L'éventuel mouvement qui affectera la localisation des départs de feu peut se mettre en relation avec les transformations qui affectèrent le cité lyonnaise entre la naissance de l'agglomération, en 1852, et les années d'avant-guerre. L'idéal aurait été de pouvoir opérer un recoupement entre les natures de feux et la localisation mais qui, pour différentes raisons, ne peut être proposé. Néanmoins, le travail sous la localisation donne déjà un éclairage sur les arrondissements de la ville les plus affectés et ceux qui connurent des déplacements du risque, soit à la hausse, soit à la baisse. Selon des modalités identiques à ce qui a été pratiqué jusqu'alors, l'information recueillie émane des sources archivistiques et textuelles présentées antérieurement. Comme ce fut le cas pour la plupart des traitements, une part de subjectivisme marque l'analyse. Les rapports d'incendie ou les registres de feu, s'ils pêchaient parfois par le manque de renseignements relatifs à l'origine, par la description sommaire des lieux, avaient l'avantage de mentionner, dans la plupart des cas, l'arrondissement de déclaration de l'incendie. S'il arrivait que cette présentation fasse défaut, le nom de rue palliait ce manquement ; encore fallait-il situer la voie ou l'artère, d'où l'importance et l'usage d'annuaires des rues et de cartes de la cité sur la seconde moitié du XIXème siècle et le début du XXème siècle. L'agglomération lyonnaise ne subira pas ou peu de modifications de sa superficie sur la période 1886-1911, ce qui facilitera la lecture des données se rapportant à la localisation des incendies selon les différents arrondissements de la cité lyonnaise ; des espaces qui, pour rappel, occupaient la partie septentrionale de l'ancienne ville de Lyon pour le 1er arrondissement et la partie méridionale pour le 2ème, l'ancienne commune de La Guillotière pour le 3ème, l'ancienne commune de La Croix-Rousse pour le 4ème et l'ancienne commune de Vaise pour le 5ème. Le 6ème apparaîtra, en fait, en 1867, du découpage du 3ème arrondissement en deux : le 3ème représentant, schématiquement, le Sud, et le 6ème, le Nord1051.
La précision du lieu de l'incendie, si elle se faisait de manière si catégorique par rapport aux autres renseignements, pouvait en fait procéder d'une logique de sécurité, difficilement vérifiable en l'absence de données sur la période 1853-1886 mais mesurable sur la période suivante. Cette logique se voulait sur la détermination des dangers, l'orientation des quartiers, à l'économie ou à la résidence, et donc sur l'implantation des postes et des dépôts ; des faits qui se vérifient pour partie1052. Le 1er arrondissement porte, sous la présentation du document n° 15, un total de 777 incendies sur la période 1886-1911, soit 63,9 % de plus que le 5ème arrondissement. Pourtant, le 1er n'était protégé que par 6 postes et dépôts dont, il est vrai, un poste permanent, celui de l'Hôtel de Ville, alors que le 5ème restera défendu par 8 postes et dépôts. La différence résidait dans la spécificité des espaces, entre zone "résidentielle", pour le 1er, et zone industrielle et d'entreposage, pour le 5ème. L'argument du développement économique vaudra également pour le 3ème arrondissement qui connaîtra une extension poussée, certes également à la résidence, et qui explique le nombre des postes et dépôts qui y furent implantés. Les chiffres, que ce soit au nombre des déclarations d'embrasements ou à l'implantation des dépôts, se placent également sur l'évolution qui affectera, sous le danger de la conflagration, chacun des arrondissements de l'agglomération lyonnaise. La répartition et la proportion des déclarations d'incendie selon les différents arrondissements de l'agglomération lyonnaise sur la période 1886-19111053, hors périphérie de la ville, font en effet apparaître une augmentation des déclenchements dans le 3ème ; ce qui éclairerait la création de nouveaux postes dans les limites de ce quartier.
Le mouvement qui affectera les incendies répertoriés comme ayant eu lieu dans le 1er arrondissement ira proportionnellement à la décroissance1054. Quant à la répartition par dénombrement, la tendance serait plutôt oscillatoire même si se dessine, de manière très globale, une légère baisse1055. Le mouvement à la diminution s'explique par la hausse des départs ayant lieu sur certaines autres parties de la ville. Les oscillations du dénombrement sont beaucoup plus difficiles d'interprétation hormis à évoquer le critère d'impondérabilité de l'événement, argument pratique, mais qui vaut pour toutes les analyses. Les opérations d'urbanisme, à travers la régénérescence du tissu, n'auraient, sous cette inclinaison, pas opéré de changement radical ; à moins d'évoquer la densification de l'occupation de l'espace, sous la croissance démographique et bien que ce ne soit pas là le quartier ayant subi la plus forte poussée, et la qualité des constructions, en étages. Plus généralement, les travaux n'affectèrent qu'une partie du 1er arrondissement, ce qui signifie que des rues étroites bordées de maisons hautes, humides et sombres, comme savaient si bien les décrire les auteurs locaux, continuaient d'en former la trame. Malgré les progrès enregistrés dans plusieurs domaines, c'est là une hypothèse. L'évolution caractérisant les départs de feu recensés comme ayant eu lieu dans le 2ème arrondissement offre, sur l'ensemble de la période, une tendance à la faible croissance1056. Ce mouvement, lui aussi, est empreint de variations continuelles. Cet arrondissement définit en fait la partie Sud de la presqu'île lyonnaise dont le développement fut opéré à la fin du XVIIIème siècle mais dont le véritable essor ne se fondera qu'avec l'implantation d'une gare au milieu des années 18001057 ; une partie Sud de la presqu'île lyonnaise dont il était écrit, dans l'Annuaire départemental administratif, historique, industriel et statistique de Lyon et des provinces, en 1847, que s'y confondaient les ateliers de constructions et l'activité des fourneaux1058. Ce quartier, malgré l'ouverture de la plaine des Brotteaux et l'extension économique de cet espace, conservera certaines de ses caractéristiques qui, d'ailleurs, se développèrent sous l'influence de la construction de ce qui deviendra la future gare Perrache. Cette persistance et cette extension en rapport au réseau ferroviaire pourraient se mettre en corrélation avec l'augmentation relevée des feux ayant eu lieu dans des espaces productifs du type des ateliers. L'évolution qui affectera les déclarations localisées dans le 4ème arrondissement est parmi la plus visuelle, à la décroissance1059. A l'origine, cette partie de l'agglomération lyonnaise, comme le montre le document n° 15, ne composait pas la partie de la ville la plus exposée au regard du nombre de feux qui y furent recensés1060 ; cela ne signifie pas nécessairement que ce ne fut pas un quartier où la flamme ait pu faire d'importants dégâts. La faiblesse des chiffres pourrait également légitimer la moindre implantation des postes et dépôts sur cette partie de la ville alors que, néanmoins, cet espace présentait des risques -approchés dans l'essai de cartographie des dangers figurant dans le chapitre 1er- sous l'angle topographique. Le 4ème arrondissement de la cité lyonnaise fondait l'ancienne commune de La Croix-Rousse, comprenant un plateau et des pentes. Si le déplacement pouvait se faire aisément en partie haute pour le parc technique du service d'incendie, celui-ci devenait compliqué à la descente ou à la montée des pentes, au tirage ou à la retenue des pompes. D'autres effets se plaçaient notamment sur la disposition de l'eau, sous le critère de la pression et l'alimentation, malgré les réservoirs disponibles sur le plateau. Si l'expression du mouvement est à la baisse, celui-ci peut se mettre en relation avec le déclin de l'activité soyeuse qui déterminait, pour une grande partie, l'orientation économique de ce quartier1061. La Croix-Rousse avait en effet une vocation d'implantation de petits métiers et d'artisanat qui tournaient autour du travail de la soie, longtemps représentation de l'activité lyonnaise. Or, cette industrie connaîtra des difficultés à partir du dernier quart du XIXème siècle qui conduiront celle-ci à des transformations, y compris au passage vers de grosses structures que ne permettait pas la configuration du quartier ; une double interprétation à la décroissance. Sous le placement au 5ème arrondissement, la tendance générale porterait sur une légère ascension pour la période 1886-19111062. Le nombre total des incendies comptabilisés sur cette période pour ce quartier présente 474 déclarations, ce qui est peu au regard des 1.420 du 3ème arrondissement1063 et représente 61,6 % de moins que le 6ème. Pourtant, le 5ème était protégé par 8 postes et dépôts alors que le 6ème n'en comptait que 4, puis 51064. La différence se plaçait sur la composition de ces deux quartiers. Le 5ème ayant une vocation plus économique que le 6ème, un embrasement y était donc plus craint dans ses effets, ses dommages et le danger de communication. Le 5ème, espace déterminant l'ancienne commune de Vaise, abritait dans ses limites de nombreuses industries, notamment dans le quartier de Serin1065, un nombre important de hangars, d'entrepôts, et le passage du chemin de fer de la compagnie Paris-Lyon-Méditerrannée. Fonction du développement économique de la cité lyonnaise, le corollaire peut donc se faire avec l'augmentation des départs de feux notée dans ce quartier bien que ce ne fut pas celui qui fut le plus affecté sur le plan du mouvement des implantations économiques ; en fait, plus foncièrement, son affectation était celle de l'intensification des échanges.
L'arrondissement qui subit le plus fort bouleversement est celui qui composait, à l'origine, l'ancienne commune de La Guillotière et la plaine des Brotteaux, soit le 3ème arrondissement, qui deviendra en 1867, les 3ème et 6ème. De ces arrondissements, le premier témoigne de la somme des déclarations d'incendie la plus importante sur la période 1886-1911 avec 1.420 départs de feux comptés1066. C'est également celui qui bénéficiera de la meilleure couverture en postes et dépôts, y compris la disposition, dans ses limites, du Dépôt Général des pompes à incendie, coeur et poumon du service de secours de la ville de Lyon. Un tel état et une telle concentration des moyens étaient le produit de l'étendue et de l'orientation économique de plus en plus affichées de cet espace. Ce quartier fut le symbole du développement spatial de l'agglomération lyonnaise sur toute la seconde moitié du XIXème siècle mais plus encore sur son dernier quart. Les entreprises et les industries y trouvaient des terrains libres et les populations ouvrières chassées par les opérations d'aménagement du centre-ville, des constructions et des logements plus en correspondance avec leurs moyens. Cet espace, notamment en partie Sud, fut d'abord édifié de maisons basses et en bois avant de progressivement évoluer ; la partie nord, le 6ème, sous l'influence de certaines implantations comme la préfecture, disposera d'une composition architecturale, mais surtout sociale, différente et d'une orientation économique moins déterminée ; ce qui explique, dans une certaine mesure, la différence de 85,4 % entre le recensement des sinistres ayant eu lieu dans l'un et l'autre de ces arrondissements et la distinction de localisation des moyens de secours, bien que, du fait de la proximité, le 6ème bénéficie également de la protection du Dépôt Général1067. La majeure partie des implantations industrielles que connut la ville de Lyon s'est donc faite sur le 3ème arrondissement qui, en plus de la composition des constructions et le caractère des populations résidentes, déterminait de forts risques qui s'exprimeront à la croissance au vu du nombre des embrasements comptabilisés1068 et de la répartition proportionnelle avancée1069 et pour lesquels les arguments au mouvement viennent d'être fournis. Cette tendance à la hausse affectera, sous quelques variations, le répertoire des départs de feux ayant eu lieu dans le 6ème arrondissement1070. Ces mouvements à l'ascension, pour chacun de ces arrondissements, étaient des mouvements pour lesquels entraient également en jeu le développement, l'aménagement urbain, et l'absorption de la croissance démographique. Le critère de l'étendue, principalement sur le 3ème, amènera, en outre, la composition de compagnies auxiliaires de façon à sauvegarder les espaces les plus excentrés de ce quartier des destructions par le feu1071. Telle fut la motivation première à la création des subdivisions de Montplaisir et du Grand-Trou, ce qui renforce le caractère de la menace de ces lieux, y compris avec la difficulté, jusqu'à très tard sur le siècle, à acheminer du matériel technique, pompes en premier lieu, sur le théâtre d'un incendie éloigné. Ces principes détermineront, par ailleurs, la composition de la division du Point-du-Jour, dans le 5ème arrondissement1072.
La liaison, pour les 3ème, 5ème et 6ème arrondissements, se fait, suivant les tendances remarquées, avec l'essai de cartographie du risque ; tout particulièrement à l'échelle de l'installation des établissements dangereux, insalubres et incommodes1073. Selon une carte dressée en 1887, la concentration est en fait flagrante sur les trois quartiers précités ; ce qui renforce l'idée du mouvement à la hausse, malgré les précautions prises, des déclarations d'incendie en ces lieux. Il est donc également logique, en fonction des caractères d'affectation de ces arrondissements, que la localisation des postes et dépôts y ait été plus abondante que sur des quartiers à "vocation" plus résidentielle1074. Ceci fonderait donc une réflexion sur la défense et la sauvegarde des biens économique dans une politique de gestion du risque. A l'éventuelle destruction de l'outil productif s'ajoutait également la crainte de la propagation. Un feu non maîtrisé rapidement, ou tout du moins contenu, pouvait avoir des conséquences fâcheuses sur le développement d'une industrie et sur l'économie d'un quartier. Cela ne signifie pas que l'embrasement et le contrôle de ces risques aient été négligés dans les parties de la ville moins touchées ou à des vocations économiques moins affirmées. Seulement, il paraît néanmoins évident de l'attention portée par les pouvoirs publics ou les magistrats municipaux à l'essor de la cité et de pallier, le plus possible, les événements qui pouvaient, par certains aspects, présenter des obstacles ou constituer des freins. Si les 3ème, 5ème et 6ème arrondissements comptaient comme les espaces les plus fréquemment touchés, le rapport peut également être fait aux dommages exprimés de manière à déterminer si un lien persistait inévitablement entre abondance des départs de feux et importance des dégâts.
ADR, 1.M.87 – Modifications des limites communales – Création du 6ème arrondissement municipal de
Lyon – Loi du 17/07/1867 ; 1866-1868.
Voir le document n° 15 : Etat des déclarations d'incendie selon les arrondissements de la ville de Lyon sur la période 1886-1911 associé à un dénombrement des postes et dépôts en 1885 et 1900. Les données présentant les totaux d'incendies sur la période 1886-1911 sont disponibles, par addition, dans le volume V ; le dénombrement des postes et dépôts sont issus d'états dressés du matériel (AML, 1270 WP 021 – Sapeurs-pompiers : Matériel : Inventaires ; 1868-1911. Etats de février 1885 et de janvier 1900).
Voir le graphique n° 12, page I-222 : Proportion et répartition des déclarations d'incendie selon les différents arrondissements de l'agglomération lyonnaise sur la période 1886-1911 (hors périphérie de la ville).
Ce graphique a été construit avec les données chiffrées accessibles dans le volume V. Il s'agit ici d'une présentation synthétique de l'information. Pour chaque arrondissement, par année puis périodiquement, ont été construits des diagrammes ou des histogrammes, disponibles dans le tome V, établis sous le critère du nombre, pour permettre les comparaisons. Le choix a été ici fait du document synthétique afin de ne pas encombrer le développement de tracés représentant les six arrondissements de la cité. Il conviendra, néanmoins, de s'y reporter pour bénéficier d'une meilleure interprétation visuelle.
Idem 257.
Se reporter à l'histogramme, page V-256 : Revue de détail : évolution du nombre de déclarations d'incendie ayant eu lieu dans le 1 er arrondissement de la ville de Lyon sur la période 1886-1911.
Voir le graphique n° 12 : Proportion et répartition des déclarations d'incendie selon les différents arrondissements de l'agglomération lyonnaise sur la période 1886-1911 (hors périphérie de la ville) /
Se reporter à l'histogramme, page V-257 : Revue de détail : évolution du nombre de déclarations d'incendie ayant eu lieu dans le 2
ème
arrondissement de la ville de Lyon sur la période 1886-1911.
PELLETIER A. (sous la direction de) - Grande encyclopédie de Lyon et des communes du Rhône, Roanne, Horvath, 1981, 577 p. ; pp. 116 et suiv.
Annuaire départemental administratif, historique, industriel et statistique de la ville de Lyon et des provinces, 1847, pp. 102-122.
Voir le graphique n° 12, page I-222 : Proportion et répartition des déclarations d'incendie selon les différents arrondissements de l'agglomération lyonnaise sur la période 1886-1911 (hors périphérie de la ville) /
Se reporter à l'histogramme, page V-258 : Revue de détail : évolution du nombre de déclarations d'incendie ayant eu lieu dans le 4
ème
arrondissement de la ville de Lyon sur la période 1886-1911.
Voir le document n° 15, page I-221 : Etat des déclarations d'incendie selon les arrondissements de la ville de Lyon sur la période 1886-1911 associé à un dénombrement des postes et dépôts en 1885 et 1900.
Le canut, synonyme de l'ouvrier soyeux, est identifié à La Croix-Rousse
Voir le graphique n° 12, page I-222 : Proportion et répartition des déclarations d'incendie selon les différents arrondissements de l'agglomération lyonnaise sur la période 1886-1911 (hors périphérie de la ville) /
Se reporter à l'histogramme, page V-258 : Revue de détail : évolution du nombre de déclarations d'incendie ayant eu lieu dans le 5
ème
arrondissement de la ville de Lyon sur la période 1886-1911.
Idem 264.
Idem 264.
Un quartier à cheval entre 4ème et 5ème arrondissements mais défendu par les postes et dépôts de Vaise.
Voir le document n° 15, page I-221 : Etat des déclarations d'incendie selon les arrondissements de la ville de Lyon sur la période 1886-1911 associé à un dénombrement des postes et dépôts en 1885 et 1900.
Idem 270.
Se reporter à l'histogramme, page V-257 : Revue de détail : évolution du nombre de déclarations d'incendie ayant eu lieu dans le 3 ème arrondissement de la ville de Lyon sur la période 1886-1911.
Voir le graphique n° 12, page I-222 : Proportion et répartition des déclarations d'incendie selon les différents arrondissements de l'agglomération lyonnaise sur la période 1886-1911 (hors périphérie de la ville).
Se reporter à l'histogramme, page V-259 : Revue de détail : évolution du nombre de déclarations d'incendie ayant eu lieu dans le 6 ème arrondissement de la ville de Lyon sur la période 1886-1911.
AML, 1270 WP 001 – Sapeurs-pompiers : Organisation et fonctionnement du service, budget, comptabilité ; 1803-1929.
AML, 1270 WP 001 – Sapeurs-pompiers : Organisation et fonctionnement du service, budget, comptabilité ; 1803-1929.
Documents administratifs et statistiques de la ville de Lyon, Lyon, Imp. Administrative Chanoine, 1887,
552 p. ; pp. 82-83. Une carte, qui figure la localisation dans l'agglomération lyonnaise des établissements insalubres, dangereux et incommodes de 1
ère
et 2
ème
classes, est présentée page I-107.
Voir le document n° 15, page I-221 : Etat des déclarations d'incendie selon les arrondissements de la ville de Lyon sur la période 1886-1911 associé à un dénombrement des postes et dépôts en 1885 et 1900.