Adultes
- SAN AF9E1 (105)
- Une petite fille aimait sa grand-mère
et celle-ci lui rendait bien. <Une>
Un jour la grand mère fit un cadeau à la petite fille : un chaperon de velours rouge.
La petite fille l’aimait tellement
qu’elle ne le quitta plus
et qu’on l’appella "Le petit Chaperon Rouge".
Un jour, la mère du petit Chaperon Rouge lui dit
"Porte ce petit pot de beurre et cette galette à ta grand mère,
elle est très malade."
Le petit Chaperon prit le panier de provision
et partit à travers bois
pour retrouver sa grand mère.
En chemin elle rencontra le loup
qui lui demanda
où elle allait.
"Je vais chez ma grand mère
qui est très malade
pour lui porter cette galette et ce pot de beurre."
"Et bien moi aussi je vais y aller.
Nous prendrons deux chemins différents
pour voir
lequel de nous deux arrivera le 1er."
Le loup se mit à courir très vite
en emprunta le chemin le plus court.
Il arriva devant la maison de la grand mère
et frappa à la porte. Toc toc toc.
"Qui est là ?
dit la grand mère!
"C’est moi, le petit Chaperon rouge"
dit le loup
en contrefaisant sa voix.
"Tire la chevillette
et la bobinette chera.
"Le loup tira la chevillette
et la porte s’ouvrit.
Il sauta sur la grand mère
et la devora.
Pendant ce temps, le petit chaperon rouge cueillait des fleurs.
Lorsque son bouquet fut très gros,
elle repensa à sa grand mère
et se depecha de la rejoindre.
Toc toc toc. "Qui est là !"
dit le loup.
C’est le petit Chaperon rouge.
Je t’apporte une galette et un petit pot de beurre !
"Tire la chevillette
et la bobinette chèra.
Je suis trop faible
pour t’ouvrir."
Le petit Chaperon tira sur la chevillette
et la porte s’ouvrit.
La grand mère avait son bonnet
qui lui recouvrait presque toute la tête.
"Grand mère que vous avez de grandes oreilles !"
dit le petit Chaperon .
"C’est
pour mieux t’entendre mon enfant"
dit le loup
"Grand mère que vous avez de grands bras !"
"C’est
pour mieux t’attraper mon enfant"
"Grand mère que vous avez une grande bouche et de grandes dents"
"C’est
pour mieux te manger"
et le loup sauta sur le petit C.R.
et le dévora.
Repu
il s’endormit
et se mit à ronfler très très fort.
Le chasseur qui passait
entendit les ronflements.
"La grand mère ronfle bien si fort.
Je vais voir
se qui se passe".
Il entra
et vit le loup
endormit.
Il allait se servir de son fusil
pour le tuer
quand il pensa
que le loup avait peut être manger la grand mère
et qu’il était peut-être encore temps
de la sauver.
Il prit des ciseaux
et découpa le ventre du loup.
Après 2 coups de ciseaux il aperçut le petit C.R.
qui sauta du ventre du loup.
"Oh comme j’ai eu peur,
dit-<il> la petite fille,
et comme il faisait noir dans le ventre du loup".
La grand mère sortit aussi
avec beaucoup de mal à respirer.
Le petit C.R. alla chercher des pierres
qu’elle mit dans le ventre du loup.
Celui-ci se reveilla
et quand il voulu s’enfuir,
son ventre était tellement lourd
qu’il tomba
et mourut.
Tous le monde était content.
Le chasseur partit avec la peau du loup,
la grand mère mangea la galette et le petit <peau> pot de beurre
et le petit C.R. se jura
de ne plus s’eloigner du chemin
lorsque sa maman ne lui aura pas dit. - BER AG4E1 (117)
- Il était une fois, une fillette
à laquelle sa grand-mère offrit un chaperon rouge.
Ce cadeau plut tellement à la fillette
qu’elle ne porta plus que son chaperon rouge,
tant et si bien que les gens la surnomère le petit chaperon rouge.
Un jour que sa grand-mère était malade,
la mère du petit chaperon rouge <> fit un panier avec une galette et un petit pot de beurre
pour que le petit chaperon rouge l’apporte à sa grand-mère
en lui recommandant
de ne pas abimer le contenu du panier.
La grand-mère habiter à une demi-heure de chez le petit chaperon rouge
et il fallait traverser les bois.
En chemin, le petit chaperon rouge rencontra le loup
qui lui conseilla
de prendre un chemin
qui s’avérait être plus long.
Le petit chaperon rouge fit confiance au loup
et prit le chemin en question.
Profitant au passage de la présence de quelque fleur
qu’elle ramassa
pour faire un bouquet.
Pendant ce temps, le loup couru à toute jambe par le chemin le plus court
pour aller jusque chez la grand-mère.
Arrivé à la porte de la maison
il frappa.
La grand-mère lui dit <>
"Qui est-ce ?",
"Le petit chaperon rouge" répondit le loup
en faussant sa voix.
La grand-mère qui cru
le reconnaitre
dit alors
" <> Tire la bobinette
et la chevillette chera ( ?)"
ce que le loup fit.
Il put alors entrer dans la maison,
sauta sur la grand-mère,
et l’avalla
sans même la macher011
Pendant ce temps le petit chaperon rouge continuait à faire son bouquet.
Celui-ci était devenu si gros
que (chose étrange), le petit chaperon rouge se rappella
qu’elle devait aller chez sa grand-mère
(et non ramasser des fleur).
Elle se remit donc en chemin.
Arrivé à la porte de chez la grand-mère,
elle frappa.
Le loup, qui s’était déguisé avec les vêtements de la grand-mère,
et avait pris sa place dans son lit,
répondit
"Qui est là ?", <> <le>
"Le petit chaperon rouge" répondit ce dernier.
"Tire la bobinette
et la chevillette chera"
dit alors le loup
en prenant la voix de la grand-mère.
Le petit chaperon rouge s’executa
et se dirigea vers le lit
dans <lequelle> lequel était le loup.
La fillette surprise
dit au loup :
"Que vous avez de grandes oreilles grand-mère <?> !
"C’est
pour mieux t’entendre mon enfant"
dit le loup,
"Que vous avez de grands yeux <?> !"
dit la fillette,
"C’est
pour mieux te voir mon enfant"
dit le loup,
"Que vous avez une grande bouche et de grandes dents !"
dit la fillette,
"C’est
pour mieux te manger"
répondit le loup
en devorant le petit chaperon rouge si vite
que celui-ci n’eut le temps
de réagir.
Le loup, reput de son repas,
decida
de faire une sieste sur le lit de la grand-mère.
Il ronflait si fort
qu’un chasseur qui passait par là
l’entendit
et se demanda
ce que la vielle femme avait à ronfler si fort.
Intrigué,
il entra dans la maison
et aperçu le loup dans lit de la grand-mère.
Il le mit en joue
mais se ravisa,
se disant
que la grand-mère était peut-être encore vivante dans le ventre du loup.
Il ouvrit alors le loup
qui dormait profondément.
De son ventre le petit chaperon rouge sortit,
paniqué par l’horrible experience
qu’il venait de vivre.
Puis se fut au tour de la grand-mère
de sortir du ventre du loup.
Ils decidèrent alors
de punir le loup
en lui métant des pierres dans le ventre
et de le recoudre.
Celui-ci se reveilla,
voulu bondir,
mais alourdi par les pierres,
tomba
et se tua sur le coup.
Les trois comparse étaient content,
le chasseur avait la peau,
la grand-mère sa galette et son petit <peau> pot de beurre,
et le petit chaperon rouge... son chaperon rouge.
De cette èxperience le petit chaperon rouge tira une leçon
et se dit :
"Desormais, j’ecouterai
ce que me dit ma mère"
CHA AG1E2 (92)011Dan, le petit chasseur canadien
Dan, petit garçon, était depuis peu, <> un chasseur.
Il mit sa casquette en peau de renard
et partit
chasser.
Dan était un chasseur de lapins, d’ours et même de daims.
Le petit trappeur chassait ces animaux pour leur peau.
Sur son chemin, Dan vit un lapin devant lui ;
il pointa son fusil sur le lapin
mais dès qu’il vit le regard du lapin,
il ne tira point.
Le lapin l’en remercia
et dit
que Dan était un gentil chasseur. <Dan parla de la petite indienne, alors qu’il la rencontra>.
A ce moment-là, la petite indienne le surprit
et rigola,
elle dit à Dan
qu’il n’était pas un bon chasseur.
Pour ne pas perdre la face,
Dan dit à la petite indienne
qu’il était un chasseur-trappeur
et qu’il allait attraper un renard
pour lui faire un oreiller en peau de renard. <Il>.
La petite indienne le prit au mot.
Et Dan alla installer cinq trappes : quatre petites trappes pour des petits renards et une plus grosse pour un gros renard.
En installant les trappes,
un animal au museau blanc et à la fourrure rouge surgit de nulle part.
Il demanda à Dan
à quoi allaient servir ces trappes.
Dan lui expliqua
que ces trappes lui servaient
à piéger des renard.
Et <pourquoi> pourquoi la cinquième trappe était-elle plus grosse ?
Cette trappe était plus grosse
car elle piègerait un gros renard.
L’animal au museau blanc et à la fourrure rouge lui demanda
si le renard était gros
comme Dan lui-même.
Dan lui répondit
que oui.
Sur ce, Dan continua son chemin.
A cet instant, il vit
un porc-épique pris dans une des trappes.
Le porc-épique gémit
et supplia Dan
de le délivrer.
Il dit
que sa fourrure n’était pas belle.
Dan le délivra.
Le porc-épique le remercia
et dit à Dan
qu’il était un gentil chasseur.
Le petit chasseur canadien expliqua au porc-épique
qu’avec les trappes il allait attraper un renard
pour pouvoir faire un oreiller à la petite indienne.
Pendant ce temps, l’animal au museau blanc et à la fourrure rouge qui était un renard
(Dan ne le savait pas)
resta assis à côté de la plus grosse trappe
après l’avoir recouverte de feuillages.
Il se dit
que le trappeur sera à son tour attrapé.
En revenant vers la cinquième trappe en compagnie du porc-épique,
Dan vit l’animal au museau blanc et à la fourrure rouge.
Le porc-épique chuchota à Dan
que cet animal était un renard.
Dan <> se dirigea donc vers le renard,
en s’approchant de l’animal,
il tomba dans le piège.
Le renard ricana <>
Tel est pris
qui croyaient prendre !
Dan ne pouvait plus bouger.
Il se mit à pleurer
en disant
qu’il était un mauvais chasseur
et qu’il ne pourrait pas apporter un oreiller en peau de renard à la petite indienne !
Le porc-épique intervint
et dit au renard
que Dan était un gentil chasseur ;
et qu’il l’avait sauvé.
Après quelques minutes de réflexion, le renard libéra Dan
qui était toujours désespéré.
A cet instant le renard fit une proposition :
il dit à Dan
qu’il ferait lui-même l’oreiller
sans bouger son corps, ni même la queue.
Dan trouva cette idée grandiose
et accepta.
La petite indienne le féliciterait...
Quant au renard, il se dit
qu’après tout, son idée était bonne
car en allant chez le père de la petite indienne,
il pourrait manger des poulets bien gras.
- ISA AG5E2 (109)
- C’est l’histoire de Dan le petit Chasseur.
Un matin il décida
de partir
chasser,
il mit sa casquette
et <prend> prit son <> fusil.
Il se voyait déjà
ramener des ours, des renards, des lapins
et les montrer à la petite indienne
qui serait alors très fière de lui.
Il se dirigea donc vers la forêt
quand tout à coup un lapin bondit devant lui
et commenca à lui parler gentillement,
il avait envie
de jouer
Dan tout étonné
braqua son fusil sur le lapin
mais ce dernier était si gentil
que Dan ne pût tirer.
En colère, il le pria
de s’en aller
avant qu’il ne lui arrive un malheur,
et le petit lapin partit
en souriant.
La petite indienne qui était alors <tapit> tapie dans les buissons,
en sortit
en rigolant,
en se moquant de Dan
qu’elle croyait chasseur et grand trappeur.
Dan blessé dans son orgueil
promit
de lui ramener une peau de renard pour son oreiller,
comme elle lui avait demandé.
Dan partit donc
poser des trappes, cinq précisemment : quatre petites
pour attraper quatre petits <lapins> renards, et une très grande
pour attraper un très grand renard. <Donc>
Dan commenca donc à poser la première trappe
et il se rendit compte
qu’un petit renard très curieux
le suivait de près.
En effet, se petit renard voulait apprendre
comment poser des trappes.
Dan accepta donc
de lui montrer.
Quand Dan arriva au dernier piège,
le renard fut surpris de sa grandeur
et demanda à Dan
si le <lapin> renard destiné à ce faire prendre dans ce piège
serait aussi grand que lui.
Et Dan, naïf, répondit
que oui.
Ayant disposé tout ses pièges
Dan s’en éloigna.
Pendant ce temps le petit renard qui avait compris le dispositif,
en profita
pour décaler le grand piège de deux pas en arrière
et le recouvrir de branchages et de mousse <s>,
afin que Dan par inadvertance, se prenne les pieds dedans.
Dan alla donc se poster derrière les buissons
afin d’observer ses trappes.
A ce moment là, un porquépic se fit piéger dans la première trappe.
Le jeune porquépic était tout affolé
et craignait la réaction de sa mère
quand elle saurait
qu’il s’était fait prendre dans une trappe.
Dan qui n’avait rien à faire d’un porquépic,
car la peau de ce dernier était trop piquante
pour faire 1 oreiller,
alla s’empresser de le libérer.
Le porquépic le remercia vivement
et décida
d’aller se poster avec Dan derrière les buissons
en attendant
que les renards arrivent.
Après un court instant d’attente, Dan et le porquépic virent
arriver un renard
qui alla se faire prendre
dans le piège situé juste derrière le grand.
Dan se précipita
pour récupérer sa proie,
mais il se fit prendre au piège par la grande trappe.
Le trappeur fut l’attrapé !
Dan était alors paniqué,
il supplia en sanglot,
les renards de le <laisser s’en aller> libérer.
Le porcépic qui était devenu <sont> son ami en fit de même,
mais rien n’y fit.
Le renard n’était pas l’ami du petit trappeur <et>
qui n’avait pas eu de pitié pour <les renards> ces derniers.
Le renard pour paniquer encore plus le chasseur en herbe
lui dit
qu’il ferait de lui un bon oreiller.
Dan était terrorisé
et n’en finissait plus de pleurer.
Il trouva un accord avec le renard
qui pourrait faire l’oreiller de la petite indienne <sàns>
sans être tué,
il resterait tranquillement sous sa tête
sans bouger.
Dan accepta
et fut libéré.
Sur le chemin du retour Dan était heureux
d’avoir été libéré
et penser à la surprise
qu’il ferait à la petite indienne, <quand>
quant au renard il pensait au père de la petite fille
qui possédait de bon et gros poulets dans sa ferme,
il en avait déjà l’eau à la bouche.