Les six facteurs précédemment décrits ont conduit, dans les deux cas, à des milieux privilégiant la réalisation de certains types d'actions, au détriment d'autres :
milieux riches du point de vue des ressources disponibles pour l'analyse et l'information en ce qui concerne S,
milieux favorables aux sollicitations, et dans une moindre mesure aux changements et à l'information, pour J.
Un septième facteur, non négligeable, est l'élève lui-même, qui peut jouer un rôle actif dans la constitution des milieux. Ainsi, les résultats d'analyse obtenus par S lui donnent de nouvelles ressources pour réaliser les analyses suivantes.
Reste que, dans les deux cas, les élèves ont bien du mal à s'engager dans une autre voie que celle favorisée par les milieux décrits ci-dessus. Finalement, et c'est là leur grand point commun, ils privilégie souvent les actions ayant un coût cognitif et émotionnel de moindre importance.