A. PROPORTION ET RÉPARTITION DES SINISTRES SELON DIFFÉRENTS MODES

1. DES NATURES DE FEUX DISTINCTES

Classer les incendies selon différents critères, comme celui de la nature des embrasements, comprend forcément une part personnelle dans l'interprétation des informations livrées par les différentes sources. Dans tous les cas, le choix s'est effectué au plus juste de la description des espaces mais conserve, toutefois, une part de subjectivité. Le répertoire s'est déterminé en fonction des natures de feux les plus fréquemment rencontrées. Huit catégories ont été ainsi répertoriées qui comprennent les feux d'appartements, d'entrepôts, d'ateliers, de magasins, de caves, d'usines, de toitures et de natures diverses. Chaque composition de classe a parfois demandé des recoupements qui nécessitent la production d'éclaircissements. Dans les feux d'appartements ont été comptés tous les incendies ayant eu lieu dans un espace correspondant aux caractéristiques du logement ; c'est-à-dire qu'ont été compris dans cet état autant la dévastation de la pièce d'habitation que le feu de plancher ou de cloisons, tant que la localisation de l'événement renvoyait à l'habitat. Etablir une classe de feux d'ateliers, tout comme de feux de magasins, a posé de difficiles questions quant à l'interprétation des descriptions qui pouvaient figurer dans les rapports de feu ou les registres d'incendie, surtout au regard de la confusion qui s'opérait couramment entre les conditions d'habitation et les petits espaces productifs ou commerciaux. A ce titre, les Documents administratifs et statistiques de 18911002 et 18961003 présentaient des chiffres assez révélateurs de la situation. Selon les recensements effectués à ces deux dates, l'agglomération lyonnaise se composait de 17.080 puis 17.695 demeures1004 ; ce qui, disséqué sous l'angle de l'habitat, représentait, pour chacune de ces années, 141.818 et 144.413 logements1005. Sur chacun de ces totaux, 43.296 et 22.389 de ces logements, soit 30,5 % et 15,5 %, servaient de magasins, d'ateliers ou de boutiques1006. Il n'était donc pas aisé, sur des présentations d'embrasements, de faire, parfois, la distinction des lieux, principalement à la résidence. La détermination s'est alors généralement faite, lorsque les renseignements faisaient défaut, plus que sur la profession éventuelle du propriétaire ou du locataire, mentionnée une fois sur deux, sur le positionnement et la localisation de l'incendie ; c'est-à-dire en étages ou en rez-de-chaussée, en façade ou en arrière-cours, et, quelquefois, suivant la spécificité des rues et des produits détruits. Repérer les feux de caves, d'entrepôts ou de toitures, n'a pas posé de très gros problèmes. Les feux de caves pouvaient aisément se repérer car, à ce genre d'incendies, correspondait une typologie d'interventions qui pouvait difficilement se confondre avec d'autres sinistres. Les feux qualifiés d'entrepôts correspondent en fait à une dénomination générique comprenant les entrepôts, les hangars et les remises n'engendrant pas un échange commercial direct. Quant aux feux de toitures, ils assimileront également les embrasements de combles sous l'angle de la non-habitation. Des galetas détruits par les flammes se trouveront dès lors classés comme destruction de logements. Les feux d'usines regrouperont également les manufactures. Dans tous les cas, la représentation a été ici faite, soit à la superficie, soit au nombre des ouvriers. La référence à la comptabilité des feux de natures diverses mérite, enfin, des précisions car il ne s'agit pas là d'une catégorie fourre-tout. En fait, ont été positionnés dans cette classification, les brasiers généralement en faible représentation et ne délivrant, à moins d'un événement majeur, mais alors repéré sous d'autres modalités, que peu d'informations comme les conflagrations de fenils par exemple. Ces derniers lieux, malgré l'usage encore fréquent du cheval, tendaient à disparaître de l'espace urbain et, chaque année, ne représentaient en moyenne que de 0 à 3 départs de feux.

En raison des restrictions mentionnées précédemment, sur la disponibilité des sources et leur qualité, l'emploi des données statistiques appropriées à l'agglomération lyonnaise, toujours sous le critère unique de l'intervention des hommes du feu, ne se formalisera qu'à compter de 1886. Il n'est pas évident de retirer des informations recueillies une présentation de détail, principalement sous la définition à l'imprévisibilité du déclenchement d'incendie. Néanmoins, des mouvements très généraux peuvent être dégagés, essentiellement à la persistance de certaines natures du feu1007. L'évolution du nombre des feux d'appartements ne procède pas d'une lecture visuelle appuyée, au sens où s'interprète difficilement un mouvement qui, sous le paramètre du nombre des déclarations de feux sur la période 1886-1913, imprimerait très globalement une tendance à la croissance1008. En revanche, proportionnellement aux totaux des incendies, le mouvement serait à l'inverse1009. L'expression de la proportion à la décroissance, modeste, demeure assez simple à comprendre au regard de la hausse des natures de feu comme celle qui concernait le secteur industriel, de l'application des prescriptions ou de la disposition des secours notamment. Quant au dénombrement, figuré à l'ascension, l'explication provient de l'expression du mouvement montant du répertoire total des déclarations d'incendie sous l'effet des paramètres, longuement évoqués dans ce début de chapitre, auquel il conviendrait d'ajouter, dans ce cas, le développement urbain. Que ce soit dans le rapport au recensement ou à la proportion, la tendance n'a rien de très significatif hormis la définition de la nature de feux la plus représentée parmi les déclarations ; et ce, en toute logique puisque le logement fondait un espace où l'usage de la flamme était quotidien, dans le chauffage ou l'éclairage, par exemple, et donc, tendait à rendre les accidents fréquents. Il convient enfin et également de prendre en compte l'importance des feux de cheminée puisqu'il arrivait que ceux-ci, par communication, donnent lieu à l'incendie d'un logement.

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Graphique n° 10 : Proportion et répartition des incendies selon la nature du départ de feu sur la période 1886-1913

Inutile d'escompter tirer une analyse qui concernerait les feux d'ateliers où même un mouvement très général demeure difficile à dégager. Que la représentation soit à la proportion1010 ou au dénombrement1011, aucune distinction visuelle majeure ne s'opère entre les deux. Deux périodes pourraient en fait se différencier, 1886-1905 et 1906-19131012 : une première période aux très fortes variations, qui s'échelonneront entre 01013 et 171014 déclarations, par exemple, exprimant une moyenne arrondie à 8, puis une seconde période aux comptages plus élevés, de 7 à 21, aux bouleversements moins marqués, exprimant surtout une moyenne plus haute, arrondie à 13. Ce ne sont pas encore là des chiffres qui représentent un nombre important de déclarations mais ils gardent tout de même une indéniable portée. Différentes hypothèses peuvent tenter de donner des arguments à chacune de ces tendances dont la principale serait le développement graduel, sous l'influence économique et de la place lyonnaise, de ce type de secteurs d'activités que fondaient l'atelier et l'artisanat1015. Peu importants auraient donc été les comptages jusqu'à la fin du XIXème siècle, sous cette évocation, avant de marquer un développement, éventuellement également vu sous un manque de respect des prescriptions sécuritaires.

Les feux de caves, s'ils conservent des comptages moyens sur la période 1886-1913, oscillant entre 111016 et 271017, exprimeraient des mouvements similaires à ceux mis en avant pour les feux d'appartements. Toutefois, il conviendra d'apporter des nuances quant au travail de recensement1018. La proportion se manifesterait à la décroissance avec des arguments identiques à ceux mis en avant pour les incendies de logements, notions qui valent d'autant plus que, au fur et à mesure des progrès urbanistiques et des évolutions sociales, des faits comme les rez-de-chaussée ouverts, facilitant l'accès aux caves des intrus ou des vagabonds, iront en disparaissant. Dans d'autres cas, ce sont les progrès techniques qui argueront à la baisse proportionnelle avec l'abandon progressif de la bougie ou de la lampe à pétrole au profit de l'électricité pour la visite de ces lieux, généralement sombres, où l'individu descend, et servant à l'entreposage de différents matériaux. Toujours concernant le travail de recensement, le mouvement se symboliserait sous une hausse à laquelle le développement des constructions pourrait fournir un élément de réponse, en association, comme dans les cas précédents, avec l'ensemble des paramètres mis en évidence dans les premières pages de ce chapitre.

Comme ce fut le cas pour les feux d'ateliers, il est peu aisé de tirer une interprétation de l'analyse des feux de toitures. Là aussi, que la représentation soit à la proportion1019 ou au dénombrement1020, aucune grosse distinction visuelle ne s'opère de manière flagrante entre les deux ; pas de mouvements significatifs et des fluctuations très imposantes entre les dénombrements qui vont de 21021 à 201022. Manifestement, les comptages les plus notoires auront lieu sur la période 1889-1900, produisant un total de 171 déclarations et une moyenne arrondie à 14. Une autre phase se note entre 1903 et 1913 avec des variations beaucoup plus marquées, un total de 147 départs de feux, mais une moyenne se rapprochant de la précédente, fixée à 13. Malgré les progrès dans les techniques de construction et, notamment, dans l'usage de certains matériaux, il est donc difficile de noter, pour cette typologie de feux, un mouvement. Si les moyennes demeurent proches, peut-être faut-il voir là l'incidence des propriétés mécaniques du feu comme la propagation par convection ou le transport des gaz de distillation, la persistance des feux de cheminée et le développement des constructions immobilières, une dernière extension qui se fera généralement sous le critère de la hauteur. Suivant les chiffres présentés par les Documents administratifs et statistiques de la ville de Lyon pour 18811023 et 18961024, le nombre de maisons de 4 étages et plus passera de 5.888 à 7.175, soit une hausse de 21,9 %1025. Le danger persistait donc, sous la difficulté au contrôle des feux de cheminée par exemple, dégénérant en feux de toiture, et par la difficulté de l'accès, les échelles aériennes offrant des développements encore peu importants.

Peu de différences visuelles entre les graphiques présentant proportion1026 et répertoire1027 sont également le propre des feux d'entrepôts et de hangars sur la période 1886-1913. Sous cette classification, un mouvement des déclarations de feux à la hausse pourrait être noté, une tendance qui se fonderait éventuellement sur le rôle de place économique régionale que jouait l'agglomération lyonnaise. Avec le développement des secteurs industriels et des mouvements de marchandises, la croissance des aires de stockage s'est faite corrélativement. Malgré la vigilance des pouvoirs publics dans l'établissement de prescriptions, le rôle accordé aux gardiens ou les développements techniques comme les protections par sprinklers, ces espaces, catégorisés sans échanges commerciaux directs, porteront un risque. En dehors de 8 années sur 24 comprises entre 1886 et 1909, toutes les autres comporteront un état inférieur à 10 déclarations par an1028, plus précisément entre 5 et 9 ; entre 1910 et 1913, les comptages ne descendront pas au-dessous de 13.

Une légère distinction est opérable sur les graphiques s'attachant à une représentation des feux de magasins. Hormis les années 1890, 1891 et 1910, qui expriment des totaux notables, la fourchette de l'écart entre le répertoire le plus faible et le plus fort est de 10 déclarations1029 ; ce qui, au regard des décalages révélés par d'autres natures de feux, demeure mesuré. L'expression à la proportion serait une tendance à la baisse, légère, mais perceptible1030, mouvement dont, en dehors des explications fournies jusqu'à présent, le développement du réseau électrique pourrait livrer un argument. Il s'agissait d'un progrès précis en termes de danger d'incendie puisque l'établissement de l'alimentation électrique supprimait l'utilisation de la bougie, de la lampe à pétrole ou du bec de gaz, modes couramment employés jusqu'alors et qui, dans l'idée du magasin, de la boutique, et donc de la présentation de marchandises, déterminaient des périls ; encore que l'installation des conducteurs devait se faire avec soin, car l'accession à la modernité et aux progrès techniques ne positionne pas nécessairement une réduction des menaces. Dans certains cas, les feux de natures diverses en attesteront d'ailleurs le sens. A la proportion1031 ou au recensement1032, cette classification d'incendie imprimera une hausse, le passage de 9 à 30 déclarations entre 1886 et 1913, de 6,1 % à 13,3 % du total des incendies sur la même période. Cette croissance, malgré la disparition progressive de l'embrasement d'espaces comme les fenils, par exemple, se situait sur l'apparition de nouveaux lieux, encore hors classification, comme les garages automobiles ou les espaces de loisirs, le développement des mobiliers urbains et certaines améliorations purement techniques.

Reste l'analyse des feux d'usines et de manufactures où la marque de tendance est très significative : l'expression d'une hausse manifeste, malgré l'alternance de hauts et de bas, entre 1907 et 1912, que le placement se fasse à la proportion1033 ou au dénombrement1034. En fait, la forme très générale du mouvement serait celle de l'accent aigu, c'est-à-dire le départ sur un point peu ou moyennement élevé, 1887, une déclivité à la baisse sur le premier tiers, jusque vers 1896, avant d'assister à une remontée sur les deux tiers suivants en dépassant de loin le point de hauteur du départ. C'est là une représentation très schématique dont on retrouve néanmoins la forme1035. Le mouvement se formerait de 1886 à 1911, sur le passage de 9 à 24 déclarations. Dans le détail, les années 1907 à 1913 composeraient un mouvement de va-et-vient entre la reconnaissance de nombreux départs de feux se succédant à de faibles déclarations. Comme dans toutes les précédentes natures de feux répertoriées et analysées, différents paramètres entrent en ligne de compte dans la conduite d'une éventuelle explication à la perception. Toutefois, l'interprétation peut également être vue sous un autre angle, celui du développement économique. L'essor des branches industrielles déjà installées sur l'agglomération lyonnaise ou des nouveaux secteurs qui s'y établiront se fondera, pour une grande partie, sur la fin du XIXème siècle et le début du XXème siècle1036 ; ce qui pourrait caractériser le mouvement. Sur le premier tiers de la période à laquelle la référence est faite, le recensement demeure moyen avant de faiblir. Les branches industrielles sont bien présentes mais leur superficie ou leur nombre inférieurs à ce qui pourra être noté à la veille de la Grande Guerre. Si les chiffres faiblissent, plusieurs faits peuvent en porter l'origine : la disposition de nouveaux progrès techniques, de l'électricité au réseau d'eau en passant par la protection par l'établissement de sprinklers, l'emploi de gardiens ou la formation du personnel d'entreprise à la manipulation d'agrès d'extinction ; tous éléments qui peuvent corroborer le mouvement à la déclinaison ; un mouvement qui pouvait, en outre, être le reflet d'une sous-estimation du fait de l'organisation de moyens de secours propres à la société ne demandant pas nécessairement l'intervention du service public d'incendie. Cet ensemble de mesures, en continuant d'être appliqué, ne fera que confirmer la croissance des déclenchements d'incendie par la multiplication industrielle ou le développement économique. Quoi qu'il en soit, selon les natures distinctes de feux abordées, les chiffres présentés peuvent paraître modestes par certains côtés mais aucune comparaison n'est possible, ne serai-ce qu'avec le monde moderne. Cette modestie est toute relative. Elle exprime, plus communément, la lente accessibilité à la maîtrise du risque ; surtout, l'essentiel ne se fondait pas catégoriquement sur l'événement mais sur les effets et les conséquences qui pouvaient être induits de tout départ de feu, aussi minime puisse-t-il être à l'origine.

Notes
1002.

Documents administratifs et statistiques de la ville de Lyon, Lyon, Imp. Vve L. Delaroche, 1892, 749 p.
Etat de la ville de Lyon.

1003.

Documents administratifs et statistiques de la ville de Lyon, Lyon, Imp. Vve L. Delaroche, 1897, 789 p.
Etat de la ville de Lyon.

1004.

Ibidem 206 / ibidem 207.

1005.

Ibidem 206 / ibidem 207.

1006.

Ibidem 206 / ibidem 207.

1007.

Voir le graphique n° 10, page I-212 : Proportion et répartition des incendies selon la nature du départ de feu sur la période 1886-1913. Ce graphique a été construit avec les données chiffrées accessibles dans le
volume V. Il s'agit ici d'une présentation synthétique de l'information. Pour chaque classe de natures, par année puis périodiquement, ont été construits des diagrammes ou des histogrammes, disponibles dans le tome V, établis sous le critère du nombre, pour permettre les comparaisons. Le choix a été ici fait du document synthétique afin de ne pas encombrer le développement de tracés représentant les huit catégories de natures répertoriées. Il conviendra, néanmoins, de s'y reporter pour bénéficier d'une meilleure interprétation visuelle.

1008.

Se reporter à l'histogramme, page V-251 : Revue de détail : évolution du nombre des feux d'appartements sur la période 1886-1913.

1009.

Idem 211.

1010.

Voir le graphique n° 10 : Proportion et répartition des incendies selon la nature du départ de feu sur la période 1886-1913.

1011.

Se reporter à l'histogramme, page V-252 : Revue de détail : évolution du nombre des feux d'ateliers sur
la période 1886-1913
.

1012.

Idem 215. Cette forme graphique offre une bonne représentation visuelle.

1013.

Année 1903.

1014.

Année 1897.

1015.

Dans le cadre de branches économiques précises et nouvelles comme la mécanique, par exemple.

1016.

Année 1907.

1017.

Année 1887.

1018.

Se reporter à l'histogramme, page V-252 : Revue de détail : évolution du nombre des feux de caves sur
la période 1886-1913
.

1019.

Voir le graphique n° 10, page I-212 : Proportion et répartition des incendies selon la nature du départ de feu sur la période 1886-1913.

1020.

Se reporter à l'histogramme, page V-253 : Revue de détail : évolution du nombre des feux de toitures sur la période 1886-1913.

1021.

Année 1887.

1022.

Année 1898.

1023.

Documents administratifs et statistiques de la ville de Lyon, Lyon, Imp. Administrative Chanoine, 1882, XLIII-295 p. ; p. 10.

1024.

Documents administratifs et statistiques de la ville de Lyon, Lyon, Imp. Vve L. Delaroche, 1897, 789 p.
Etat de la ville de Lyon.

1025.

Se reporter à l'histogramme, page V-279 : Evolution en nombre de la composition architecturale des maisons lyonnaises entre 1881 et 1896.

1026.

Voir le graphique n° 10, page I-212 : Proportion et répartition des incendies selon la nature du départ de feu sur la période 1886-1913.

1027.

Se reporter à l'histogramme, page V-253 : Revue de détail : évolution du nombre des feux d'entrepôts et hangars sur la période 1886-1913.

1028.

Idem 231. Années 1886, 1888, 1893, 1894, 1895, 1904, 1905 et 1908.

1029.

Se reporter à l'histogramme, page V-254 : Revue de détail : évolution du nombre des feux de magasins sur
la période 1886-1913
.

1030.

Idem 230.

1031.

Idem 230.

1032.

Se reporter à l'histogramme, page V-255 : Revue de détail : évolution du nombre des feux de natures diverses sur la période 1886-1913.

1033.

Idem 230.

1034.

Se reporter à l'histogramme, page V-254 : Revue de détail : évolution du nombre des feux d'usines et industries sur la période 1886-1913.

1035.

Se reporter à l'histogramme, page V-254 : Revue de détail : évolution du nombre des feux d'usines et industries sur la période 1886-1913.

1036.

BAYARD F. / CAYEZ P. (sous la direction de) - Histoire de Lyon (tome 2) – Du XVI ème siècle à nos jours,
Le Coteau, Horvath, 1990, 480 p. ; pp. 245 et suiv. ; pp. 321 et suiv.