4. L'encyclique Pascendi ou "l'invention du modernisme" (P. Colin).

Entre temps, le 8 septembre 1907, Pie X a promulgué l'encyclique Pascendi Dominici gregis dont l'objectif central est précisément de dénoncer le caractère dangereux pour l'intégrité du dogme de cette demande d'autonomie de la critique historique 1453 .

Mgr Mignot note dans son Journal :

‘L'Encyclique Pascendi, assez inattendue, fut loin d'apaiser les esprits. Tout le monde l'a reçue avec respect et obéissance ; un certain nombre avec un enthousiasme débordant. Cependant comme au dire de plusieurs prélats (v. g. Nancy) le Pape avait déjà sauvé l'Église par le décret Lamentabili, il était difficile au lyrisme de monter plus haut 1454 .’

Comme lors de la publication du décret, il fait paraître dans la Semaine religieuse 1455 une adhésion de principe au texte pontifical qu'il s'efforce de présenter comme une condamnation de "la tactique du rationalisme moderne", qui, par un emploi habile des découvertes scientifiques et historiques, "étreint de toute part la tradition catholique et s'efforce d'en saper les bases". Sous le nom de "modernisme", l'encyclique ramène à un système unique toutes les tendances de ce qui n'est "qu'une philosophie naturaliste de la religion et de la vie" que toute conscience chrétienne "repousse avec toute l'énergie de sa foi". Bref, si "certains penseurs catholiques, entraînés ou imprudents, ont dépassé, inconsciemment peut-être, les limites de l'orthodoxie", le pape en les rétablissant invite à "faire le départ de ce qui est rigoureusement justifié par la philosophie et l'histoire et compatible avec la foi catholique… (et) à remplacer le système hétérodoxe par une puissante synthèse chrétienne".

Cette lecture officielle et pour le moins partielle de l'encyclique cache un profond désarroi car il estime que l'enjeu de l'encyclique est celui de la place des "savants" et de la science dans l'Église :

‘L'Encyclique en dit trop ou pas assez, écrit-il à Mgr Lacroix. Elle en dit trop parce qu'au fond la première partie est le tableau du rationalisme sous sa forme la plus savante et par suite la moins accessible aux fidèles. Elle n'en dit pas assez parce qu'elle ne dit pas ce qu'il est indispensable de conserver. Pie X n'a pas la pensée de dire comme nos grands ancêtres que l'Église n'a pas besoin de savants. Mais puisqu'il faut des savants il faut bien savoir de quoi ils pourront s'occuper. Il faut tout de même tenir compte des découvertes scientifiques et historiques. Que faudra-t-il dire ou faire - ou plutôt que faudra-t-il ne pas dire et ne pas faire - pour n'être pas moderniste ? Toujours l'équivoque, l'inexactitude, la peur de mettre les points sur les i 1456 .’

Et ce n'est pas la lettre désabusée qu'il reçoit de Loisy qui peut le réconforter :

‘L'Église va être réduite à la pauvreté d'esprit comme à la pauvreté matérielle. Beau travail. Mais tout cela est d'une logique irréfutable... Pie X n'est pas progressiste, mais il fait joliment avancer les questions. Voyez la Séparation de l'Église et de l'État. Aujourd'hui c'est la séparation de l'Église et de la Science qui est réglée en un tour de main. Avec un Léon XIII nous n'aurions rien vu de tout cela, et nous risquerions de petites témérités que le Pape n'oserait condamner qu'à demi. Maintenant il faut vaincre ou mourir ; et comme on est déjà vaincu... 1457

Il répond en faisant part à Loisy de ses questions en particulier sur le fait que l'encyclique reste dans le vague et que l'on ne voit pas très bien ce qu'il faut admettre pour ne pas être moderniste au sens du Pape :

‘Il en est du modernisme comme du libéralisme. On condamne en bloc, sans définir : c'est bien plus commode. Je suppose qu'on est pas moderniste, au sens de l'encyclique si l'on ne croit pas que les astres ont été créés au quatrième jour et qu'il n'y a pas obligation de redevenir géocentriste ! Alors pourquoi ne pas faire le départ que la science exige, en histoire, en critique, en philosophie ? 1458

Quelques jours plus tard, accusant réception des articles du P. Tyrrell sur Pascendi, que le baron von Hügel lui a envoyés, il admet que l'encyclique est un rude coup : "Tous nos amis sont atteints ; nous le sommes nous-mêmes plus ou moins", et il reprend les mêmes arguments :

‘Ce que je regrette dans l'encyclique c'est qu'elle se borne à condamner et ne nous dise pas ce qu'on peut croire sans être moderniste. Quand est-on moderniste, quand ne l'est-on pas ? Où commence le modernisme, où finit-il ? Le Souverain Pontife affirme qu'il est partisan de la science, mais de quelle science ? Comme vous le disiez fort bien dans votre lettre à Briggs, l'Église, par sa constitution même, doit s'occuper d'histoire, de critique, d'exégèse, de philosophie, de géologie etc., etc. D'ailleurs Pie X manifeste sa volonté de constituer une académie de savants. Quelles seront les limites de leur domaine scientifique ? Que de problèmes l'encyclique ne résout pas ! Les discussions vont forcément recommencer. Est-ce l'Église qui sera appelée à juger de la nature de telle découverte, archéologique ou autre ? Ce ne sera plus seulement la philosophie qui sera theologiae ancilla, ce sera l'astronomie, la géologie, la chronologie ?... Va-t-il falloir revenir à la chronologie d'Usher 1459 ? Redevenir géocentriste. Non assurément, ce n'est pas ce qu'a voulu dire le Pape ; mais alors qu'a-t-il voulu dire ? 1460

Celui-ci lui répond que la manière dont l'encyclique aborde les questions ne fera qu'accroître "le désarroi, les difficultés, les conflits intimes et souvent envenimés, mais au fond stériles qui agitent les âmes catholiques en elles-mêmes et entre elles" et, contrairement à ce que Mgr Mignot a écrit dans sa Semaine religieuse, l'objectif du pape est de stériliser la recherche :

‘C'est que l'on a au fond cherché, non à résoudre, ni même à poser les vrais, les vivants problèmes, mais de tout et exagérer et embrouiller, afin d'arrêter tout court et pour jamais, toute recherche sérieuse, tout travail foncier, toute initiative et passion, si noble soit-elle, pour la vérité à refaire, à toujours retrouver. C'est bien certes, cet objet et cet effet tout généraux mais profonds et non telle condamnation de détail (dont du reste le Pascendi est curieusement dépourvu) qui constituent, avec l'imputation si pénible de motifs, les points, selon moi, les plus attristants de ce document et de l'état d'âme qu'il révèle 1461 .’

Mgr Mignot convient que "c'est une grosse épreuve pour les âmes intelligentes et sincères" 1462 , et il est réellement troublé. Par le ton du texte qu'il juge "dur, acerbe, injurieux envers les personnes" 1463 ; par la partie pénale de l'encyclique qui fait s'interroger non sans inquiétude sur ce "qu'il en serait des modernistes si le pouvoir séculier était encore entre les mains de l'Église". Troublé encore par le fait qu'il ne trouve d'écho à ses interrogations, ni du côté "des journaux catholiques dont le langage n'est qu'un Alléluia officiel", ni du côté de ses collègues dans l'épiscopat. Pour la plupart "incompétents dans ces questions", ils craignent "de se compromettre, ou du moins de passer pour tièdes ou suspects en n'enflant pas la voix" et se contentent de "bénir le Pape d'avoir sauvé l'Église". Troublé surtout par ce qu'il estime être l'imprécision de l'enseignement pontifical. Il note dans son Journal :

‘En réalité on ne sait pas, après la lecture, où commence le modernisme ni où il finit. Que faut-il pour être moderniste, que faut-il pour ne pas l'être. Faut-il être agnostique, immanentiste, panthéiste au sens de l'encyclique, mais alors on n'est plus chrétien, on est en plein naturalisme. Aucun catholique, aucun chrétien même ne partage ces erreurs au sens complet. Alors, où s'arrêter, où fixer la limite, déterminer la mesure ? Il faut bien donner un rôle à la raison ! La foi s'appuie sur les motifs de crédibilité dont en définitive la raison est juge 1464 . ’

Cette imprécision se manifeste par la "confusion du vrai et du faux, de l'erreur et de la vérité", dans le fait "d'englober dans une même réprobation des idées qu'il faut séparer, des faits acquis et des théories imaginaires, le naturalisme et le sage emploi de la raison", dans le fait enfin "de rester dans l'indécision, de poser des principes qui pris à la lettre conduiraient à l'absurde" 1465 . Au même moment, l'abbé Birot écrivait à l'abbé Frémont : "Vous admirez l'encyclique. Moi, je me contente de m'y soumettre. Je m'y soumets sincèrement, mon ami, parce qu'elle condamne en effet le plus absurde système naturaliste qui ait été imaginé. Si c'est là le modernisme, à bas le modernisme !" 1466 C'était également le sentiment d'E. Le Roy qui écrit au P. Laberthonnière : "le résumé doctrinal est une caricature, inintelligente et parfois inintelligible […]. Si nous étions tenus de prendre le contre-pied de tout ce qui est condamné là, je me demande ce qui resterait en nous de raisonnable et de chrétien. Chemin faisant on nous prête des énormités que nous n'avons jamais dites. Et partout ailleurs que d'équivoques !" 1467 . Quelques jours plus tard, le philosophe écrivait à l'archevêque : "Aujourd'hui est encore plus douloureux qu'hier. Le ton de la nouvelle encyclique me cause une profonde tristesse. Et je préfère ne rien dire d'autre" 1468

Mgr Mignot éprouve le besoin de conforter ses impressions. Il lit avec grand intérêt les commentaires au fur et à mesure qu'ils paraissent et il résume les grandes lignes de ceux qui l'intéressent le plus dans son Journal 1469 .

Ainsi, le 12 octobre, il achève la lecture de What we want 1470 que lui a envoyé le baron. Il note : "La lettre au Pape Ce que nous voulons est fort intéressante. Peut-être manque-t-elle un peu de précision. Pleine de faits et d'idées, elle est d'une belle envolée et suppose un vrai courage chez le ou les auteurs".

Le 14 octobre, il consacre vingt pages 1471 aux articles du P. Tyrrell parus dans le Times 1472 dont il juge la critique "parfois excessive et injuste", mais qui donnent "la note et la mentalité" des contemporains. Tyrrell voit juste quand il prétend que le mot modernisme est mal choisi puisque "le christianisme a été du modernisme quand il a paru et a été condamné comme tel" et qu'être moderniste n'est rien d'autre que croire "que le présent est plus plein, plus complet, plus sage que le passé qu'il transforme en le continuant". Le mot libéralisme aurait était meilleur, car déjà en usage dans le protestantisme. En fait, l'encyclique condamne la façon moderne d'interpréter le catholicisme au nom de l'interprétation scolastique qu'elle identifie avec le catholicisme, en sorte que quand elle s'efforce de démontrer que le moderniste n'est pas catholique, elle réussit seulement à montrer qu'il n'est pas scolastique. Toute son analyse prouve très justement que le conflit se situe entre deux "mentalités" opposées et irréconciliables :

‘Pour les uns tout ce qui ne vient pas ab extra est faux ou du moins suspect ; toute crédibilité qui ne repose pas sur les miracles de l'Évangile ne tient pas debout. Les autres pensent qu'il y a en nous un sens religieux qui se développe, grandit, etc., d'où les fausses religions résultant de l'erreur de la conscience et la bonne où l'on a mieux saisi le  1473 .’

Cette opposition recouvre finalement l'opposition entre une pensée immobile et une pensée active. La manière dont l'encyclique tranche le débat ne peut que ravir les sceptiques, "toujours heureux qu'on leur démontre l'absurdité du catholicisme", et faire perdre à l'Église l'influence qu'elle commençait à retrouver auprès "des classes cultivées". Dans le fond, l'encyclique donne raison à ceux qui estimaient impossible "de mettre l'expérience du XXe siècle dans les catégories du XIIIe". Si Mgr Mignot trouve qu'il y a "bien des exagérations, des inexactitudes, des erreurs, des emballements" dans les articles du P. Tyrrell, il n'en apprécie pas moins la dénonciation du point de vue excessivement doctrinaire du rédacteur de l'encyclique.

L'archevêque s'accroche à l'idée que l'encyclique Pascendi, "en condamnant le modernisme, n'a pas pris soin de dire ce qui n'est pas du modernisme. L'encyclique est imprécise, c'est cette imprécision qu'il faudrait dégager" 1474 . C'est ce qu'il explique longuement à son ami l'abbé Chédaille :

‘L'Encyclique Pascendi si sévère à bon droit pour les agnostiques, les immanentistes, les panthéistes, si dure dans sa seconde partie à l'égard d'enfants dévoués de l'Église qui ont pu se tromper de bonne foi tout en croyant la servir, est incomplète et imprécise sur des points de première importance. Elle indique les erreurs de l'agnosticisme et de l'immanentisme, formes diverses du naturalisme "source de toutes les hérésies", mais la description qu'elle en donne, remarquable en soi, est loin de s'appliquer à tous ceux qu'on voudrait enfermer dans son cadre. Beaucoup d'éminents catholiques ne reconnaissent pas leurs traits dans ce tableau ; ils affirment n'être ni agnostiques, ni panthéistes, ni immanentistes au sens du document pontifical ; ils n'y voient pas plus leur figure qu'un observateur n'y reconnaît la sienne dans un miroir convexe ou concave.’ ‘L'équivoque va-t-elle se continuer indéfiniment et la théologie qui représente l'enseignement chrétien dans son intègre pureté se contentera-t-elle de laisser dans l'ombre des difficultés réelles ? Serait-il équitable, chrétien même d'englober tous les chercheurs chrétiens sous le nom de "modernistes", de les jeter en pâture aux jugements d'hommes passionnés et souvent incompétents, de les livrer aux morsures des chiens dont parle le psalmiste, aux attaques de forcenés qui prétendent servir les intérêts de la religion - ce qui est vrai quelquefois -, mais servent trop souvent leur amour propre, leurs jalousies, leurs rancunes doctrinales. Il est facile de colorer ses préjugés et de se faire le défenseur, le justicier de Dieu ! 1475

Fort des remarques du baron, il estime que les "modernistes catholiques" - et l'on peut penser qu'il ne s'en exclut pas totalement - ne méconnaissent pas la nécessité d'une autorité doctrinale. Ils demandent seulement si cette autorité est sans limites, infaillible dans tous les domaines, sur toutes les questions. L'Église prétend-elle avoir des réponses à tous les problèmes qui se posent en histoire, en critique, en astronomie, en critique littéraire, en morale, en politique, en économie sociale ? ou la science a-t-elle une autonomie propre ?

Bien sûr, la revendication de l'autonomie de la science a une conséquence redoutable. En cas de conflit entre une vérité scientifiquement démontrée et l'interprétation donnée à un texte biblique, comment trancher ? Les théologiens répondent que la conclusion scientifique est sûrement prématurée et qu'il est prudent de surseoir. Les savants au contraire sont persuadés que si l'on se heurte à des antinomies, c'est que l'on a pris des interprétations pour des réalités, voire que les assertions des théologiens sont fausses. Car si la solution est connue d'avance, "s'il faut arriver nécessairement aux points précis tracés par les cartes du Saint-Office et que l'expérience n'a pas vérifiés, on risque de se briser contre des rochers à fleur d'eau dans des parages signalés comme excellents" 1476 . Mgr Mignot accepte donc le point de vue "moderniste" car il estime que l'enseignement théologique s'est modifié sur bien des points, au long des siècles, à la suite de la poussée scientifique ou de l'opinion et qu'il se modifiera encore.

Notes
1453.

P. Colin résume ainsi l'argument de l'encyclique : "Les modernistes présentent la critique historique comme purement 'scientifique'. Autrement dit, ils demandent à bénéficier de la liberté de la science, de son indépendance à l'égard du magistère ecclésiastique. Et ils justifient cette demande en disant que, purement scientifique, la critique historique n'empiète nullement sur les droits de la pensée théologique. Or, il s'agit de dissiper cette apparence fallacieuse", L'audace et le soupçon, p. 250.

1454.

Journal, f° 8, 11 octobre 1907, ADA, 1 D 5 06.

1455.

Semaine religieuse, 28 septembre 1907, pp. 553-555.

1456.

Mgr Mignot à Mgr Lacroix, 30 septembre 1907, f° 66.

1457.

Abbé Loisy à Mgr Mignot, 1er octobre 1907, BLE, 1968, pp. 263-265.

1458.

Mgr Mignot à l'abbé Loisy, 3 octobre 1907, f° 224.

1459.

USHER (1581-1656), théologien protestant irlandais, archevêque d'Armagh, Primat d'Irlande (1625). Installé à Londres en 1646.

1460.

Mgr Mignot au baron von Hügel, 9 octobre 1907, ms 2814.

1461.

Baron von Hügel à Mgr Mingot, 31 décembre 1907. Le baron estime que les auteurs de l'encyclique visaient Newman : "Il semble clair que le P. Billot et ses aides ont fortement voulu et ont de fait condamné N[ewman], tant en le Lamentabili qu'en le Pascendi ; et que le Pape en signant ces compositions, provenant en leur majeure partie de ces Messieurs-là n'avait aucune idée claire ou volonté précise de condamner N[ewman]".

1462.

Mgr Mignot au baron von Hügel, 9 octobre 1907, ms 2814.

1463.

"J'ai regretté aussi que le Souverain Pontife regarde les "modernistes" comme des orgueilleux. Ceux que je connais aiment Dieu de tout leur cœur cherchent sa gloire et la gloire de l'Église, rien de plus", lettre au baron von Hügel, 9 octobre 1907, ms 2814. A rapprocher du sentiment E. Le Roy : "Rien n'est plus douloureux que d'entendre l'autorité apostolique parler ce langage de pamphlétaire. Le document pontifical sue la haine et le mépris. Cela fait mal au cœur", lettre au P. Laberthonnière, 20 septembre 1907, M.-T.Perrin, Op. cit., p. 148 et de celui de M. Blondel : "Je succombe sous l'encyclique. C'est prodigieux. Je ne sens pas les blessures personnelles, qui saignent pourtant. Mais les âmes, mais Notre Seigneur, mais la sainte et douce Charité du bon Dieu, du Dieu juste, du Dieu intelligent. Ah ! mon ami, heureux ceux qui sont déjà dans le Seigneur, par la mort ou par l'ignorance et le sacrifice", Maurice Blondel à l'abbé Wehrlé, 17 septembre 1907, Correspondance Blondel-Wehrlé, t. 2, p. 377.

1464.

Journal, 1907-1908, f° 8-9, ADA, 1 D 5 06.

1465.

Journal, 1907-1908, f° 32-33, ADA, 1 D 5 06.

1466.

L'abbé Birot à l'abbé Frémont, 17 décembre 1907, citée in Poulat, Histoire…, p. 443.

1467.

Lettre au P. Laberthonnière, 10 septembre 1907, M.-T. Perrin, Op. cit. p. 148.

1468.

Lettre du 22 septembre 1907, ADA, 1 D 5-07.

1469.

Cahier commencé le 10 octobre 1907 : "Je tiens à noter ici quelques incidents survenus à l'occasion de la publication du décret Lamentabili et de l'encyclique Pascendi..

1470.

Traduction anglaise de A. L. Lilley de la brochure italienne A Pio X. Quello che vogliamo, Milan, 1907, 24 p.

1471.

Journal, 14 octobre 1907, ADA, 1 D 5-06, f° 33-53.

1472.

30 septembre et 1er octobre 1907.

1473.

Journal, 14 octobre 1907, ADA, 1 D 5-06, f° 40.

1474.

Lettre à M. Loyson, 3 novembre 1907, Houtin, Le P. Hyacinthe, t. 3, p. 307.

1475.

4e Reg., "Notes diverses", s. d., recopiées en janvier 1916.

1476.

4 e Reg., "Notes diverses", Idem.