III. Le travail salarié et les études de sociologie

S’agissant des filières Lettres et sciences humaines, le pourcentage particulièrement élevé (50,9%) d’étudiants exerçant une activité salariée durant l’année universitaire s’explique tout à la fois par les degrés d’encadrement pédagogique plutôt faibles de ces disciplines, par le caractère relativement indéterminé de leurs débouchés professionnels, par la faible rentabilité scolaire et sociale des diplômes auxquels elles préparent, enfin par la sélection négative qui réunit une partie non négligeable de leur public.