IV/ PAROLES OU PENSEES D’UN PERSONNAGE :

  1. « ...(« aussi belles soient-elles »)... » p. 106. [Le rédacteur en chef]

  2. « ...(charmante certes, il voulait bien l’admettre)... » p. 128. [Franz]

  3. « ...(elle ne voyait plus en lui l’excentrique, mais plutôt l’ivrogne encombrant)... » p.136. [Sabina]

  4. « ...(ce corps étranger qu’elle voudrait chasser au loin)... » p. 206. [Tereza]

  5. « ...(ils devaient quand même avoir entendu parler des horreurs qui s’étaient produites et n’avaient pas cessé de se produire dans la Russie postrévolutionnaire)... » p. 254. [Tomas]

  6. « ...(« ce que tu me fais, je te le fais »)... » p. 294. [la cliente de Tomas]

  7. « ...ils avaient fait l’amour (elle refusait de faire l’amour par derrière)... » p. 298. [une des maîtresses de Tomas]

  8. « ...(elle lui demandait toujours de lui serrer fermement les hanches, et elle protestait s’il la regardait)... » p. 298. [une des maîtresses de Tomas]

  9. « ...(« Prenez garde, on est filmés, si vous nous adressez la parole, vous serez bon pour un nouvel interrogatoire »)... » p. 332. [supposition de Tomas quant au message du journaliste]

  10. « ...(« Vous n’avez pas eu le courage de signer une pétition, soyez logique et n’ayez pas de contacts avec nous ! »)... » p. 332. [supposition de Tomas quant au message du journaliste]

  11. « (D’ailleurs, l’ingénieur était-il vraiment au service de la police secrète ? Peut-être que oui, peut-être que non. Il ne manque pas d’hommes qui se font prêter des appartements pour leurs rendez-vous intimes et n’aiment pas coucher plus d’une fois avec la même femme.) » p. 410. [Tereza]

  12. « ...son amour pour le chien est un amour volontaire, personne ne l’y a contrainte. (Une fois de plus, Tereza pense à sa mère, et elle en éprouve un grand regret : si sa mère avait été une des femmes inconnues du village, sa joviale grossièreté lui eût peut-être été sympathique ! Ah ! si seulement sa mère avait été une étrangère ! Depuis l’enfance Tereza à toujours eu honte que sa mère occupe les traits de son visage et lui ait confisqué son moi. Et le pire, c’est que l’impératif millénaire « Aime ton père et ta mère ! » l’obligeait à accepter cette occupation, à qualifier d’amour cette agression ! Ce n’est pas la faute de sa mère si Tereza a rompu avec elle. Elle n’a pas rompu avec sa mère parce que sa mère était telle qu’elle était, mais parce que c’était sa mère.) » p. 433. [Tereza]