B. LA SÉCURITÉ INCENDIE : L'EXPRESSION D'ENJEUX ET DE POUVOIRS LOCAUX

1. OPTIMISER UN SERVICE PUBLIC

Le concours à la sécurité, dans le cadre de l'incendie, est l'expression d'enjeux qui sont, eux-mêmes, le produit de la protection, de la sauvegarde et de la défense des biens et des individus face aux flammes, aux dangers et aux effets dévastateurs de ces dernières. L'incendie a constitué sur le XIXème siècle un risque majeur au moment où s'opérait pour le monde moderne une transition, devant l'effacement d'autres périls et l'arrivée de nouvelles menaces, qui mèneront à la gestion, pas uniquement d'un type de secours, mais de plusieurs modes et moyens de secours face à différentes réalités événementielles. La ville de Lyon, devant des oppositions, des difficultés, des caractéristiques particulières, des rapports conflictuels, ne figure pas parmi les cités qui bénéficièrent d'un service d'incendie en adéquation avec son agglomération, au moins jusqu'à l'organisation d'un corps fonctionnant sur un noyau de professionnels de l'incendie. Il ne s'agit nullement ici d'un renvoi au rang de la ville sur le territoire national, à son influence administrative ou politique mais d'une référence aux risques qu'elle concentrait, ne serait-ce que sur un plan économique. Lorsqu'un incendie se déclarait dans un établissement industriel important, les conséquences s'établissaient sur plusieurs paramètres, y compris sur un déséquilibre, certes local et ponctuel, économique. Le bénéfice d'un service d'incendie était donc primordial sous ce point mais, plus généralement, pour son concours à la défense de la richesse publique, privée, individuelle ou collective. Cette défense ne pouvait s'opérer qu'avec l'appui d'un système convenablement organisé et adapté à l'échelle du risque. Par la question sans cesse renouvelée du désir de recomposition du bataillon des sapeurs-pompiers de la ville de Lyon, malgré l'introduction perpétuelle d'améliorations et de progrès, la révélation était faite d'un état d'imperfections. La situation n'a cependant pas été aussi inappropriée que la presse de l'époque le laissait sous-entendre. Il n'en demeure néanmoins et pas moins que des réformes auraient dû être conduites plus rapidement pour une cité de la dimension de Lyon. L'application des réalisations projetées, successivement en 1881 et 18851433, que ce soit l'une ou l'autre, aurait inévitablement changé la gestion du risque incendie, surtout au niveau de l'intervention, de la sauvegarde, des destructions par le feu et des dommages. Les courbes présentées dans le chapitre III auraient alors connu des orientations sensiblement différentes.

Dans les deux cas, les réflexions ont été menées au lendemain d'incendies aux traces tragiques1434. Il s'agissait là presque d'un trait commun à l'appréhension du risque et ses conséquences où l'événement induisait la réflexion, le mouvement et l'accélération des réformes après sa survenue mais rarement antérieurement, malgré la place de plus en plus grande accordée à la prévention1435. Cette dernière notion ne caractérisait surtout pas un expédient et ne pouvait se départir d'un fonctionnement en association directe avec une unité d'interventions sous le principe universel de l'imprévisibilité de l'élément, quelles que soient l'intensité ou la qualité des mesures et des moyens préventifs déployés. Lyon, à la lumière de la description de son service de secours, a mis plus de 60 ans à réaliser une forme concrète, entre le projet de Christophe CRÉPET, de 1851, et le positionnement définitif de sa structure de secours, en 19131436. La cité lyonnaise aurait dès lors subi un retard par rapport à d'autres villes françaises qui, dans ce sens -et c'est ce qui paraîtrait vérifiable pour certains organes de presse et sous-entendu pour d'autres- aurait été l'expression de vives inquiétudes face à la menace, face à ce péril inhérent à la dynamique urbaine et sa complexité des développements et des concentrations. L'agglomération lyonnaise a pourtant eu l'occasion d'appliquer deux réformes issues de réflexions poussées qui montraient parfaitement l'évolution des pouvoirs administratifs locaux depuis la loi de 1790, tout au moins dans la volonté d'entreprendre. Les deux projets auxquels il est fait référence fondent le rapport au sous-titre de cette étude quant à la citation de la gestion du risque. Les conclusions de ces textes, en faveur de systèmes de défense contre le feu encore non appliqués à Lyon, furent adoptées mais partiellement exécutées. Dans tous les cas, à la lecture de leur contenu, perce irrémédiablement le concept d'une politique de gestion de l'événement. Leur étude était complète et présentait de manière précise et claire les avantages dont bénéficierait la ville si elle choisissait d'établir les modes et moyens proposés.

Edouard THIERS, dans le rapport fait à la commission dont il était membre, déterminait l'orientation du service à créer sous deux modalités qu'il appellera : projet de défense de la ville de Lyon par la pompe à bras ; projet de défense de la ville de Lyon par la pompe à vapeur1437. Il convient de s'arrêter sur ces deux vues afin de marquer la différenciation entre le désir de gestion, la réflexion portée, le système fonctionnant réellement dans la cité, présenté jusqu'alors dans ses grandes lignes, et les conditions qui font que les propositions ne se mirent en place que pour partie et graduellement. Le projet de défense de la ville par la pompe à bras était en fait une transposition de principes d'organisation et de techniques fonctionnant dans la plupart des villes de France et d'Europe, y compris à Lyon mais sous un mode moins perfectionné1438. Dans cette perspective, la pompe à bras figurait la base de la défense et la pompe à vapeur un instrument de réserve. Selon les membres de la commission, à l'origine du débat, la nécessité absolue et évidente portait sur l'établissement de postes de secours permanents, disséminés sur le territoire communal de façon à obtenir un commencement d'action très rapide. Pour ce faire, il convenait d'adopter le positionnement sur un rayon d'action de 500 mètres, limite extrême à la dispense d'un premier secours1439. Le système nécessitait donc la multiplication des points pour arriver à un total de 20 postes dont chacun devait se composer de 3 sapeurs et 1 caporal, effectif minimum pour tracter une pompe à bras sur le théâtre d'un incendie. Le roulement du service devait s'opérer sur 3 jours, le premier jour correspondant à la garde de 24 heures, la seconde journée au piquet de réserve et à l'instruction, le troisième au repos. Cadres du corps compris, le personnel représentait environ 300 personnes pour lesquelles furent envisagés, soit un recrutement militaire, soit un recrutement civil1440. Le mode militaire aurait eu l'avantage de donner des hommes jeunes et vigoureux, une discipline absolue, mais avait l'inconvénient du temps de service, trop court. Plus significativement, cette option signifiait, d'après les textes, l'absence de choix dans le personnel et sa direction bien que la ville soit appelée à acquitter les dépenses de fonctionnement de l'unité1441. Le mode civil aurait permis de réadmettre les hommes composant actuellement les rangs. Sous l'une et l'autre des modalités de recrutement et sous le projet de défense par les pompes à bras, le budget annuel prévisionnel, comprenant l'ensemble des frais, était respectivement de 251.000 et 331.000 francs1442.

L'autre option que proposait le rapport THIERS, celle pour laquelle la commission se prononça favorablement et invita l'administration à son adoption, établissait la défense de la ville par la pompe à vapeur1443. Il s'agissait en fait de l'application à la cité de Lyon de ce qui fonctionnait dans les villes nord-américaines, c'est-à-dire un usage exclusif des pompes à vapeur. Par une bonne organisation, le départ des agrès pouvait être assuré très rapidement, au premier son de l'alerte. A l'échelle de la commune lyonnaise, l'établissement devait se faire sur 7 dépôts de pompes ayant pour champ d'action un cercle d'un kilomètre de rayon1444. Les avantages présentés en faveur de cette option étaient de plusieurs ordres selon le rapporteur : la rapidité d'action, l'intervention d'hommes alertes et non pas fatigués, voire exténués, par l'acheminement tracté des agrès dès lors effectué par des chevaux et l'intensité du secours sous la typologie de l'instrument, notamment dans les parties centrales de la cité concentrant des bâtiments élevés1445. De plus, l'utilisation de la pompe à vapeur permettait de multiplier les points d'attaque puisque sur une pompe pouvaient se fixer 4 lances. Ces agrès fournissaient également une force motrice permettant d'aller chercher l'eau et de la refouler, ce qui évitait le recours à une chaîne d'alimentation ou l'usage d'un relais de pompes à bras. Leur déplacement rapide pouvait, en outre, faire converger plusieurs pompes en un même point bien que la notion du besoin de renforts, fonction des capacités de l'outil, demeure moins grande que dans le cas d'un usage des pompes à bras. Ces dernières étaient, d'ailleurs, de moins en moins utilisées devant le développement du réseau d'eau qui fondait l'emploi de longueurs de tuyaux vissées sur bouches et, à l'autre bout, des pompes à vapeur. Tout ceci imposait, malgré la pression de l'eau refoulée au regard du dégât des eaux, la supériorité de l'emploi de ces derniers instruments à tout point de vue. Le personnel, cadres compris, devant composer ce modèle d'organisation, demandait environ 180 personnes1446. Le budget annuel prévisionnel de fonctionnement était, sous un mode militaire, de 238.000 francs, et sous un mode civil, de 300.000 francs1447.

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Document n° 19 : Projet de défense de la ville de Lyon par la pompe à vapeur - THIERS – 1881

A la conclusion de son projet, Edouard THIERS invitait la commission nommée afin d'étudier le mode de réorganisation le plus adapté aux exigences de la ville à se prononcer pour le système de défense sur le modèle nord-américain. Selon lui, il convenait d'appliquer le projet dans toute sa dimension et non pas de se lancer dans l'introduction de modifications ponctuelles ou factuelles avec dans l'idée de conduire une transition qui aurait pour seul effet de ralentir par des adaptations périodiques un progrès qui devait être catégorique1448. Cette mise en garde ne fut nullement suivie puisqu'une transformation du corps a bien eu lieu mais sur une vingtaine d'années et par un retour sans cesse effectué sur des améliorations en adéquation avec le système continuant d'exister. Malgré l'adoption en séance de la commission de réorganisation du corps de sapeurs-pompiers de la ville de Lyon du système de protection de la cité par des pompes à vapeur servies par un personnel caserné, recruté sur un mode civil, hormis développer le réseau d'eau ou d'avertissement, rien ne fut concrètement appliqué1449. Si bien que dans un rapport signé de la main du maire, en novembre 1883, le sujet était toujours d'actualité et aussi brûlant1450. Il y était fait mention d'une urgence qui prête à interpellation du fait de la non-observation des terminaisons du projet de 1881. La ville de Lyon n'avait apparemment pas souhaité saisir l'occasion malgré les besoins exprimés dans la dispense des secours. Ces besoins étaient mesurés et connus d'autant plus que les cinq membres civils du conseil d'administration du corps faisaient partie de la commission chargée de la réflexion. C'est cette connaissance des nécessités qui fut d'ailleurs exprimée dans l'adoption des conclusions d'Edouard THIERS. L'hypothèse de l'absence de suivi du projet serait d'une double interprétation : celle de rapports difficiles entre la ville et l'administration d'Etat et, plus nettement, au regard des chiffres présentés, celle du financement. Le rapport THIERS fut rendu disponible en 1881. A cette date, les crédits ouverts pour le fonctionnement du bataillon étaient de 236.779,50 francs, les droits constatés au 31 décembre, de 211.818,40 francs1451. Sur cette dernière base, sous l'idée du projet de défense par la pompe à bras, la différence était de presque 40.000 francs sous le modèle militaire et de presque 120.000 francs sous le modèle civil1452. Dans la perspective de la sauvegarde par la pompe à vapeur, l'écart se fixait, respectivement, à un peu plus de 26.000 et 88.000 francs1453. Annuellement, l'adoption de l'un ou l'autre des systèmes aurait entraîné un surcoût pour les finances publiques. Mais, plus encore, ce sont les dépenses de premières installations qui freinèrent une réorganisation complète. Ces frais, incorporant tous les postes déterminant une création de ce type, hors personnel, plaçaient un montant de 1.087.000 francs pour le système sur les pompes à bras et 1.443.500 francs pour celui sur les pompes à vapeur1454. La persistance de la dispense des secours sur les modalités qui les caractérisaient à cet instant devient dès lors plus explicite.

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Document n° 20 : Projet de défense de la ville de Lyon par un système mixte - GRINAND – 1885

Suivant les dépenses de premières installations exprimées sous les propositions du rapport de 1881, la ville ne pouvait entreprendre une recomposition complète. Les besoins continuaient cependant de se faire ressentir et l'opinion publique manifestait ses inquiétudes. Au lendemain de l'incendie de la Rue Centrale, survenu en août 1884, une commission fut renommée pour de nouvelles réflexions, car il s'agissait bien de chercher une solution financièrement et aisément adaptable1455. Une seconde occasion allait ainsi être donnée de recomposer le corps de sapeurs-pompiers dans un souci de fonctionnalité. Dans cette recherche de nouveaux modes de gestion, les membres de la commission ne comptaient aucun des précédents acteurs de la commission de 1881, vraisemblablement de façon délibérée. Le premier rapport fut celui d'une augmentation du matériel préalable à toute restructuration1456. Dans le rapport qui suivra sur l'organisation à adopter, le choix portait, cette fois, sur un système mixte1457. Le projet était le suivant : une compagnie composée de 85 pompiers civils volontaires, logés dans des casernes réparties sur la surface communale, à laquelle s'adjoindraient 6 autres compagnies auxiliaires, dans le cas de Lyon, d'arrondissement. A cette fin, il s'agissait de s'appuyer sur 3 casernes, 14 petits postes et 23 dépôts1458. Les casernes devaient être placées, autant que possible, sur des espaces aisément accessibles, à proximité de larges rues pour faciliter les départs et de ponts pour traverser les cours d'eau. Leur placement devait également permettre le croisement de leur sphère d'actions. Ainsi, le projet prévoyait-il un positionnement près du Cours Lafayette, Boulevard de La Croix-Rousse, côté Saône, et au-dessous de Saint-Georges, sur les quais1459. Dans son fonctionnement, aucune différenciation n'était opérée entre pompes à bras et pompes à vapeur, le système admettant la complémentarité des deux. Ce rapport insistait enfin sur des recommandations essentielles : l'acquisition de chevaux pour la traction des agrès, le développement du réseau d'eau et l'amélioration des transmissions et communications1460. Les dépenses de fonctionnement annuelles étaient chiffrées, approximativement, à 316.000 francs1461, soit environ 101.200 francs de plus que les droits constatés au 31 décembre de l'année 18851462.

Les conclusions présentées dans ce rapport furent discutées deux ans après son rendu, en séances du conseil municipal du 16 mai et du 14 juin 1887, adoptées d'ailleurs dans cette dernière1463. L'adoption ne signifiait pas forcement l'exécution, le cas s'était déjà produit en 1881. La dernière décennie du siècle allait arriver et la ville de Lyon n'était toujours pas défendue correctement sous le rapport à sa population, à sa superficie et à son poids économique. La ville devait faire l'effort de recomposition mais, une nouvelle fois, sous un rapport aux finances, l'entreprise, à l'inverse du projet THIERS, si elle vit bien sa réalisation, ce ne fut que très progressivement. Cette exécution renvoie dès lors à la présentation qui a été faite précédemment sur la section active, l'étape de 1899, le relais de 1907 et les décisions de 1913. Le terme de progression est approprié car si une division dite active, synonyme de professionnels, a été créée, en février 1890, sa composition originelle n'était que de 9 membres et elle n'atteindra un chiffre voisin de celui du projet de 1885 qu'en octobre 1913 avec 82 personnes1464. Sous le placement aux casernes, le Dépôt Général fonctionna sur ses bases jusqu'au projet définitif de construction de la caserne de la Rue Rabelais, en 1901-1903 ; quant aux deux autres, elles n'entrèrent en service qu'en 1908, pour l'une, et 1910, pour l'autre. La ville ne fit jamais non plus, explicitement, l'acquisition de chevaux pour le transport des agrès d'incendie. La question demeure donc de savoir si la ville a réellement cherché à optimiser son service de secours ou si elle ne s'est contentée que de réformes graduelles en comptant sur le dévouement des hommes composant les rangs du bataillon, au prix de reproches et conflits, mais, parallèlement, en réussissant à maintenir un équilibre budgétaire, visible dans l'expression à la décroissance des dépenses sous le graphique n° 171465. Une autre explication pourrait se déterminer sur un risque déclinant dont les magistrats municipaux auraient perçu l'orientation sans peut-être imaginer que les services d'incendie allaient se transformer en service de secours. Pourtant, la menace persistait même si c'était maintenant généralement sous la forme de faibles ou de moyens sinistres. Il reste surtout que lorsque l'incendie prenait des proportions importantes, dont les grands incendies de 1906, 1908, 1911, porteront, pour Lyon, le témoignage, le besoin social de sécurité resurgissait et réclamait des réponses. Enfin, des lenteurs ont pu être admises sur des rapports difficiles entre différentes administrations, avec les officiers du bataillon et dont la presse se faisait couramment le relais.

Notes
1433.

Projets de THIERS et GRINAND.

1434.

Incendie du Théâtre des Célestins ; Incendie de la Rue Centrale.

1435.

Ce sens du cheminement se vérifie encore fréquemment aujourd'hui.

1436.

Le mouvement, entre ces deux dates, détermine également la légitimité des bornes temporelles de cette étude.

1437.

THIERS Ed. - La réorganisation des sapeurs-pompiers de Lyon, Lyon, Association Typographique, 1881,
118 p. 2ème partie, chapitres I et II. Dans cette commission de 9 membres figuraient notamment Mrs BARQUI et CHÉRON, qui avaient fait partie de la commission de réorganisation de 1879 et participaient au conseil d'administration du corps, le conseiller municipal DUBOIS, qui avait en charge les sapeurs-pompiers au sein de l'administration, et des personnalités techniques.

1438.

Idem 332. 2ème partie, chapitre I : projet de défense par la pompe à bras.

1439.

Ibidem 333. Après des mesures, il fut établi que seule une partie de la presqu'île lyonnaise offrait actuellement de telles conditions de rapidité.

1440.

Ibidem 333.

1441.

Ibidem 333.

1442.

Ibidem 333. Il s'agit d'approximations.

1443.

Idem 332. 2ème partie, chapitre II : projet de défense par la pompe à vapeur.

1444.

Voir le document n° 19 : Projet de défense de la ville de Lyon par la pompe à vapeur - THIERS - 1881. THIERS Ed. - La réorganisation des sapeurs-pompiers de Lyon, Lyon, Association Typographique, 1881, 118 p. Chapitre II : projet de défense par la pompe à vapeur.

1445.

THIERS Ed. - La réorganisation des sapeurs-pompiers de Lyon, Lyon, Association Typographique, 1881, 118 p. 2ème partie, chapitre II : projet de défense par la pompe à vapeur.

1446.

Ibidem 340.

1447.

Ibidem 340. Il s'agit d'approximations.

1448.

Idem 340. Conclusions.

1449.

AML, 1270 WP 001 – Sapeurs-pompiers : Organisation et fonctionnement du service, budget, comptabilité ; 1803-1929. Séance du 15/09/1881.

1450.

Idem 344. Rapport du 05/11/1883.

1451.

Documents administratifs et statistiques de la ville de Lyon, Lyon, Imp. Administrative Chanoine, 1882, XLIII-295 p. ; pp.103-108.

1452.

Budget prévisionnel de fonctionnement de 251.000 francs sous le modèle militaire et de 331.000 francs sous le modèle civil.

1453.

Budget prévisionnel de fonctionnement de 238.000 francs sous le modèle militaire et de 300.000 francs sous le modèle civil.

1454.

THIERS Ed. - La réorganisation des sapeurs-pompiers de Lyon, Lyon, Association Typographique, 1881, 118 p. 2ème partie, chapitre II : projet de défense par la pompe à vapeur. Il s'agit d'approximations.

1455.

Procès-verbaux des séances du conseil municipal – 1884 ; vol. 4, séance du 21/10, p. 82.

1456.

VILLE DE LYON. - Sapeurs-pompiers - Commission d'études pour la réorganisation du bataillon des sapeurs-pompiers, Lyon, Association Typographique, 1885, 6 p.

1457.

VILLE DE LYON. - Sapeurs-pompiers - Commission d'études pour la réorganisation du bataillon des sapeurs-pompiers, Lyon, Association Typographique, 1885, 29 p.

1458.

Voir le document n° 20 : Projet de défense de la ville de Lyon sur un système mixte - GRINAND - 1885. VILLE DE LYON. - Sapeurs-pompiers - Commission d'études pour la réorganisation du bataillon des sapeurs-pompiers, Lyon, Association Typographique, 1885, 29 p.

1459.

Idem 352.

1460.

Idem 352.

1461.

Idem 352.

1462.

Les droits constatés au 31/12/1885 étaient de 214.841,77 francs.

1463.

Procès-verbaux des séances du conseil municipal – 1887 ; vol. 2, séance du 16/05, pp. 249-271 ; séance du 14/06, pp. 488-498.

1464.

AML, 1270 WP 001 – Sapeurs-pompiers : Organisation et fonctionnement du service, budget, comptabilité ; 1803-1929.

1465.

Voir le graphique n° 17, page II-276 : Evolution en francs du budget consacré au service d'incendie de la ville de Lyon entre 1853 et 1913.