1/ Des rapports mitigés :

a) Le rejet d’une société :

Nous aurions pu intituler cette partie « nul n’est prophète en son pays , ou comment Boudjedra l’enfant terrible et Kundera l’analyste de la désagrégation de la vieille Europe, l’une des consciences les plus lucides de la littérature contemporaine 18, se sont mis dos au mur face à leurs pays d’origine ». Nous avons résumé cette phrase, trop longue pour être un titre, par la combinaison des termes « rejet » et « société ». Le premier reflète une certaine attitude adoptée, le second porte en lui un aspect humain, certes codifié mais où le côté idéologique que l’on pourrait trouver dans « nation » ou « patrie », est réduit au minimum.

A ce stade de notre travail, l’évocation des éléments biographiques semble nécessaire. Nous n’irons pas jusqu’à chercher l’interprétation des oeuvres dans la vie des auteurs, démarche qui a fait ses preuves à une certaine époque mais qui, aujourd’hui, est obsolète. Il est toutefois indispensable, ne serait-ce que pour la crédibilité de ce travail, de connaître les écrivains dont nous étudions les textes. Ceci d’autant plus que le point commun qui les unit de prime abord est sans conteste le rejet de leurs société. S’agit-il d’un rejet unilatéral ou réciproque ? Nous tâcherons de répondre à cette question en regroupant les informations disséminées dans les dictionnaires, les encyclopédies, etc. Afin que nos propos soient clairs, nous avons préféré présenter les auteurs séparément.

Rachid Boudjedra est né le 5 septembre 1941 à Aïn Beïda (appelée aussi Daoud), petite ville proche de Constantine et de la frontière tunisienne. Issu d’une famille bourgeoise et conservatrice, il assiste à la répudiation de sa mère qui lui inspirera plus tard son premier roman. Cité par Jean Déjeux, Boudjedra affirme à ce propos :

‘« J’ai (...) eu des problèmes avec mon père quand il a répudié ma mère. J’en ai énormément souffert. Mon père a épousé trois femmes. J’ai une vingtaine de frères et soeurs »19.’

Le manque de documents biographiques précis et exhaustifs nous prive des renseignements que nous aurions voulu avoir sur son enfance et son adolescence. Nous savons toutefois qu’il a effectué ses études secondaires à Tunis, au collège Sadiki, véritable monument de cette ville, afin de bénéficier de l’enseignement de la langue arabe. Ensuite, comme beaucoup de jeunes maghrébins de sa génération, et même des précédentes, il a dû partir en France pour avoir accès à l’université. Il retourne en Algérie avec une licence de philosophie et un diplôme d’études supérieures (l’équivalent de l’actuel D.E.A) dont le mémoire portait sur Louis-Ferdinand Céline, ce qui, à l’époque, n’était pas rien. A partir de là commence pour lui une carrière que l’on pourrait qualifier d’éclectique : professeur de philosophie (comme Mehdi dans L’Insolation), conseiller au Ministère Algérien de l’Information et de la Culture en 1977 sous le régime du président Boumediene, scénariste, poète et romancier.

La censure apparaît comme l’élément le plus révélateur et le plus fréquent de son parcours d’écrivain. De ses débuts fracassants avec La Répudiation, jusqu’au pamphlet de circonstance FIS de la haine, Boudjedra n’a pas cessé de provoquer, de créer des polémiques, de susciter les passions les plus contradictoires. Sa vie actuelle, partagée entre la France, l’Algérie et la Tunisie, entre la peur, le désir du tout en occultant le rien et la révolte, le pousse parfois à faire des déclarations dans les médias français qui l’éloignent de sa vocation première, à savoir la littérature. Ces égarements continuent par ailleurs à alimenter sa réputation dans le milieu de la critique puisqu’ils lui ont valu entre autre, la dénonciation de ses « excès et (...) propos démagogiques »20.

Dans les premières années qui suivent la parution de La Répudiation et L’Insolation, nous pouvons lire à propos de ces romans, différents commentaires qui montrent que la critique est à cette époque là unanime sur un fait : Boudjedra remue de fond en comble les piliers d’une société qu’il rejette. Parmi ces commentaires, notons celui de Ghani Merad qui qualifie « l’attaque de Rachid Boudjedra » de « violente » et « directe »21, chose qui était tout à fait révoltante et choquante pour le public maghrébins de l’époque, et malheureusement pour certains encore aujourd’hui. Le cinéma étant plus populaire que la littérature, nous pouvons évoquer un film comme Halfaouine, l’enfant des terrasses 22 pour constater l’intolérance ambiante. Le réalisateur Férid Boughedir23 ayant osé montrer des images « licencieuses » de femmes nues au hammam, a provoqué d’étonnants remous au sein d’une partie du public tunisien qui ne comprenait pas qu’on puisse ignorer et violer cette « ancestrale hishma » propre aux sociétés « arabo-musulmanes ». Le film n’avait pourtant aucune prétention et se présentait comme une jolie carte postale exotique ou pittoresque pour les uns (le public étranger), instructive pour les autres (jeunes tunisiens qui n’ont pas connu l’ambiance de l’ancien Tunis) et enfin nostalgique pour ceux qui ont vécu cette époque. Les différentes susceptibilités persistent même si nous sommes loin ici d’un Boudjedra qui « ne se contente pas d’égratigner la religion » et qui « stigmatise les tenants du régime ». Le malentendu, dans tous les cas de figure, reste le même. Ghani Merad nous l’explique dans ce qui suit :

‘« En réalité, les intellectuels francophones, les écrivains d’expression française ou tout simplement les francisants restent déchirés. On sent chez eux un malaise, une inadéquation à la communauté. En particulier, l’écrivain se sent coupé de son peuple, étant “orphelin de lecteurs” »24.’

Le père Déjeux, véritable pilier de la recherche sur la littérature maghrébine, a lui aussi, ou devrait-on dire lui en premier, noté l’aspect subversif des premiers romans de Boudjedra :

‘« Boudjedra prend place dans ce courant littéraire nord-africain non pas gentiment, mais en ouvrant la porte d’un coup de pied et en bousculant les fauteuils. Il entre avec effraction comme un malade halluciné et en délire »25. ’

Cette « lecture » de La Répudiation et de L’Insolation n’a pas beaucoup changé au fil des ans, puisque ces romans restent toujours parmi les plus violents et les plus destructeurs vis-à-vis des « mythes de la société maghrébine traditionnelle qu’il [Boudjedra] réprouve »26: la religion, la famille, la patrie. Toutes formes d’autorité se trouvent là non pas simplement attaquées ou remises en cause, mais littéralement démystifiées.

Les critiques des années quatre-vingt utiliseront à l’excès, vis-à-vis des premiers romans de Boudjedra, les mots « violence », « révolte », « délire », « subversion », et leurs synonymes, jusqu’à noyer l’écriture boudjedrienne dans un marasme gluant qui ne fait que servir ses détracteurs, en premier lieu et beaucoup plus qu’on ne le pense, une large part du public maghrébin (ayant lu ces romans ou ne connaissant l’auteur que par ouï-dire), qui continue à la percevoir comme une insulte et une atteinte à la dignité « arabe ». Parmi ces critiques nous pouvons lire que La Répudiation est un « livre qui inaugure le parti pris d’une écriture violente en rébellion contre les atavismes de la société algérienne, dominée par la figure du Père »27. Ou encore : « La Répudiation (1969), qui choqua par son sujet et par son écriture, circula en Algérie dans une semi-clandestinité »28, alors que « L’Insolation (1972) continue le travail de décomposition du modèle familial archaïque »29. On commencera plus tard à prendre du recul face à cette problématique de la révolte et à nuancer les faits. Il nous est par exemple simplement rappelé en précisant le contexte temporel, que Boudjedra « apparaît ainsi à la fin des années 60 comme celui qui dit le non dicible scandaleux d’une société où l’hypocrisie religieuse et le refoulement sexuel sont les plus sûrs garants de l’oppression politique »30.

La question que l’on pourrait alors se poser est la suivante : une oeuvre littéraire est-elle ou non atemporelle ? En d’autres termes, a-t-on le droit de figer le sens d’un roman ? Tout semble avoir été dit et répété à propos de Boudjedra, mais reste la manière de le dire. C’est également le cas de Kundera que l’on a pendant longtemps simplement considéré comme « un dissident d’un pays de l’Europe centrale »31. Il est certes facile et commode de placer d’emblée un auteur dans une perspective contestataire. Mais une telle attitude ne risque-t-elle pas de fausser la donne ?

Kundera est né à Brno, ancienne capitale de la Moravie dont l’Histoire est liée à celle de la Bohême, région souvent citée dans ses romans. Elle est actuellement la deuxième ville de Tchécoslovaquie. On y trouve plusieurs musées et monuments médiévaux et baroques. Ce détail nous indique l’importance qu’on y accorde à la vie culturelle. Kundera évolue donc dans un univers où l’art occupe une place de prédilection. Son milieu familial contribue également à sa sensibilisation artistique et particulièrement musicale :

‘« Fils d’un pianiste de grand renom, cousin d’un des plus importants poètes de la jeune génération, Kundera grandit dans un milieu intellectuel tchèque – ou plutôt morave – typique »32.’

L’expression « fils d’un pianiste célèbre »33 revient souvent dans les notes biographiques que nous avons consultées. Ainsi, « fils d’un musicologue éminent, l’écrivain tchèque Milan Kundera est initié dès son enfance à une culture très complète »34, n’est qu’une autre version des deux premières citations.

Son engagement de jeunesse auprès du Parti Communiste se solde par un échec : « Il est exclu du parti communiste à l’âge de 20 ans »35. Notre auteur réalise en effet très vite les dangers de l’endoctrinement dont le pays tout entier est la victime. Il commence par écrire des poèmes (L’homme, ce jardin si vaste, 1953; Le dernier Mai, 1955), et un essai sur l’oeuvre de Vladislav Vancura qu’il a fini par renier (L’Art du roman, 1960 - à ne pas confondre avec l’excellent essai du même nom mais qui date de 1986). C’est essentiellement avec son premier roman (La Plaisanterie, 1967), que son talent d’écrivain sera reconnu, mais surtout découvert en France grâce à Aragon dont il dira plus tard : « sans lui, La Plaisanterie n’aurait jamais vu le jour en France et mon destin aurait pris un chemin tout à fait différent (et bien moins heureux, sûrement)»36.

Dans « Le chemin difficile de la littérature tchèque », Antonin Liehm nous explique que la littérature tchèque d’après-guerre, est soit évincée par le communisme pour trahison aux idées du Parti, soit corrompue par le mirage du pouvoir que ce même Parti faisait mirer sous son nez. Il n’est donc pas surprenant qu’à la suite de l’invasion des Soviétiques en 1968, les prises de position de Kundera lors du « printemps de Prague » en faveur d’une culture indépendante de tout pouvoir, lui vaudront la perte de son poste d’enseignant à l’Institut Cinématographique de Prague. Il sera également interdit de publication:

‘« Au moment où, en Tchécoslovaquie, mon nom était gommé des lettres tchèques (...), la parution de La plaisanterie aux éditions Gallimard a lancé mon roman dans le monde entier, en sorte qu’à la place des lecteurs tchèques subitement perdus j’ai eu (tout aussi subitement) des lecteurs nouveaux »37.’

Kundera quitte son pays pour la France en 1975, se fait naturaliser français en 1981 et publie ses livres dans la langue de Voltaire avant qu’il ne paraissent en tchèque. Après avoir appris et maîtrisé cette langue d’adoption, il publie de nouvelles versions de ses romans corrigées par ses soins, en n’omettant pas de préciser les raisons de cette démarche :

‘« Un jour, en 1979, Alain Finkielkraut m’a longuement interviewé pour le Corriere della sera. “Votre style, fleuri et baroque dans La plaisanterie, est devenu dépouillé et limpide dans vos livres suivants. Pourquoi ce changement ?” Quoi ? Mon style fleuri et baroque ? Ainsi ai-je lu pour la première fois la version française de La plaisanterie. (Jusqu’alors, je n’avais pas l’habitude de lire et de contrôler mes traductions; aujourd’hui, hélas, je consacre à cette activité sisyphesque presque plus de temps qu’à l’écriture elle-même.) Je fus stupéfait. Surtout à partir du deuxième quart, le traducteur (ah non, ce n’était pas François Kérel, qui, lui, s’est occupé de mes livres suivants !) n’a pas traduit le roman; il l’a réécrit (...). Oui, aujourd’hui encore, j’en suis malheureux. Penser que pendant douze ans, dans de nombreuses réimpressions, La plaisanterie s’exhibait en France dans cet affublement !... Deux mois durant, avec Claude Courtot, j’ai retravaillé la traduction. La nouvelle version (“entièrement révisée par Claude Courtot et l’auteur”) a paru en 1980. Quatre ans plus tard, j’ai relu cette version révisée. J’ai trouvé parfait tout ce que nous avions changé et corrigé. Mais, hélas, j’ai découvert combien d’affectations, de tournures tarabiscotées, d’inexactitudes, d’obscurités et d’outrances m’avaient échappé ! En effet, à l’époque, ma connaissance du français n’était pas assez subtile et Claude Courtot (qui ne connaît pas le tchèque) n’avait pu redresser le texte qu’aux endroits que je lui avais indiqués. Je viens donc de passer à nouveau quelques mois sur La plaisanterie »38.’

Si Kundera a consacré autant de temps et d’énergie pour présenter une version française de son premier roman aussi fidèle que possible à l’esprit de l’original tchèque, nous sommes en droit de penser que les livres suivants sont tout aussi authentiques. Il semble désormais admis que notre auteur s’adresse en priorité à un public francophone, d’autant plus que depuis 1973, la traduction française de chacun de ses romans paraît avant la version tchèque. Guy Scarpetta confirme la francophonie de Milan Kundera :

‘« La lenteur est le premier roman de Milan Kundera écrit directement en français : il faut concevoir, autrement dit, que Kundera est désormais devenu un “écrivain français” à part entière. De ce processus, qui le rattache à tous ceux, de Nabokov à Conrad, de Beckett à Ionesco, qui ont été amenés dans le cours de leur vie d’écrivain à “changer de langue”, il faudrait pouvoir relater les différentes étapes. La dernière fut celle-ci : Kundera, alors qu’il rédigeait ses essais directement en français, continuait à écrire ses romans en langue tchèque, avec toute la cruelle absurdité que cela impliquait : jusqu’à la chute du mur de Berlin, la “révolution de velours” en Tchécoslovaquie, ses oeuvres étaient censurées dans son pays d’origine, – si bien que la version originale de ses romans n’est guère lue que par une seule personne, son traducteur; parallèlement, il menait un long travail de révision des traductions françaises de tous ses romans, jusqu’à ce qu’il puisse leur appliquer la mention selon laquelle la version française avait “même valeur d’authenticité” que le texte tchèque »39.’

Kundera s’est donc trouvé, encore une fois, dans une situation à contre courant dans sa propre patrie. Il n’a eu droit qu’à l’incompréhension et l’intolérance. De La Plaisanterie (1967) à La Valse aux adieux (1973), il semble qu’on ait déjà décidé de son destin : la Tchécoslovaquie ne veut pas de lui. Pour preuve, La Valse aux adieux est un roman écrit en Tchécoslovaquie sans y être pour autant publié. La raison d’un tel rejet n’est pas dénuée, aux dires de Boris Livitnof, de toute arrière-pensée. En effet, la censure frappe ce livre :

‘«(...) Non point que Kundera fût un ennemi du régime socialiste, mais sa manière de penser et d’écrire y est jugée hautement subversive. On a donc le plus légalement du monde laissé partir l’auteur pour enseigner dans une université française et c’est en traduction française que ce livre a pu finalement paraître à Paris »40.’

Boris Livitnof explique l’attitude offensive des autorités gouvernementales vis-à-vis de notre écrivain par le fait qu’il « vit en Tchécoslovaquie dans une société qui ne permet pas à l’artiste de peindre ce qu’il veut et comme il veut. Cela ne signifie pas nécessairement que l’artiste soit un ennemi des idéaux que poursuit cette société. Ce n’est pas l’écrivain qui tourne le dos à son pays. Mais c’est son pays qui met l’écrivain hors-la-loi, l’oblige à la clandestinité et le pousse au martyre »41.

Le rôle de cet aperçu biographique est de mettre en évidence les similitudes entre les origines de Boudjedra et Kundera, malgré leur éloignement géographique et culturel. A l’instar de Boudjedra, né dans un village du Constantinois mais très vite plongé dans l’ambiance tunisoise, Kundera, né dans la capitale de la Moravie, a grandi dans le respect des traditions culturelles, de la connaissance et des arts. En effet, durant la première moitié de ce siècle, la « démocratisation » de l’enseignement n’était pas toujours de mise (surtout dans les pays du Maghreb). Boudjedra, contrairement à ses compatriotes dont la plupart ne poussaient pas plus loin leurs études après l’école coranique, a ainsi bénéficié d’une formation bilingue et ce, grâce à son père (dont s’inspirent pourtant Si Zoubir et Siomar, les personnages immondes et sans coeur des deux premiers romans) qui l’a envoyé à Tunis. Quant à Kundera, il a dès son jeune âge, et lui aussi grâce à son père, goûté aux plaisirs de la musique, sans savoir encore qu’elle influencera son esthétique romanesque. Ils peuvent également remercier le hasard de les avoir fait naître dans leurs pays. L’Algérie et la Tchécoslovaquie ont ceci de commun : la blessure causée par la colonisation. En tant qu’écrivains, et surtout après l’impact des événements de mai 1968, qui ont eu un retentissement international, ils ne pouvaient que refuser tout(e) compromis//sion. Le rejet plus ou moins grand dont ils ont été victimes de la part de leurs sociétés respectives n’est qu’un effet de boomerang. Ils ont en effet à leur actif l’initiative de l’énonciation du refus, en ayant été à même de dénoncer par l’écriture une situation que nous résumons ici par trois mots : passivité, soumission et indifférence.

Nous avons vu dans quelles conditions Boudjedra et Kundera se sont mis à écrire. Cependant, pour qui destinent-ils leurs textes ? Les éléments qui sous-tendent ces derniers sont-ils liés à une projection au sens psychanalytique du terme ? Le désir d’écrire correspond-il à une demande précise ? Le choix d’un public s’est-il réellement posé ou n’est-il que le fruit de la conjonction du hasard et de l’actualité ?

Notes
18.

-Dictionnaire historique, thématique et technique des littératures, littérature française et étrangère, anciennes et modernes, sous la direction de Jacques Demougin, Paris, Larousse, 1985; 2è édition, 1987, 2 volumes, 1862 pages; p. 851.

19.

- DEJEUX, Jean. Littérature maghrébine de langue française Introduction générale et auteurs, Québec, Naaman, 1973; deuxième édition revue et corrigée, 1978; p. 382.

20.

 - BONN, Charles. Deux ans de littérature maghrébine de langue française, in- Hommes et migrations n° 1197, avril 1996, pp. 46-52; p. 50.

21.

- MERAD, Ghani. La littérature algérienne d’expression française, Paris, P. J. Oswald, 1976, 202 pages; p. 89.

22.

- Long métrage tunisien, sélectionné au Festival de Cannes et primé du Tanit d’or au Festival International Cinématographique de Carthage en 1991.

23.

- Fils d’un éminent critique culturel tunisien, Férid Boughedir a effectué ses études universitaires à Paris. Il est actuellement cinéaste et professeur à l’Institut de Presse et des Sciences de l’Information de Tunis.

24.

- Op. cit., p. 126.

25.

- Littérature maghrébine de langue française, op. cit., p. 382.

26.

- BACHAT, Charles. Boudjedra ou le roman électro-choc, in Europe n° 567-568, juillet-août 1976, pp. 64-65; p. 64.

27.

- MEMMI, Albert. Ecrivains francophones du Maghreb - Anthologie, Paris, Seghers, 1985, collection P.S., p. 64.

28.

- JOUBERT, J.L., LECARME, J., TABONE, E., VERCIER, B. Les littératures francophones depuis 1945, Paris, Bordas, 1986, p. 196.

29.

- Id.

30.

- Le nouveau dictionnaire des auteurs de tous les temps et de tous les pays, Paris, Robert Laffont, 1994, vol. 1, p. 423.

31.

- PODHORETZ, Norman. Lettre ouverte à Milan Kundera, in Commentaire n° 36, hiver 1986-87, Paris, Julliard, pp. 712à 720; p. 712.

32.

- LIEHM, Antonin. Le chemin difficile de la littérature tchèque, in Critique n° 305, oct. 1972, Paris, Ed. de Minuit, pp. 841 à 866; p. 857.

33.

- Grand dictionnaire des Lettres Larousse

34.

- Encyclopedia Universalis, Thesaurus index, p. 1924.

35.

- Grand dictionnaire des Lettres Larousse.

36.

- KUNDERA, Milan. Note de l’auteur, in La Plaisanterie, 1967; trad. Paris, Gallimard, 1968; rééd., Paris, Gallimard,1994; p. 459.

37.

- Id.

38.

- Ibid., pp. 459 à 461.

39.

- SCARPETTA, Guy. L’Âge d’or du roman, op. cit., pp. 253-254.

40.

- LIVITNOFF, Boris. Milan Kundera : la dérision et la pitié, in- Revue générale, Lettres, Arts et Sciences humaines n° 8-9, août-sept. 1976, Bruxelles, 112 pages, pp. 49-59; pp. 49-50.

41.

- Ibid., p. 58.