La mort au bal », Die Arbeit des Todes, ein Todtentanz,
München : Verlag von Braun & Schneider, 1867.
Jean-Michel Eder-Murnau, « Memento mori », (1810-1820).
Rosenheim (Allemagne), Heimatmuseum.
Alfred Rethel, « Der Tod als Erwürger. Erster Auftritt der Cholera auf einem Maskenball in Paris 1831 ». (1847/48 et 1851).
Bois de Gustav Richard Steinbrecher.
La diffusion de la peste noire (1347-1352).
Michel Vovelle, La mort et l’Occident de 1300 à nos jours.
Adaptée de E. Carpentier, J.N. Biraben. Cartographie G. Krier.