3. LES POSTES-CASERNES

Un dernier type de bâtiment sur lequel s'appuiera le réseau de distribution des secours contre l'incendie de la ville de Lyon, sur la période 1852-1913, s'établira sur les postes-casernes. Ceux-ci étaient issus du projet de réorganisation, sous un caractère professionnel, de l'unité de sapeurs-pompiers de la cité. Leur formation fut en fait entérinée par la délibération du 24 juin 19072336, prise conformément aux voeux exprimés jusqu'alors sur la finalité à donner à l'institution. Dans le projet, tel qu'il était formulé, la distribution des secours contre l'incendie ne pouvait pas, en effet, seule s'appuyer sur une caserne. Il était indispensable de placer, sur le territoire de l'agglomération, des relais, plus exactement des postes autonomes, capables d'intervenir rapidement et efficacement sur un rayon d'action déterminé. L'idée de ces corps de garde, appelés, dans la formation du réseau lyonnais, postes-casernes, était en fait issue du projet de réflexions proposé par Mr GRINAND, en 18852337. Ce rapport faisait suite aux dysfonctionnements constatés lors de l'incendie de la Rue Centrale, survenu en août 1884. Seulement, ce n'était pas ici une observation soudaine mais le résultat et le constat d'insuffisances dans l'organisation du service d'incendie lyonnais. Ce sont d'ailleurs des traits caractéristiques du fonctionnement de l'unité qui avaient fait l'objet, au lendemain de la destruction du Théâtre des Célestins, survenue en mai 1880, soit 5 ans auparavant, d'un premier travail de réflexions, dressé, à cette occasion, par Mr THIERS2338. Si ce premier document préconisait l'introduction de réformes, aucune ne fut entreprise, en tout cas d'envergure, notamment sur le nouveau projet d'organisation de l'unité de sapeurs-pompiers qu'il contenait. Le rapport GRINAND exprimait donc l'urgence qu'il y avait, à présent, à appliquer de nouvelles dispositions de formation du service d'incendie. La préconisation était d'organiser le corps de sapeurs-pompiers de la ville de Lyon sur une composition mixte, entre personnel engagé civil permanent et personnel des compagnies d'arrondissement2339. A cette fin, le support structurel établissait de s'appuyer sur 3 casernes, 14 petits postes et 23 dépôts de matériel2340. Le ton de la nécessité était donné. Toutefois restait l'exigence du coût financier. C'est ce dernier point qui déterminera un obstacle menant à l'adoption des conclusions de ce rapport, après discussions, qu'en juin 18872341. Quant à la première des exécutions, elle ne verra pas, concrètement, le jour avant février 1890, bien que des projets comme celui de la construction d'une caserne aient été abordés dès 18832342, soit avant le projet GRINAND. Celle-ci fut la création de la section active, néanmoins bien loin, par son effectif de 9 hommes, des 85 sapeurs devant composer l'unité selon les directives du document2343.

Les principes étaient posés mais, en dehors de la création du noyau de l'unité professionnelle, encore que les ouvriers de l'atelier de réparation, créé en 1865, puissent en revendiquer le titre, aucun poste-caserne n'était ouvert. Rien n'était non plus encore fait au moment de la délibération du 24 juin 1907. D'ailleurs, à cette occasion, le projet, qui entraîna cette délibération, ne se formulait plus sur la constitution de 3 postes, 2 lorsque la soustraction est faite du Quartier Central, mais sur 4 créations2344, 3 hors Dépôt Général et sans prendre en compte le poste de l'Hôtel de Ville amené, lui, quoi qu'il en soit, à disparaître. Cependant, seulement 2 furent aménagés qui, de plus, ne fonctionneront que jusqu'en 1913. Le premier poste-caserne à entrer en fonction fut celui de Vaise, dans le 5ème arrondissement2345. Ouvert en juillet 1908, installé au n° 35 de la Rue du Tunnel2346, cette structure, composée de 7 hommes dont 2 sous-officiers, avait essentiellement en charge la sécurité des quartiers du haut des rives de la Saône, particulièrement Vaise et Serin, sans que néanmoins soient imposées de restrictions géographiques à ses interventions2347. Cette création, dont la population du quartier fut informée par voie de presse, déterminait dès lors la suppression du poste de nuit fonctionnant sur cette partie du territoire lyonnais, soit le corps de garde de la Rue du Chapeau Rouge. Devant l'investissement en location et en équipement, ce fut la seule garde de ce type à voir le jour jusqu'à l'année 1910 où fut ouvert le poste-caserne de La Croix-Rousse2348. Cette dernière formation devenait, à présent, urgente en conséquence de la décision du licenciement des compagnies de sapeurs-pompiers d'arrondissement et de la mise à la retraite des hommes n'étant pas autorisés, après concours, à intégrer les rangs de l'unité professionnelle. Ainsi, en mai 1909, il ne restait plus inscrit au registre de matricules de la 4ème compagnie, celle de La Croix-Rousse, que 20 sapeurs2349 ; un effectif qui ne pouvait, à lui seul, assurer les interventions d'autant que, fonctionnant sur le système du volontariat, la disponibilité des hommes était fortement et couramment entravée. Cette situation avait d'ailleurs conduit à l'intervention, de plus en plus fréquente dans cette partie administrative de la ville, du Poste Central, réceptionnant, dans tous les cas, les messages d'alerte, et donc les demandes de secours ; ce qui signifiait qu'était alors, dorénavant, souvent fait appel aux hommes de la compagnie d'arrondissement que pour de menus travaux ou pour la surveillance des décombres, rarement pour un renfort. Seulement, à la différence de la structure implantée à Vaise, dans un local loué par la ville pour un montant annuel de 3.000 francs, le poste-caserne de La Croix-Rousse fut spécialement édifié pour cette affectation au service d'incendie2350.

Après avoir effectué une enquête, conjointe aux services administratifs de la ville et du corps, aucun bâtiment, sur le plateau de La Croix-Rousse, lieu convoité dans la logique du déplacement d'un véhicule, plus simple de haut en bas, comme dans l'écoulement d'un liquide, ne convenait à l'implantation. Aussi, sur une proposition de Mr le Président de la Caisse d'Epargne du quartier, faite en février 19092351, le projet fut adopté, en séance du conseil municipal du 9 août 19092352, d'élever une construction qui serait affectée au service d'incendie. Le projet du président de la Caisse d'Epargne était celui de prendre à la charge de son institution les frais de construction d'un bâtiment destiné à l'installation d'un poste permanent de pompiers et dont le bénéfice serait rétrocédé, contre remboursement, à la ville. Le montant de l'édification envisagée s'élevait alors à une somme totale de 60.146,61 francs selon le projet et les plans dressés par Mr JACQUET, architecte, en 19092353. La ville devenait donc immédiatement propriétaire de l'édifice contre l'engagement du paiement, par annuités forfaitaires de 30, 40 ou 45 ans, du montant de la construction avec la possibilité d'une libération anticipée de ses engagements2354 ; ce qui fut adopté par l'autorité administrative de la cité avec le choix du règlement en 30 annuités sous un crédit qui devrait être inscrit, annuellement, au budget de la ville pour réorganisation et fonctionnement du service d'incendie. Cependant, tout n'a pas fonctionné selon les modalités établies du fait du non-respect de certains articles de lois s'appliquant à la gestion des Caisses d'Epargne. Un courrier du Ministre du travail et de la prévoyance sociale, daté du 21 décembre 1909, alors que les travaux étaient engagés, informait ainsi le préfet du département de l'incompatibilité, selon les articles 10, de la loi du 20 juillet 1895, et 16, de la loi du 12 avril 1906, entre la vocation des Caisses d'Epargne et l'entreprise actuellement menée2355. Conformément à la mention contenue dans ces articles, les Caisses d'Epargne ne pouvaient en fait, en dehors des constructions spéciales à bon marché, acquérir ou construire que les immeubles nécessaires à l'installation de leurs services2356. L'opération entreprise était donc contraire aux actes législatifs. La situation commandait de trouver une solution rapide à présent que les travaux étaient commencés. La seule conclusion était, dès lors, la substitution de la ville à la Caisse. Un crédit exceptionnel d'une somme totale de 60.146,61 francs fut donc ouvert au budget de la municipalité et voté selon une délibération du 18 avril 19102357. Pressé par le temps et la mise en conformité juridique de l'opération, c'était le choix le plus approprié.

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Document n° 37 : Plan en coupe du projet de rez-de-chaussée du poste-caserne de La Croix-Rousse (1909)

Ce n'est pas le seul problème que le service d'incendie, plus exactement, la ville de Lyon, connut avec ce poste. Dans l'urgence du besoin, toutes les procédures de marché n'avaient pas été respectées. Surtout, le devis de construction ne comprenait ni l'installation de l'électricité, ni celle du téléphone2358 ; l'aménagement des locaux affectés aux logements des pompiers ne figurait pas, non plus, au chapitre de ce devis. L'investissement financier était donc plus important que celui qui avait été projeté au moment où fut adoptée la résolution de cette édification au profit de la ville. Ce n'est qu'en ouvrant de nouveaux crédits que ce bâtiment put bénéficier de certains progrès techniques, y compris l'installation dans les appartements qui seraient affectés au logement du personnel, de sonneries d'avertissement électriques, pour la diffusion des alertes et la mobilisation des hommes2359. Si l'arrêté de constitution du poste fut pris le 4 août 1910, réglant d'autre part la composition du personnel, identique à celle du poste-caserne de Vaise, soit 7 hommes, la réception des travaux ne fut faite qu'en décembre 1910 bien que les sapeurs aient pris possession des lieux le 1er octobre2360. Il est difficile de juger de la fonctionnalité de l'édifice, qui fut néanmoins placé sur un point permettant d'intervenir promptement sur différentes parties du 4ème arrondissement au débouché immédiat du local sur le Boulevard de La Croix-Rousse, artère principale de cet espace. A l'époque, la publication La Construction Lyonnaise , du 1er octobre 1910, était pourtant très critique sur l'édifice2361. Certes, à la consultation des plans du projet dressé2362, le bâtiment était d'aspect très sobre, le journal préférant parler, lui, d'un aspect extérieur de propreté. A ces derniers propos était cependant rajouté le fait que la construction était d'une simplicité banale pour laquelle était écrit que rien ne se dégageait des lieux, ni recherche, ni adaptation aux besoins. L'évocation allait jusqu'à mentionner un bon marché discutable2363. L'article se terminait, de plus, sur l'émission d'un avis, présenté, dans la formulation, comme "sincère à défaut d'autres qualités", par lequel était avancé que ce poste, "‘à la rigueur supportable dans un village de banlieue’", n'était pas digne d'une grande ville du rang de Lyon2364. Les reproches les plus manifestes étaient faits à l'encontre de l'aménagement choisi et de la configuration du logement des hommes qui ne correspondaient pas aux critères, à présent couramment admis par la société, dans l'organisation des espaces de vie2365. Il est vrai que la recherche, dans ce cas précis, n'était pas forcément celle de la qualité des modes de vie puisque la résidence des sapeurs était prise en charge par la ville. Cette charge était dès lors affectée au budget municipal et, dans un souci d'économie, certaines dispositions d'aménagement pouvaient être réduites à leur strict minimum ; ce, bien qu'à l'origine l'opération ait été ici réalisée par la Caisse d'Epargne, mais dont le règlement revenait, quels que soient la forme et les délais, à la ville. Les hommes de ce poste étaient logés entre rez-de-chaussée et 1er étage du bâtiment et astreints à un service similaire à celui accompli par leurs homologues de la caserne RABELAIS. Pourtant, ils étaient rémunérés plus faiblement que ceux-ci. Le chef de poste recevait, ainsi, un traitement de 1.200 francs, le sous-chef, de 1.000 francs, et les 5 hommes du rang, de 800 francs chacun2366. Sous l'occupation de cette dernière fonction, la différence était de 1.000 francs entre le sapeur employé au poste de La Croix-Rousse et celui de la Rue Rabelais2367. Cette différence était en fait le fruit de la mise à disposition, dans les locaux du poste-caserne, d'un atelier qui ne servait pas uniquement à la réparation des agrès du service d'incendie. Les hommes, recrutés sur concours, selon des critères d'exercice professionnel très précis, étaient en fait autorisés à occuper leur profession, lorsque les gardes le rendaient possible, soit pour la ville, soit de manière personnelle, du fait de la mise à disposition de l'atelier, d'outils, et dans le cas de travaux dans l'intérêt de la collectivité, de matières premières2368 ; une pratique qui a vraisemblablement dû donner lieu à des abus mais qui permettait aux hommes, sous la forme d'une économie parallèle admise, de compenser la faiblesse de leur traitement par un revenu d'appoint.

Le poste-caserne de La Croix-Rousse fut donc mis en service à la fin de l'année 1910, c'est-à-dire qu'il ne fonctionnait que depuis 3 ans au moment où la décision fut prise de supprimer ce corps de garde ainsi que celui de Vaise2369. Ces deux postes avaient en fait été constitués dans des quartiers formant le Nord et le Nord-Ouest de l'agglomération lyonnaise2370, dans des divisions administratives, soit déjà saturées, soit limitées dans leurs perspectives de développement urbain. Or, l'extension de la cité, et éventuellement les conséquences sous la gestion des risques, était tournée vers les espaces ouverts, ceux situés, essentiellement, à l'Est2371. Bien que l'implantation des locaux à Vaise et à La Croix-Rousse ait correspondu à une logique de couverture des risques, il semble que leurs créations soient intervenues trop tardivement pour rendre les services que la population ou les magistrats municipaux étaient en droit d'attendre de ces formations. D'ailleurs, dans les propos qui motivèrent la décision de ces suppressions étaient exprimées des sorties devenues trop peu nombreuses pour ces postes2372. Ce n'était néanmoins pas le seul argument mis en avant2373 : la substitution de la traction automobile à la traction hippomobile en était un autre, sous l'angle de la rapidité d'engagement des moyens d'action qui fait qu'un véhicule remisé à la caserne RABELAIS pouvait intervenir beaucoup plus rapidement qu'une pompe attelée ; la création au sein du service d'incendie d'une section de pompiers cyclistes2374, destinée à intervenir sur les petits départs de feu ou les feux de cheminée, était une autre raison ; surtout, l'argument qui pesa le plus de poids, était l'intervention quasi permanente du Quartier Central sur toutes les demandes de secours, notamment du fait de la centralisation, en ce lieu, de la réception des appels téléphoniques et des messages d'alerte. Selon les autorités ayant en charge administrative la gestion des services de secours, il devenait inutile, à leurs yeux, de conserver ces postes-casernes2375. Le choix était donc fait de rendre le local loué et d'affecter celui construit spécialement à cette intention à d'autres services. Toutefois, si les arguments se rapprochaient d'une recherche de rentabilité, la perception était bien différente pour la population des quartiers où étaient supprimés les corps de garde. Selon les mêmes sentiments que ceux qui prévalurent lors de la suppression de certains postes de garde nocturne, en 1900-1901, la prévision de ces nouvelles disparitions provoqua de vives émotions, notamment au sein de la population résidant dans le quartier de Vaise2376. Celle-ci estimait perdre, en fait, le bénéfice de l'adaptation du service d'incendie à la géographie de l'espace communal et à la localisation des risques, c'est-à-dire de l'implantation et de la disposition des moyens de secours selon les caractéristiques principales des divisions administratives marquant l'agglomération lyonnaise. Seulement, au moment de cette décision, en 1913, les secours, sous la forme d'un service public, tendaient déjà, et ce, depuis quelques années, à prendre une autre dimension que celle du simple service d'incendie ; une dimension qui imposait de revoir, sous les progrès de la société et du déplacement des risques, la manière de gérer ceux-ci, y compris sur l'implantation géographique des moyens de secours à la disposition du public. En revanche, sous le critère unique de la menace d'incendie, la correspondance, à l'échelle de la ville de Lyon, a manifestement bien été celle du souci d'adapter le mieux possible le réseau de postes et secours aux principales caractéristiques et risques concentrés sur la surface de l'agglomération, même si des industriels ou des pouvoirs ont pu influer sur des choix.

Notes
2336.

Procès-verbaux des séances du conseil municipal – 1907 ; vol. 1, séance du 24/06, pp. 183-187.

2337.

VILLE DE LYON. - Sapeurs-pompiers - Commission d'études pour la réorganisation du bataillon des sapeurs-pompiers, Lyon, Association Typographique, 1885, 29 p.

2338.

THIERS Ed. - La réorganisation des sapeurs-pompiers de Lyon, Lyon, Association Typographique, 1881,
118 p.

2339.

Idem 86.

2340.

Voir le document n° 20, page II-293 : Projet de défense de la ville de Lyon par un système mixte - GRINAND - 1885.

2341.

Procès-verbaux des séances du conseil municipal – 1887 ; vol. 2, séance du 16/05, pp. 249-271 ; séance du 14/06, pp. 488-498.

2342.

AML, 1270 WP 013 – Sapeurs-pompiers : Bâtiments : - Postes-casernes, dépôts de matériel : Création et fonctionnement ; 1802-1911.

2343.

Ce total de personnel sera atteint en 1913.

2344.

AML, 1270 WP 002 – Sapeurs-pompiers : Conseil d'administration du bataillon : - Comptes-rendus de
séances ; 1863-1928. Projet de janvier 1907, succédant au projet de janvier 1906.

2345.

Voir la carte n° 3, page III-447 : Situation spatiale des postes et dépôts du service d'incendie de la ville de Lyon (1905).

2346.

HOURS H. (sous la direction de) - Les rues de Lyon à travers les siècles (XIV ème -XX ème siècles), Lyon Editions d'art et d'histoire, 1990, 288 p. Cette rue est aujourd'hui devenue la Rue du Sergent Michel BERTHET.

2347.

AML, 1270 WP 013 – Sapeurs-pompiers : Bâtiments : - Postes-casernes, dépôts de matériel : Création et fonctionnement ; 1802-1911. Arrêté du 20/06/1908 rendu sur la délibération du 24/06/1907 et en fonction des crédits ouverts au budget de 1908. Selon l'article 1er de cet acte, l'ouverture du dit poste permanent était fixée au 1er juillet. Cette structure ne fut néanmoins, et apparemment, pas effective avant le mois de septembre 1908.

2348.

Idem 96. Arrêté du 04/08/1910 rendu sur la délibération du 24/06/1907 et en fonction des crédits ouverts au budget de 1910 rendant possible cette création. Selon l'article 1 de cet acte, le poste permanent de cet arrondissement ouvrirait à compter du 01/10/10 dans le bâtiment construit à cet effet, soit dans la Rue Claude-Joseph BONNET, 4ème arrondissement de la ville de Lyon.

2349.

Idem 96. Courrier du commandant du corps au maire de la ville de Lyon le 29/05/1909.

2350.

Idem 96.

2351.

Idem 96. Proposition du 15/02/1909.

2352.

AML, 1270 WP 013 – Sapeurs-pompiers : Bâtiments : - Postes-casernes, dépôts de matériel : Création et fonctionnement ; 1802-1911 / Procès-verbaux des séances du conseil municipal – 1909 ; vol. 2, séance du 09/08, pp. 70-72.

2353.

Voir le document n° 37 : Plan en coupe du projet de rez-de-chaussée du poste-caserne de La Croix-Rousse (1909). AML, 3.S.437 1-3 – Plans : Lyon ; Sapeurs-pompiers ; Caserne ; 1909 : Projet de poste de pompiers
Rue Claude-Joseph BONNET.

2354.

AML, 1270 WP 013 – Sapeurs-pompiers : Bâtiments : - Postes-casernes, dépôts de matériel : Création et fonctionnement ; 1802-1911.

2355.

Idem 103.

2356.

Idem 103.

2357.

Idem 103.

2358.

AML, 1270 WP 013 – Sapeurs-pompiers : Bâtiments : - Postes-casernes, dépôts de matériel : Création et fonctionnement ; 1802-1911. Le téléphone figurait pourtant bien, à présent, un outil indispensable dans la communication de l'alerte et la demande de secours.

2359.

Idem 107.

2360.

Idem 107. Réception des travaux le 07/12/1910. Une grève des maçons avait fait prendre du retard dans les travaux.

2361.

La Construction Lyonnaise, n° 19, 01/10/1910, pp. 220-221.

2362.

AML, 3.S.437 1-3 – Plans : Lyon ; Sapeurs-pompiers ; Caserne ; 1909 : Projet de poste de pompiers
Rue Claude-Joseph BONNET.

2363.

Idem 110.

2364.

Idem 110.

2365.

Idem 110 / Idem 111.

2366.

Idem 107.

2367.

Voir le document n° 30, page I-376 : Etat du salaire annuel des sapeurs-pompiers professionnels composant la section active du bataillon de la ville de Lyon pour les années 1896, 1902 et 1906. Le salaire d'un sapeur de 1ère classe engagé à la section active se montait à 1.800 francs en 1906.

2368.

AML, 1270 WP 013 – Sapeurs-pompiers : Bâtiments : - Postes-casernes, dépôts de matériel : Création et fonctionnement ; 1802-1911.

2369.

Procès-verbaux des séances du conseil municipal – 1913 ; vol. 2, séance du 13/10, pp. 122-123.

2370.

Voir la carte n° 3, page III-447 : Situation spatiale des postes et dépôts du service d'incendie de la ville de Lyon (1905).

2371.

A compter de l'application de la loi du 08/03/1912, la ville de Lyon n'était plus découpée en 6 mais en
7 arrondissements. Le 7ème prendra place au Sud-Est de la superficie communale.

2372.

Idem 118.

2373.

Idem 118.

2374.

AML, 1270 WP 001 – Sapeurs-pompiers : Organisation et fonctionnement du service, budget, comptabilité ; 1803-1929.

2375.

Idem 118.

2376.

Procès-verbaux des séances du conseil municipal – 1913 ; vol. 2, séance du 13/10, pp. 122-123.