Université Lumière - Lyon 2
U.F.R. d’anthropologie et de sociologie
Les étudiants de médecine et de sociologie à l’étude
Matrices disciplinaires, nature des savoirs, et pratiques intellectuelles : une analyse sociologique comparée des logiques sociales et cognitives du travail étudiant
Thèse de doctorat en sociologie et anthropologie
sous la direction de Monsieur Guy VINCENT
soutenue le 19 mai 2000
Composition du jury
M. Yves GRAFMEYER, Professeur à l’Université Lyon 2
M. Claude GRIGNON, Directeur de recherche à l’INRA
M. Bernard LAHIRE, Professeur à l’Université Lyon 2
M. Jean-Manuel de QUEIROZ, Professeur à l’Université de Rennes II

[Dédicace]

Je dédie ce travail à la mémoire de mon père, Daniel, disparu lorsque je débutais...

Remerciements

Ce travail de thèse, jamais facile, mené sur plusieurs longues années durant lesquelles ont alterné des moments de joie intellectuelle et des moments de découragement parfois importants, ne s’est pas fait sans consentir de nombreux sacrifices qui, pour être d’abord et avant tout personnels, n’en furent pas moins partagés, voire supportés, fusse par la force des choses, par ceux qui me sont le plus proches... Que l’on me permette donc de commencer par là ces quelques remerciements, en citant d’abord, en guise de mon infinie affection, les noms de ceux qui occupent cette place si particulière dans ma vie. J’espère que ce travail sera digne de leur confiance...

C’est à ma mère Hélène, prioritairement, que je veux rendre hommage. Sans son soutien, son implication et son extrême patience, ce travail ne serait certainement pas ce qu’il est. Il n’est, à vrai dire, point de mots assez forts pour exprimer ce que je lui dois ! A bien des égards, cette thèse est aussi la sienne.

Mes pensées vont également vers Damien, Mohrad, Nathalie, Philippe, Lisa et Simon que je remercie du plus profond de mon coeur pour leurs multiples attentions.

Il est enfin mes amis de longue date que je veux aussi associer à ce travail pour leur indéfectible amitié : Claire, Géraldine et François, Jacqueline et Stéphane, Laurence et Sylvain, Marie et Daniel, Nathalie et Pierre. Et bien sûr, je n’oublie pas Catherine...

Ce travail de thèse est aussi et au moins autant le résultat d’un soutien cordial et critique, attentif et convaincu, de la part de ceux qui, tout au long de ma formation supérieure, ont été de près ou de loin et dans des rôles différents, de véritables “compagnons de route”, soit en tant qu’étudiant, soit en tant qu’enseignant, soit en tant que collègue, soit tout cela à la fois. Bien qu’étant cette fois généralement située plutôt du côté de la sphère institutionnelle que de la sphère privée, leur aide, faite de discussions, d’échanges, de remarques, de conseils critiques mais également de sollicitude, fut pour moi inestimable. Qu’ils soient également assurés de mon attachement et de ma gratitude...

Parmi eux, je dois une mention toute spéciale à mon Directeur de thèse, Monsieur Guy Vincent, qui n’a jamais cessé de croire en mon travail même lorsque celui-ci était empreint de mes incertitudes, de me témoigner sa compréhension et ses encouragements, de me faire profiter enfin de ses nombreux et indispensables commentaires critiques. Pour tout cela et aussi pour m’avoir incité à poursuivre mes propres conceptions du travail sociologique, quitte à ce qu’il ne les partage pas toujours pleinement, je veux l’assurer de mon entière reconnaissance.

Mes plus vifs et chaleureux remerciements vont aussi, pour les échanges qu’ils ont rendu possibles, pour leur confiance et leur amitié sincère, vers mes collègues et amis, je veux dire par ordre alphabétique, Luc Bourgade, Josette Debroux, Sylvia Faure, Spyros Franguiadakis, Rachel Gasparini, Anita Pardo, Daniel Thin, Stéphanie Tralongo.

Mes remerciements s’adressent encore à Bernard Lahire qui aura beaucoup fait, au cours de ma formation, pour développer ma vocation de sociologue, et qui, en me permettant de mettre précocement le pied à l’étrier de la recherche “grandeur nature” alors que je n’étais encore qu’un simple étudiant de licence et en me renouvelant depuis sa confiance, m’a offert l’occasion incomparable de m’affirmer sur le plan sociologique, notamment en me persuadant que je pouvais à mon tour lui apporter matière à réflexion sociologique.

Enfin, un grand merci à Ian Lamb pour son aide à la traduction de mon résumé de thèse, et à Jacques Bonniel pour l’objection de conscience qu’il a rendu possible lorsque j’entamais ce travail...