Remerciements

Je remercie le professeur Granger pour l’aide précieuse qu’il m’a apportée durant ces quatre années de travail. Ses encouragements ont été d’un grand secours.

De nombreuses personnes ont jalonné ces années et ont participé directement ou indirectement à l’écriture de cette thèse. Durant mon séjour à Penn, l’université de Pennsylvanie, le professeur Michael Zuckerman m’a donné, par sa compétence, sa gentillesse, sa grande capacité d’écoute et son immense ouverture d’esprit, ainsi que son enthousiasme et son humilité, l’envie de persévérer dans cette tâche de longue haleine. Je lui exprime ici ma profonde admiration et mes remerciements les plus sincères. Je remercie également mon ami Ted Asregadoo, alors étudiant dans le séminaire de M. Zuckerman, avec qui j’ai eu de nombreuses discussions passionnantes.

Je tiens à remercier tout particulièrement l’équipe du Andrew Jackson Papers Project de l’université du Tennessee à Knoxville, dirigée par Harold D. Moser et composée en outre de David Hoth, Clint Clift et Dorothy Brooks. Sans leur connaissance intime de Jackson, leur aide précieuse, leur accueil exceptionnel, leur amitié et leur gentillesse, ce travail n’aurait pas abouti. Leur totale coopération, leur soutien, les nombreuses conversations que j’ai pu avoir avec eux, durant mon séjour et jusqu’à aujourd’hui, l’accès libre à la photocopieuse du centre, tout cela restera à jamais gravé dans mon coeur. Merci à David Hoth et à Clint Clift d’avoir lu si consciencieusement une partie du manuscrit et d’avoir répondu si souvent avec tant de patience et de pertinence aux questions multiples que j’ai pu leur poser. S’il subsiste des erreurs, ce sont évidemment les miennes.

Je tiens à remercier chaleureusement Jérôme et Stéphanie pour leur soutien logistique, leurs lectures critiques et leur affection. Merci aussi à Norbert Col pour ses remarques et ses conseils avisés, ainsi que pour son amitié. Mes remerciements les plus sincères à Claudine pour sa patience et son impatience, sa compétence et son amitié. Merci aussi à Catherine.

Ces remerciements ne seraient pas complets sans la mention d’autres personnes qui m’ont permis sous d’autres formes, au fil des années, de compléter cette étude. Mes parents, George, Yvette, Jacqueline, les professeurs, tout particulièrement Mmes Collomb-Boureau et Fillard, MM. Rongier et Guinle, et les ami(e)s qui, par leur regard distancié, ont contribué à relativiser l’importance de cette entreprise dans ma vie.

Je remercie tout particulièrement Pascaline Dury pour son soutien inconditionnel, l’acuité de ses lectures et les remarques impitoyables, mais toujours pertinentes, qu’elle a pu faire tout au long de ce travail. Je la remercie surtout d’être là.