Les résultats schématisés par le graphe 1 confirment la première hypothèse : le fait que l'histoire soit ou non préalablement connue n'a aucune influence sur la mise en mots des CN, du moins pour 5 groupes d'âge sur 6. Autrement dit, une fois que la structure du type textuel narratif est acquise, les sujets parviennent à l'extraire et à la reproduire, que l'histoire à réécrire leur soit familière ou non : la structure narrative est donc plus forte que le trait [+/– connu].