Quelles furent nos hypothèses générales ?

Une hypothèse liée au comment était que : la mise en œuvre de pratiques pédagogiques intégrant les méthodes et les techniques de la pédagogie Freinet était la mieux adaptée et la plus pertinente.

Une hypothèse liée au pourquoi était que : l’échec individuel en mathématiques avait des retentissements négatifs d’ordre affectif et cognitif sur l’individu et même dans sa conduite sociale, qui entravaient son processus d’autonomisation.

Une hypothèse liée au but était que : cette lutte pédagogique était conçue pour faire obstacle au renoncement de l’élève devant l’étude des mathématiques et de lui permettre, en reconnaissant les efforts nécessaires, d’accéder à la compréhension de notions, concepts, techniques et méthodes du domaine des mathématiques, à la reconnaissance de leur valeur d’usage et de leur pouvoir d’amplificateur culturel.