Chapitre trois : Une culture compétitive.

Les courses, d’une part, les promenades et voyages, d’autre part, constituent, en l’absence d’une implication patriotique précoce et dynamique, les deux activités physiques que proposent les sociétés. Les statuts délivrent un enseignement extrêmement clair à ce sujet. Les associations accordent une très large priorité à la compétition sur le tourisme : 96 % des textes fondateurs prévoient des courses, 47 % seulement envisagent des promenades. L’écart est trop important pour que la réalité l’infirme. Reste cependant à rechercher les raisons du phénomène, à en évaluer plus précisément l’ampleur et à analyser les modalités des deux types de pratiques.