III/ IRONIE :

  1. « Pour apaiser sa souffrance, il l’épousa (ils purent enfin résilier la sous location, elle n’habitait plus dans le studio depuis longtemps)... » p. 42.

  2. « Tereza (comme nous le savons, elle aspire à « s’élever »)... » p. 76.

  3. « Mais elle dit tout autre chose (et nous ne pouvons qu’admirer sa ruse)... » p. 78.

  4. « Ce sont peut-être ces quelques hasards (d’ailleurs bien modestes et banals, vraiment dignes de cette ville insignifiante)... » p. 80.

  5. « Si le boucher du coin était venu s’asseoir à une table de la brasserie à la place de Tomas, Tereza n’aurait pas remarqué que la radio jouait du Beethoven (bien que la rencontre de Beethoven et d’un boucher soit aussi une curieuse coïncidence). » p. 80.

  6. « Le rédacteur en chef la reçu aimablement (tous les tchèques portaient autour de la tête l’auréole de leur malheur qui touchait les bons Suisses)... » p. 106.

  7. « Lui qui portait sur ses épaules le drame le plus sublime qui se puisse concevoir (il était à la fois fils de Dieu et ange déchu)... » p. 350.

  8. « ...il pouvait leur nuire par son pouvoir (il était tout de même le fils de Staline)... » p.350.

  9. « La merde ... ne pouvait donc exister que « de l’autre côté » (par exemple, en Amérique)... » p. 365.

  10. « ...comme un corps étranger (par exemple sous l’apparence d’espions)... » p. 365.

  11. « ...et présentera (trop tard) ses excuses à la vache. » p. 416.