Quelle fut donc notre action dominante au sein du mouvement Freinet ?

À notre avis, nous dirions celle de la prise de responsabilité et de l’engagement dans des activités pédagogiques militantes sans prosélytisme, celle de la mise en réseau de collègues militants, sympathisants de mouvements pour des pratiques pédagogiques nouvelles, celle de la recherche de la confrontation des pratiques pédagogiques et des théories qui les portent au sein de ces réseaux. Ces réseaux ont joué en quelque sorte la fonction que visent les réseaux d’échange réciproque de savoir.