§1. Le positivisme néoclassique

Dissocier faits et valeurs : c’est sur cette volonté que se fonde le positivisme néoclassique (A), dont l’économie du bien-être est un des ultimes aboutissements (B). Au-delà même des défaillances de l’économie du bien-être, ce sont les fondements de la posture épistémologique néoclassique qui sont remis en question (C).