Mon premier contact avec l’administration/ gestion remonte aux années où j’étais étudiant à l’école de commerce (Instituto tecnológico Autónomo de México), dans les années 60, après avoir obtenu le baccalauréat dans la discipline Physique Mathématique.
Mon premier conflit conceptuel a été de comprendre la Comptabilité, car après avoir suivi des études de Physique et d’autres cours de Mathématiques, avec un certain degré de difficulté, faire des sommes et des soustractions n’avait pas grand chose d’intéressant !
Ce regard m’a causé des problèmes de compréhension, car je considérais à ce moment-là, pas pratique du tout et peu intéressant de faire une chose aussi simple.
Situation d’incompréhension envers la comptabilité qui a duré très longtemps pour bien comprendre la théorie comptable, incompréhension causée par le manque d’expressions simples pour expliquer une telle théorie (ici déjà, une difficulté de langage “ technique ”). Il faut signaler que cet exemple réel est toujours présent dans la plupart des études.
A ce propos, il faut remarquer que pendant le congrès à Montréal d’ASAC - IFSAM 2000, les participants aux séances en espagnol, ont eux aussi remarqué et attiré l’attention de cette problématique toujours présente et liée à la sémantique des termes administratifs ou de gestion, présents aussi bien au niveau des entrepreneurs “ patrons ” envers leurs conseilleurs (parfois des experts sans liens académiques), qu’au niveau académique entre Professeurs et élèves.
Un exemple de ceci a été ma première expérience, comme étudiant en Administration 3 des entreprises (Gestion 4 ), à “ L’Instituto Tecnológico Autónomo de México ”, des questions, des doutes et des interrogations ont éveillé un besoin d’en savoir plus sur l’information, la communication formelle et le contrôle interne des entreprises. D’autre part, ma motivation pour la communication et l'information est née pendant mes études de licence en Administration des entreprises, et confirmée par la suite lors de mes premières expériences professionnelles.
En effet, j'ai pu constater (dans les années 1970-1975) les conflits et le manque d'information des actions et des problèmes liés aux tâches chez les ouvriers et le personnel, et dans son ensemble, particulièrement dans la filiale mexicaine de la firme multinationale GENERAL ELECTRIC, qui a fêté en 1972 son 75ième anniversaire au Mexique.
La problématique vécue dans cette firme a inspiré le sujet de mon mémoire (Thèse de licence professionnelle) sur la création d'un “ Département chargé de gérer la communication ” dans la firme, département qui devait tenir compte d’indicateurs qualitatifs et quantitatifs.
Je me suis de plus attaché à établir les liens entre la communication /information et les dysfonctionnements quantitatifs comme les coûts cachés.
Cette unité devait aider à réduire la faiblesse ou le manque d’informations pertinentes et fiables à tous les niveaux de l’organisation (cf. en annexe, la thématique et la conclusion de ce travail). Certaines questions restées en suspens à l’issue de cette thèse de Licence Professionnelle ont alimenté ce travail de recherche doctorale.
En sus de ce mémoire, j’ai eu ma première approche concrète de cette notion de coûts cachés comme coordinateur du programme de réduction des coûts chez GENERAL ELECTRIC au Mexique, programme inscrit dans la politique de “ Qualité Totale ” mise en œuvre alors par l’entreprise.
Depuis 20 ans, dans mes expériences professionnelles ultérieures à cette mission, en tant que professeur et consultant de P. M. E. et P. M. I. au Mexique, j’ai eu la possibilité de développer
l’importance des coûts cachés comme l’une des principales sources de dysfonctionnements des entreprises, et d’attirer l’attention à cet égard (cf. annexe sur les coûts cachés : “ Mejora Continua ” ).
Depuis 1986, dans mes activités d’enseignement j’ai toujours souligné les effets nocifs des coûts cachés :
Le bilan de mes inquiétudes à cet égard est, sans aucun doute, pris en compte dans ce travail de recherche doctorale, mais il n’est pas définitivement achevé.
Des recherches sont encore à faire dans ce domaine socio-économique multidisciplinaire, aussi bien théoriques que praxéologiques.
Mes principes de conduite personnelle m’amènent à accorder beaucoup d’importance à la communication et à l’information.
Il faut ajouter à mes inquiétudes, le débat, désagréable et bizarre, sur les paradigmes relatifs à la théorie et à la praxis. En effet comme tout le monde le sait les théoriciens des années 1500 affirmaient que la “ Terre est le centre de l’univers ” ; Et “ Galileo GALILEE 5 ” a été sacrifié pour s’être opposé à cette Théorie ! . c’est donc bien dans la praxis qu’est la réponse n’est-ce pas ?
Nous pouvons avancer qu’il faut avoir :
Dans les années 1966/71 durant lesquelles j’ai fait mes études au Mexique, les études de Gestion étaient nommées “ Administration des entreprises ”. Aujourd’hui, dans la plupart des Universités cette appellation subsiste, mais dans certains cas ou a été supprime le terme d’entreprise.
Terme utilisé jusqu’à nos jours, pour exprimer seulement l’idée de gérer(voir lexique).
Galileo Galilei, dit Galilée. Pise 1564 - Arcetri 1642. Savant et écrivain italien. En introduisant l'emploi de la lunette en astronomie (1609), il a été à l'origine d'une révolution dans l'observation de l'Univers. Il découvrit, en particulier, le relief de la Lune, les principaux satellites de Jupiter, les phases de Vénus et la présence d'étoiles dans la Voie lactée. Rallié au système héliocentrique de Copernic, dont l'œuvre venait d'être mise à l'Index (1616), Galilée fut déféré, après la publication du Dialogue sur les deux grands systèmes du monde, devant le tribunal de l'Inquisition, qui le condamna et l'obligea à se rétracter (1633) ; l'Église l'a réhabilité en 1992. Galilée fut aussi l'un des fondateurs de la mécanique moderne (Discours concernant deux sciences nouvelles) et joua un rôle majeur dans l'introduction des mathématiques pour l'explication des lois physiques. Il établit notamment la loi de la chute des corps dans le vide et donna une première lunette de Galilée ; lunette terrestre. Précurseur de : Télescope ou réflecteur, radiotélescope Bibliorom Larousse Microsoft Corporation et Liris Interactives.