5.2.1. Aperçu historique de la démarche sémiotique.

« On peut donc concevoir une science qui étudie la vie des signes au sein de la vie sociale ; elle formerait une partie de la psychologie sociale et par conséquent de la psychologie générale ; nous la nommerons sémiologie (du grec sêmeion « signe »). Elle nous apprendrait en quoi consistent les signes, quelles lois les régissent » 113 . C’est en ces termes que F. de Saussure définit le programme de la future science, à laquelle, à ses yeux, la linguistique devra se rattacher : « La linguistique n’est qu’une partie de cette science générale, les lois que découvrira la sémiotique seront applicables à la linguistique... » 114 . Que le terme « sémiotique » se soit finalement substitué au terme « sémiologie », sous l’influence anglo-saxonne importe peu. Il est plus intéressant de remarquer avec quelle lucidité F. de Saussure trace le programme de la nouvelle science des signes et définit la complexité des rapports entre linguistique et sémiotique. Si, en effet, comme on a pu le constater à travers la citation précédente, la linguistique se trouve subordonnée par Saussure à la sémiotique dont l’objet sera « l’ensemble des systèmes fondés sur l’arbitraire du signe » 115 , la langue et son étude scientifique par la linguistique n’en perdent pas pour autant à ses yeux leur statut privilégié, dans la mesure où « la langue, le plus complexe et le plus répandu des systèmes d’expression, est aussi le plus caractéristique de tous... ». Et dans ce sens « la linguistique peut devenir le patron général de toute sémiotique, bien que la langue ne soit qu’un système particulier » 116 . De la sorte, la future science sémiologique a partie liée avec la linguistique et semble définitivement définie dans son sillage et sur son modèle. Ainsi, les propriétés attachées à la langue ou au signe linguistique, telles que « le signe linguistique est arbitraire » 117 ou encore « une langue constitue un système, » 118 ou même « le phénomène linguistique présente perpétuellement deux faces qui se correspondent et dont l’une ne vaut que par l’autre » 119 constituent pour longtemps des références à toute étude sémiologique de quelque système que ce soit. Et l’on ne s’étonnera pas qu’au moment où se développe en France la sémiologie, sous l’impulsion de R. Barthes, E. Benveniste et A. J. Greimas, « c’était exclusivement du côté de la linguistique qu’on se tournait » 120 et ceci d’autant plus que les lois structurant le système phonologique mises en évidence par Jakobson confirmaient les hypothèses saussuriennes. Ces hypothèses renforcées par le modèle d’analyse phonologique servaient au même moment, comme on a pu le voir plus haut, de matrices aux structuralistes adoptant notamment comme objet d’étude l’oeuvre littéraire et la considérant avant tout, dans une perspective sémio-linguistique, comme un système de signes. Pourtant, on ne tarda pas du côté de la sémiotique naissante, à éprouver les limites du modèle binaire hérité de la phonologie structuraliste, et ceci notamment dans le domaine de l’analyse sémantique. Nul doute que c’est à partir des difficultés rencontrés dans l’élaboration d’une méthodologie propre à la sémantique et, en particulier, dans la définition des « unités constitutives de son objet » 121 que l’idée s’est progressivement accréditée que la « pratique sémiotique devrait se constituer indépendamment de la linguistique » 122 . Aussi n’est-il pas étonnant que, dans l’ouvrage Sémantique structurale d’A. J. Greimas, datant de 1966, « ouvrage fondateur de ce qui allait devenir la sémiotique » 123 , suivant le mot de J. C. Coquet, la référence à F. de Saussure passe au second plan. Il est vrai qu’une autre raison suffirait à expliquer le moindre intérêt porté par l’auteur au linguiste genevois : c’est le choc qu’il reçut à la lecture des Prolégomènes à une théorie du langage de L. Hjelmslev. Reprenant l’opposition saussurienne « signifiant/signifié », tout en lui substituant une autre terminologie (le signifiant devenant l’expression, le contenu supplantant le signifié), le célèbre linguiste danois distingue, pour chacune de ces deux composantes du langage ou d’un message linguistique, la forme et la substance (autres catégories saussuriennes distinctes des concepts de signifiant et signifié 124 et pose que la langue est « une forme spécifique organisée entre deux substances, celle du contenu et celle de l’expression, donc comme une forme spécifique de contenu et d’expression 125 . La thèse fondamentale est que nous ne pouvons connaître de la signification (du contenu d’un message) que sa forme et non sa substance : « le sens proprement dit ou substance du contenu est pour le sémioticien le domaine de l’INDECIDABLE 126  ». Rapportant, à la suite de Hjelmslev, la question du sens à un problème purement formel, Greimas engage du même coup la pratique sémiotique à rendre compte non pas tellement du sens que de la manière dont le sens s’articule et prend forme. C’est ainsi que, cherchant à délimiter « l’unité minimale de signification », A.J. Greimas pose qu’un tel élément doit être défini de façon formelle et non substantielle : « c’est l’apparition de la relation entre les termes qui est la condition nécessaire de la signification 127  ».

Ainsi s’affirme avec plus de force la singularité du projet sémiotique, même si A.J. Greimas reconnaît dans l’analyse de C. Levi-Strauss sur « la structure des mythes 128 » un modèle « comparable au modèle constitutionnel » du « carré sémiotique » qu’il est en train d’élaborer. L’analyse sémiotique et ses procédures méthodologiques vont se démarquer plus nettement encore du structuralisme à partir du concept de « discours » élaboré par E. Benveniste. En centrant sa réflexion sur le langage autour des notions de sujet et de discours, ce dernier en arrive à affirmer qu’un message n’est pas seulement homologable ni réductible à une suite d’unités ou d’éléments mais qu’il doit être saisi dans son ensemble : « ce n’est pas une addition de signes qui produit le sens, c’est au contraire le sens (« l’intenté ») conçu globalement qui se réalise et se divise en « signes » particuliers, qui sont les MOTS 129  ». L’analyse sémiotique consistera dès lors moins à découper le message ou le texte en signes qu’à « construire un métalangage approprié (comportant des modèles, des procédures etc...) 130 rendant compte de la production du discours ou du texte comme d’un ensemble significatif et décrivant les conditions de production du sens dans sa particularité. S’il est vrai que le discours ou le texte doit être ainsi appréhendé comme un tout de signification, qu’est-ce qui fait la cohérence d’un texte ? « L’existence du discours -et non d’une suite de phrases indépendantes- ne peut être affirmée, selon A. J. Greimas, que si l’on peut postuler à la totalité des phrases qui le constituent une isotopie commune, reconnaissable grâce à la récurrence d’une catégorie ou d’un faisceau de catégories linguistiques tout le long de son déroulement » 131 De la sorte, pour expliquer cette cohérence, se trouve postulée dans le discours l’existence d’isotopies, définies comme des catégories de sèmes récurrents fonctionnant, de même que toute catégorie sémantique, suivant des relations multipolaires. En effet, les termes de ces catégories sémiques « sont entre eux, dans une relation de contrariété, chacun étant en même temps susceptible de projeter un nouveau terme qui serait son contradictoire, les termes contradictoires pouvant à leur tour, contracter une relation de présupposition à l’égard du terme contraire opposé » 132 Ainsi, entre chaud et froid qui constituent des termes extrêmes, on peut reconnaître une relation de contrariété. Chacun des deux termes étant posé, il est toujours possible d’imaginer un autre terme ; le choix ne se fait pas nécessairement entre chaud et froid, entre le sème 1 et le sème 2 dans la mesure où ils sont diamétralement opposés. De chacun des deux termes, d’ailleurs, on peut faire surgir, par simple négation, un autre terme dit contradictoire. Entre chaud et non chaud, comme entre froid et non froid, contrairement à ce qui se passe entre chaud et froid, existe une relation d’exclusion ou de contradiction telle que le choix se fait obligatoirement entre S1 ou non S1 comme entre S2 ou non S2 : de deux choses l’une, c’est chaud, ou ce n’est pas chaud ; c’est froid, ou ce n’est pas froid. Ajoutons que, pour aller d’un terme contraire à l’autre, il faut nécessairement passer par le négatif du premier : S1 (chaud) implique nécessairement non-froid, non-froid rend possible chaud.

On appelle une telle représentation des isotopies, ou des sèmes récurrents, dans un texte, le carré sémiotique. Articulés de la sorte, suivant des relations de contrariété et de contradiction, les sèmes constitueront le niveau le plus profond de la « sémantique fondamentale », qui permet au critique de révéler tout l’implicite et les présupposés d’un discours ou d’un texte.

Avec la découverte en 1958, de la Morphologie du conte de V. Propp (ouvrage publié en 1928 mais qui n’eut un véritable retentissement en Occident qu’à la suite de l’édition anglaise et de la présentation qu’en fit C. Levi-Strauss 133 ), l’occasion était offerte à la science sémiotique naissante d’investir conceptuellement de nouveaux domaines de recherches, celui des formes actancielles à propos du récit et celui des transformations du récit.

Rappelons que V. Propp se proposait, à travers son étude d’élaborer une « description des contes selon leurs parties constitutives, et des rapports de ces parties entre elles et avec l’ensemble » 134 . Il tire de la comparaison des contes observés qu’un nombre limité de 31 fonctions permet de rendre compte de l’organisation structurant le récit et que la succession des fonctions [y] est toujours identique » 135 . A la suite de cette constatation, V. Propp élabore un modèle des actants, conçus d’après leur « sphère d’action », autrement dit le groupe des fonctions auxquelles ils prennent part. Sept actants sont retenus : l’agresseur, le donateur, l’auxiliaire magique, le mandateur, le héros, le faux héros et la princesse (le personnage recherché) 136 . Reprenant les conclusions de Propp et les confrontant au modèle d’E. Souriau acquis à partir de l’observation de Deux cent mille situations dramatiques, A. J. Greimas, dans le chapitre de Sémantique structurale intitulé « Réflexions sur les modèles actanciels » 137 propose de réduire à six le nombre des fonctions actancielles ou actants capables de représenter l’action dans ses forces agissantes : le sujet et l’objet, le Destinateur et le Destinataire, l’Adjuvant et l’Opposant. Précisons que ces rôles, à la différence des modèles antérieurs, sont ici corrélatifs, ce qui signifie que l’un n’existe pas sans l’autre : « pas de sujet sans un objet auquel il est relié et par rapport auquel il se définit » 138 . La relation unissant le sujet et l’objet est de l’ordre de la « transitivité » ou du « désir » ; celle qui relie le destinateur et le destinataire fait de l’objet non plus seulement un objet de désir mais un objet de communication ; quant aux deux autres actants, l’adjuvant et l’opposant, l’un a pour fonction d’apporter de l’aide, en facilitant l’action du héros tandis que l’autre contrecarre cette action, « en s’opposant soit à la réalisation du désir, soit à la communication de l’objet » 139 .

Au chapitre suivant de Sémantique structurale (1966) intitulé « A la recherche des modèles de transformation », A. J. Greimas se propose de réduire l’inventaire des fonctions de Propp « de manière à saisir un ensemble fonctionnel comme une structure simple » 140 . A partir de l’observation de constantes dans les fonctions, il procède à leur réduction à des « catégories fonctionnelles », ce qui lui permet tout à la fois de rendre compte des rapports paradigmatiques entre ces fonctions tout en conservant leur statut d’éléments dans la succession et la consécution syntagmatique du récit. Une telle analyse lui permet d’aboutir à un schéma des « trois épreuves que comporte le récit : l’épreuve qualifiante, l’épreuve principale, l’épreuve glorifiante » 141 . La première épreuve, dite qualifiante, permet au héros d’acquérir les compétences et les qualités requises pour l’affrontement de la seconde épreuve. Ainsi qualifié, le héros peut alors entreprendre l’épreuve décisive, où il accomplit le contrat ou mandat dont il était investi. S’inscrit l’épreuve glorifiante où le héros se trouve rétribué et gratifié pour son action.

Une étape ultérieure de la réflexion permettra d’aboutir à une véritable syntaxe narrative. Posant comme principe qu’un récit est fait d’une succession d’états (domaine de l’être) et de transformations (domaine du faire), A.J. Greimas et son école définissent le héros comme le sujet opérateur de la transformation et postulent l’existence de programmes narratifs simples ou complexes comme autant de séquences énoncées du faire. Dans la description des différentes étapes du programme narratif d’une transformation, on retrouve les trois épreuves du schéma initial, obtenu à partir de la simplification des fonctions de Propp. La première étape, qui est celle du contrat ou de la motivation (manipulation), correspond à la communication d’un vouloir-faire. Dans la deuxième étape, appelée compétence, qui se définit comme l’acquisition ou la disposition d’un savoir-faire ou d’un pouvoir-faire, on reconnaît sans peine « l’épreuve qualifiante ». La troisième étape, étiquetée du terme de performance, est l’exercice du savoir-faire acquis et correspond à « l’épreuve décisive » qui, si elle aboutit, réalise la transformation d’état recherchée. Quant à la quatrième étape, appelée sanction (ou phase de reconnaissance) elle se définit comme « l’épreuve glorifiante ».

Si l’ouvrage fondateur de l’école française de sémiotique, Sémantique structurale met l’accent sur l’étude des formes narratives, l’intérêt va se porter dans la suite sur le procès d’énonciation, et ce notamment dans le sillage des travaux d’E. Benveniste. Le dictionnaire Sémiotique d’A.J. Greimas et J. Courtés (1979) contient déjà les principaux concepts d’une analyse de l’acte d’énonciation. « Construire le texte comme discours, c’est à dire comme résultat d’une instance énonciative présupposée » 142 , tel est bien le programme que se fixent désormais les sémioticiens. Cela revient non seulement à distinguer le texte énonciatif et le texte énoncif, mais aussi à rendre compte du texte en spécifiant à chaque niveau d’énonciation identifié les indicateurs du débrayage énonciatif. « On peut essayer de définir le débrayage comme l’opération par laquelle l’instance de l’énonciation disjoint et projette hors d’elle, lors de l’acte de langage et en vue de la manifestation, certains termes liés à sa structure de base pour constituer ainsi les éléments fondateurs de l’énoncé-discours » 143 . Au nombre des éléments faisant l’objet d’un débrayage figurent les constituants de l’instance énonciative elle-même, que l’on peut concevoir comme la relation syncrétique entre un « je », un « ici » et un « maintenant ». L’acte de langage produisant l’énoncé consistera à articuler par disjonction ou débrayage actanciel, un « non-je » ou actant disjoint du sujet de l’énonciation, à proférer par débrayage temporel, un « non-maintenant » disjoint des moments de l’énonciation à projeter par débrayage spatial, un « non-ici », soit un lieu distinct de celui de l’énonciation. Une telle analyse permet de rendre compte de l’énonciation comme d’un acte : « l’énonciation est un acte et, comme telle, elle est assimilable - dans son ordre et à son niveau [...] à un programme narratif déterminé qui met en jeu trois actants » 144 . Ces trois actants sont l’énonciateur (sujet du faire énonciatif), l’objet qui correspond à l’énoncé, et le sujet à qui s’adresse l’énoncé, l’énonciataire. S’il est vrai que l’énonciateur réel et son énonciataire ne sont jamais directement perceptibles dans l’énoncé, ils peuvent avoir des substituts et « la structure actancielle de la communication est projetable, fictivement, à l’intérieur même de l’énoncé » 145 . Ainsi de l’énonciation à l’énoncé peuvent être articulés plusieurs sujets énonciatifs, de l’énonciateur réel présumé (assimilé à l’auteur) aux actants de l’énonciation rapportée (les interlocuteurs du dialogue romanesque ou théâtral), en passant par la figure du narrateur (actant de l’énoncé et de l’énonciation énoncée).

Comme on a pu le voir à travers cet aperçu historique où ont été rappelés les apports décisifs de Saussure, de Hjelmslev et de Propp, l’approche sémiotique s’est progressivement construite, avec A.J. Greimas en particulier, dans la relecture et l’intégration de ces différents apports, comme un ensemble cohérent, dans une autonomie de plus en plus grande par rapport aux modèles linguistiques et structuralistes. Il est temps d’envisager, de façon récapitulative, quelle théorie du texte élabore l’approche sémiotique du discours et des textes et quelles étapes méthodologiques jalonnent une analyse sémiotique des textes.

Notes
113.

Saussure (Ferdinand de), Cours de linguistique générale, Paris, Payot, 1985, p. 33.

114.

Saussure (Ferdinand de), Ibid. p. 33.

115.

Ibid., p. 100.

116.

Ibid., p. 101.

117.

Ibid., p. 100.

118.

Ibid., p. 107.

119.

Ibid., p. 23.

120.

Hénault (Anne), Les enjeux de sémiotique, Introduction à la sémiotique générale, Paris, PUF, 1979, p.13. L’auteur rappelle, à ce sujet, la prise de position de R. Barthes renversant la proposition de Saussure : « la linguistique n’est pas une partie même privilégiée de la science générale des signes, c’est la sémiotique qui est une partie de linguistique ». [Barthes (Roland), Communications n° 4, Paris, Le Seuil, 1964, p. 2.]

121.

Greimas (Algirdas-Julien), Sémantique structurale, Paris, PUF, 1986 (première édition 1966), p. 6.

122.

Hénault (Anne), Les enjeux de la sémiotique, op. cit., pp. 14/15.

123.

Coquet (Jean-Claude), Le discours et son sujet, Paris, Klincksieck, tome 2, 1985 (cité dans Hénault (Anne), Histoire de la sémiotique, op. cit., 1992).

124.

Cf. en particulier la formule de Saussure : « la langue est une forme et non une substance » (Cours de Linguistique Générale), op. cit., p. 169).

125.

Hjelmslev (Louis), Essais linguistiques, Paris, Minuit, 1971, p. 44.

126.

Hénault (Anne), Les enjeux de la sémiotique, op. cit., pp. 28/29.

127.

Greimas (Algirdas-Julien), Sémantique structurale, Paris, PUF, 1986 (première édition 1966), p. 19.

128.

Levi-Strauss (Claude), Anthropologie structurale, Chap.XI, « La structure des mythes », Paris, Plon, 1958, pp. 227-255.

129.

Benveniste (Emile), « Sémiotique de la langue », in Problèmes de linguistique générale, II, Paris, Gallimard, 1974, p. 64.

130.

Greimas (Algirdas-Julien) et Courtés (Joseph), Sémiotique, dictionnaire raisonné de la théorie du langage, Paris, Hachette, 1993, (1ère édition 1979), article « Construction », p. 65.

131.

Greimas (Algirdas-Julien), Maupassant, La sémiotique du texte, Paris, Le Seuil, 1976, p.28.

132.

Greimas (Algirdas-Julien), Du sens, « Eléments d’une grammaire narrative », Paris, Le Seuil, 1970, p. 160.

133.

Levi-Strauss (Claude), « La structure et la forme. réflexion sur une oeuvre de Wladimir Ja Propp, « texte repris dans Anthropologie Structurale deux, Paris, Plon, 1973, p. 139.

134.

Propp (V.J.), Morphologie du conte, Paris, Le Seuil, 1965, p. 28.

135.

Ibid., p. 32.

136.

Ibid., p. 96 et 59.

137.

Greimas (Algirdas-Julien), Sémantique structurale, Paris, PUF, 1986 (première édition 1966), pp. 172-191.

138.

Groupe d’Entrevernes, Analyse sémiotique des textes, Lyon, Pul, 1979, p. 15.

139.

Greimas (Algirdas-Julien), Sémantique structurale, op. cit., p. 178.

140.

Greimas (Algirdas-Julien), Sémantique structurale, op. cit., p. 193.

141.

Ibid., p. 206.

142.

Geninasca (Jacques), article « Sémiotique », dans Méthodes du texte, introduction aux études littéraires, Paris, Duculot, 1987, p.49.

143.

Greimas (Algirdas-Julien) et Courtès (Joseph), Sémiotique, dictionnaire raisonné de la théorie du langage , op. cit., p. 79.

144.

Courtès (Joseph), Analyse sémiotique du discours, De l’énoncé à l’énonciation, Paris, Hachette, 1991, p. 248.

145.

Ibid., p. 249.