Je tiens à exprimer ma profonde reconnaissance à toutes les personnes qui ont contribué, de près ou de loin, à l'achèvement de ce travail.
Mes remerciements vont en priorité à Marie-Madeleine De Gaulmyn et à Harriet Jisa, deux grandes dames qui m'ont permis de mener à bien cette recherche. Marie-Madeleine De Gaulmyn a su, dès mon entrée à l'université, me faire découvrir et apprécier le vaste domaine de l'acquisition de l'écrit. La confiance qu'elle m'a portée, ses compétences, sa rigueur d'analyse sont à l'origine de mon investissement. Quant à Harriet Jisa, je lui dois énormément pour avoir accepté de "prendre le relais", pour l'énergie, la disponibilité, les savants conseils, les corrections et les REcorrections dont elle m'a fait profiter. Je la remercie également de m'avoir ouvert les portes de la recherche en m'offrant la possibilité de participer à divers colloques et de rencontrer d'autres spécialistes en acquisition.
Toutes deux m'ont été d'une aide précieuse tant dans les périodes d'enthousiasme que dans les moments de doutes profonds quant à la continuité du travail entrepris.
Je tiens à remercier aussi Jean-Marie Hombert, directeur du laboratoire Dynamique Du Langage qui a accepté de m'accueillir "en cours de route" et qui m'a immédiatement offert des conditions de travail exceptionnelles. En se préoccupant du bien-être de chacun des membres de son équipe, il fait régner une ambiance de travail, de sympathie et d'échange.
Je me sens très honorée par la présence dans mon jury de spécialistes aussi réputés que compétents : Ruth Berman, Geneviève De Weck et Michel Fayol qui ont accepté de m'accorder une place dans leur emploi du temps chargé, et dont les travaux clairs et pertinents m'ont été d'une aide efficace tout au long de ces années d'études universitaires.
Je remercie également à François Nsuka-Nkutsi pour m'avoir confié, dès ma première année de doctorat, des heures d'enseignement. Il m'a donné l'occasion de faire une expérience enrichissante par la méthode, le sérieux, la remise en question qu'une telle activité implique.
Un grand merci aussi à tous les membres du laboratoire Dynamique Du Langage qui m'ont rapidement intégrée dans une équipe pluridisciplinaire déjà constituée. Je pense en priorité à Frédérique Gayraud sans qui ce travail ne serait pas ce qu'il est aujourd'hui : ses relectures nombreuses et soignées (jusqu'à la dernière minute !) et ses brillantes remarques m'ont poussée à approfondir chacun des chapitres de cette thèse et je l'en remercie très sincèrement. Je pense également à Anne Viguié, complice de longue date, qui n'a cessé de m'écouter, de me conseiller et qui a su rester présente dans les moments les plus difficiles, à Sophie Kern pour la sagesse de ses réflexions, à Linda Béranger pour son efficacité et son sens de l'organisation, à Collette Grinevald pour ses conseils méthodologiques, à Denis Creissels pour les réponses claires qu'il a su apporter à mes nombreuses interrogations, à Anetta Kopecka pour m'avoir guidé dans mes recherches bibliographiques, à Pavlina Sedlakova pour ses relectures, à Géraldine Hilaire pour m'avoir conseiller certaines lectures, à François Pellegrino pour ses compétences en statistique, à Sylvie Nouguier, Florence Chenu, Sumikasu Nischio, Égidio Marsico et Christian Fressard pour leurs conseils et leur aide en informatique, à Stéphane Janczarski pour avoir corrigé la majeure partie du document et, enfin, à Melissa Barkat pour sa vivacité d'esprit, sa bonne humeur et ses encouragements de tout instant.
Je ne peux évidemment oublier le chaleureux accueil de monsieur Henriot, directeur du centre scolaire de la Plaine, et de ses collègues qui ont adapté l'organisation de leurs journées afin de me faciliter la lourde tâche de collecte des données. J'ai aussi une pensée pour les enfants et les étudiants qui ont bien voulu participer aux tâches expérimentales.
Mes derniers remerciements vont à mes proches. À mes parents pour m'avoir fait comprendre, tant bien que mal (!), le privilège de l'éducation, pour leur soutien, leur confiance, leur affection, à Caroline et Alexandre, confidents de toujours et à qui je n'ai pas eu le temps de me consacrer ces derniers mois et à tous les autres membres de cette extraordinaire famille qui ont suivi attentivement l'élaboration de ce travail, sans oublier mon grand-père disparu trop rapidement et dont le souvenir reste très présent.
À Nicolas, pour sa patience, sa compréhension, pour la façon qu'il a de croire en moi.