On rencontre très fréquemment dans ces œuvres une forme de mélodisation de l’harmonie qui se déploie à travers une succession de formules arpégées, comme c’est le cas au début du Prélude des Suites I ou IV. Mais le principe de l’arpège se limite souvent au début de la mesure, pour installer d’emblée une harmonie sur laquelle peut ensuite s’appuyer la mélodie, ou encore à la fin de la mesure, faisant alors plutôt office de ponctuation harmonique.
Copyright 1929 by Editions Salabert, Paris, SECA 16. Reproduit avec l'aimable autorisation des éditeurs.