2. LA PROTECTION DES QUARTIERS EXCENTRÉS

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Carte n° 3 : Situation spatiale des postes et dépôts du service d'incendie de la ville de Lyon (1905)

C'est pour adapter son service d'incendie à la particularité de sa géographie et à l'étendue de sa superficie communale que l'administration municipale lyonnaise autorisera la constitution, sur son territoire, de compagnies auxiliaires annexes au bataillon des sapeurs-pompiers de la ville de Lyon. Comme le montre la carte n° 3, usant du support de plans ayant généralement cours au sein du service d'architecture de la cité entre 1880 et le début des années 1900, la surface de l'agglomération était, à présent, relativement étendue, et ce, depuis l'annexion des communes suburbaines à la ville de Lyon2406. Cette annexion, conformément à la démonstration qui a été faite, avait notamment été rendue indispensable pour que l'ancienne cité lyonnaise puisse désenclaver la partie presqu'île de son espace urbain, soumise à des lourdes pressions, mais également pour bénéficier d'un développement par la périphérie. Seulement, en étendant sa sphère d'influence, la Ville -et donc les autorités qui eurent à en exercer la charge administrative- se devait de faire profiter à l'ensemble du territoire dès lors constitué des progrès réalisés dans la gestion d'une cité d'importance, y compris en matière de sécurité. Néanmoins, les enjeux n'étaient pas les mêmes entre les parties du centre-ville et les secteurs excentrés de l'agglomération. Ces secteurs font en fait référence à ceux qui ont été présentés antérieurement, en fonction de la localisation des dépôts de matériels. Schématiquement, leur position géographique occupait l'extrême Ouest, l'extrême Sud et l'extrême Est de l'agglomération. Parce que ces espaces territoriaux se situaient, justement, en périphérie, le service d'incendie y sera, pendant de nombreuses années, occupé par des hommes de bonne volonté qui évoluaient en marge de la structure composée officiellement, soit le bataillon évoluant, lui, dans la partie urbaine dense de la cité. L'implantation de locaux ayant la forme de dépôts était tout aussi importante que sur le reste de la surface communale et ce, pour rendre exigible la disponibilité de moyens de secours. Du fait de leur excentricité, un secours mettait du temps à être acheminé des postes plus au centre de l'agglomération vers ces secteurs ; surtout qu'avant de pouvoir disposer des agrès, il fallait pouvoir mobiliser les hommes. Il était donc impératif de fixer des locaux où, au moins, du matériel serait entreposé pour éviter d'avoir à l'amener de trop loin ; ce à quoi un acte du conseil d'administration de 1882 donnait un écho lorsque émergeaient, dans les propos, ceux sur des pompes à bras excessivement lourdes, attendu que, lorsqu'il fallait les transporter dans la banlieue de Lyon, dans les chemins boueux et défoncés, cela devenait très dur et très pénible2407. Mais la sécurité incendie n'aurait pas uniquement bénéficié, dans ces espaces, que du concours de l'organisation de sections auxiliaires de sapeurs-pompiers. Elle se serait également appuyée sur la contribution d'industriels et de manufacturiers, mise antérieurement en avant, qui se seraient chargés d'organiser des services de lutte contre le feu au sein de leurs entreprises, et qu'ils mettaient, d'autre part, à la "disposition", peut-être sous la forme d'une bienveillance, des populations ; mais primait, avant toute chose, le caractère de protection d'un bien économique personnel. C'est en tout cas ce qui ressortirait de l'exploitation des rapports de feu ou des rapports dressés au moment de la constitution de certains locaux du service d'incendie dont l'exemple de l'entrepreneur CHATANAY, pour l'année 1863, porte une illustration déjà évoquée2408.

Ces compagnies auxiliaires de sapeurs-pompiers ont, pour partie, vu le jour sur des initiatives prises sous influence face à la menace des destructions par le feu et à la difficulté d'obtenir rapidement, dans ces quartiers excentrés, un secours rapide. La première dont l'histoire de la lutte contre l'incendie dans la ville de Lyon, sur la période 1852-1913, porte la trace fut la division du Point-du-Jour, sur un espace communal situé dans la portion Ouest des limites de la cité2409. Un rapport de l'officier commandant le corps mentionnait, par exemple, l'intervention de cette unité sur le foyer d'un incendie en 18732410. Surtout, dans un courrier de l'administration municipale de 1882, la compagnie était présentée comme existante depuis 13 années, ce qui ferait remonter sa création à la veille de la guerre de 1870, soit en 18692411. En 1882, cette unité, composée de 24 hommes, était pratiquement considérée comme une auxiliaire de la 5ème compagnie d'arrondissement du bataillon de Lyon, section intervenant couramment lorsque le sinistre était d'importance ou que, par manque de précisions, la situation de l'alerte amenait les hommes jusqu'ici2412. Cette division fonctionnait en toute autonomie en dehors du fait que des agrès d'extinction et un matériel de secours étaient mis à sa disposition par les autorités municipales. A l'évidence, les sorties de cette compagnie étaient peu nombreuses et ceci, au regard de l'orientation socio-économique de ce quartier. Celui-ci ne concentrait pas de risques très importants hormis d'éventuelles destructions par propagation encore que le tissu des habitations soit relativement lâche en cet endroit. Le risque était en fait plutôt celui de dévastations d'activités ou de productions liées à une portion de ville se situant à mi-chemin entre monde rural et monde urbain. Néanmoins, en 1882, cette petite unité paraissait rendre suffisamment de services pour que son maintien, mis en péril financièrement, devienne désormais dépendant d'une demande de subvention faite auprès de l'administration municipale2413. La sollicitation portait sur l'inscription au budget d'un crédit de 600 francs dont la concession fut finalement déterminée à 500 francs2414. Le fait que cette compagnie ait fonctionné sous la forme d'une autogestion jusqu'à l'obtention d'une aide pécuniaire des autorités municipales pose, dès lors, la question de la légalité dans l'organisation de cette structure. Une chose est sûre, les hommes qui appartenaient à cette section ne touchaient pas de solde. De plus, puisqu'ils n'étaient pas enregistrés dans les registres de matricules du bataillon, ils n'étaient pas associés aux avantages dont pouvaient bénéficier les sapeurs-pompiers de la ville. L'illégalité était de forme juridique mais la formation correspondait cependant à l'exigence de besoins qui déterminait dès lors une tolérance. Cette absence de "normalisation" aurait fait fonctionner ces petites unités, puisque d'autres furent organisées, comme des associations, tant que les hommes n'étaient pas armés et ne rentraient pas dans le régime commun des sapeurs-pompiers organisés conformément au décret de 1875. Ces faits de composition, les propos tenus par le commandant du corps en 1890, Mr RANGÉ, bien que les paroles de cet homme aient souvent manqué de mesure, tendraient à les confirmer ; notamment, lorsque ce dernier évoquait son projet d'augmentation des effectifs de la 3ème compagnie d'arrondissement. Si les arguments qu'il mettait en avant étaient ceux de la surface importante de cette partie de la cité et de l'implantation d'industries à risque, il abordait aussi celui d'éviter dorénavant d'avoir recours à ces ‘"bandes de pompiers libres, sans discipline et instruction spéciale’"2415. Malgré la rudesse des mots, l'intervention et l'investissement d'hommes dans ces divisions permirent, ponctuellement, que des départs d'incendie ne prennent pas des proportions importantes et entraînent des dommages sérieux. Ces sections rendirent des services jusque très tard sur le XIXème siècle et parfois au-delà.

A côté de l'unité organisée dans le quartier du Point-du-Jour, la composition de deux autres structures de cette classe fut envisagée sur la surface de l'agglomération lyonnaise ; toutes les deux, dans le 3ème arrondissement, division administrative de la cité très vaste, occupant, à l'époque, toute la partie Sud, Sud-Est et Est de la ville de Lyon constituée selon les limites de 1852. L'une fut projetée dans le quartier du Grand-Trou et l'autre établie à Montplaisir2416. Le projet de constitution de la compagnie auxiliaire du Grand-Trou trouvait son origine dans l'organisation d'une réunion publique sous l'initiative des habitants de ce quartier. Celle-ci fut provoquée le 7 novembre 1886 avec pour intention de porter la réflexion sur la composition d'une section de sapeurs2417. La motivation qui conduisait cette détermination des habitants du quartier à se réunir dans le but de former une division auxiliaire de pompiers était celle de suppléer à l'intervention des hommes du bataillon de Lyon, du fait d'une position éloignée des secours. En journée, il fallait, soit attendre la mobilisation des hommes de la compagnie d'arrondissement, cas général à toutes les parties de la cité et légitimant certaines décisions, soit le concours du Poste Central ; dans tous les cas, des délais relativement longs qui pouvaient faire craindre le pire, en fonction des propriétés physiques de la flamme. Surtout que des agrès à disposition, des pompes à bras, du fait de l'implantation de dépôts de matériels à proximité, pouvaient être utilisés, au moins comme un premier secours, en attendant que des engins plus puissants, venus du centre, interviennent en renfort. Cet état ne demandait que la composition d'une structure humaine pour pouvoir disposer des moyens. Suivant la même orientation que la compagnie du Point-du-Jour, ayant obtenu, en 1882, une allocation inscrite au budget de la ville, la demande d'une subvention, suivant un montant équivalent de 500 francs, fut donc faite auprès des autorités2418. Bien que la formation ait été projetée comme l'institution d'une section rurale, qui confirmerait donc le caractère particulier de ces sections auxiliaires, une enquête de police n'en fut pas moins diligentée sur les 21 personnes qui s'étaient présentées pour faire partie des rangs de cette petite section2419. Ce sont là les seules informations accessibles sur le projet. Celui-ci n'a, semble-t-il, en fonction des éléments exploitables, pas vu le jour sous la forme de son intention initiale pour la simple raison que se déterminait, au même instant, le dessein de la formation d'une section à Montplaisir, quartier tout proche2420.

Selon des motivations identiques d'une composition à l'autre, le désir manifesté dans le projet de constitution de la compagnie auxiliaire de sapeurs-pompiers de Montplaisir correspondait à une demande de sécurité d'une partie excentrée de la ville devant les dangers de communication d'un départ de feu2421. La demande officielle de formation d'une unité, dans cette partie de la cité soumise à un fort développement et qui concentrait, du fait d'espaces libres et vastes, la plupart des implantations industrielles issues de l'essor des techniques et des bouleversements économiques, fut faite en août 18862422, peu avant que n'ait été, en fait, provoquée la réunion publique des habitants du Grand-Trou. Dans cette intention précise, rien ne permet de justifier qu'il s'agisse d'une initiative de la population résidente de cet espace ou d'un encouragement des pouvoirs publics dans la formation d'une section de cette classe2423, déchargeant ainsi, pour partie, la responsabilité de la ville qui lui incombait selon la loi de 1790 au sujet de la prévention et de la distribution des secours ; principes réitérés dans la loi communale de 1884. Une demande de subvention fut faite auprès de l'administration qui proposa le vote d'une indemnité annuelle d'un montant, là encore, de 500 francs2424. Au regard du peu d'investissement financier, ces sections pouvaient constituer une aubaine pour les pouvoirs publics dans la disposition de secours car, les hommes n'étant pas soumis à des gardes, ne recevant pas de solde, les dépenses de fonctionnement, hormis le vote d'une subvention, bien modeste, étaient inexistantes. Il n'y avait donc pas de raisons pour que l'administration n'autorise pas le service de semblables sections auxiliaires. Un officier supérieur fut nommé en décembre 1886 pour diriger cette compagnie organisée, donc, dans le quartier de Montplaisir, avec un effectif de formation de 20 sapeurs2425. Comme ce fut le cas à chaque composition, une enquête de police et des fiches de renseignements furent dressées sur les hommes, malgré le caractère singulier de l'unité, amenés à intégrer les rangs de cette division2426. C'est l'ensemble de ces dispositions qui conduira à ce que soient menées les démarches nécessaires à la création de cette section qui, selon une délibération du conseil municipal en séance du 29 mars 1887, sera d'ailleurs réorganisée à la suite de problèmes rencontrés avec l'officier désigné2427. A cette date, le commandant du bataillon, Félix RANGÉ, demandait, de son côté, en exprimant dans ce sens son manque de confiance dans l'efficacité de ces sections, à ce que soit plutôt organisée une nouvelle compagnie d'arrondissement2428, ayant son siège dans le quartier de Montplaisir2429. Celle-ci aurait alors en charge la sécurité et la défense contre l'incendie de ce quartier mais aussi de toute la portion Est de la cité située en fait au-delà de la frontière ferroviaire, soit dans les secteurs, allant du Nord au Sud, de La Villette et Montchat au Grand-Trou, voire La Mouche2430. Cependant, devant la charge financière qu'une nouvelle création imposait et, surtout, en fonction de l'orientation qui allait être donnée au bataillon des sapeurs-pompiers de la ville de Lyon, rien ne fut fait dans ce sens, hormis la constitution de la garde de la Rue Saint-Jérôme. En 1890, au moment où le commandant émettait des propos assez rudes, cités précédemment, à l'égard des sections auxiliaires, les hommes formant la division de Montplaisir exprimaient, eux, le souhait d'intégrer l'effectif de la 3ème compagnie. Cette dernière subissait, en effet, des vacances de postes qui entraînaient des dysfonctionnements dans le service d'incendie. Aussi, les hommes de la section de Montplaisir voyaient, dans ces départs, l'occasion de combler les vides, mais surtout d'intégrer les rangs d'une unité qui les amènerait à bénéficier des avantages concédés aux membres de celle-ci2431. Seulement, devant l'intransigeance du commandant et la perception que celui-ci avait de cette formation, le statu quo fut de mise jusqu'à une décision de 18952432. Face aux vacances au sein de la 3ème compagnie, qui, de toute manière, ne seraient pas comblées au vu de l'orientation nouvelle des secours dans l'agglomération, était donc décidé d'intégrer les effectifs de la compagnie auxiliaire de Montplaisir dans les rangs du corps de sapeurs-pompiers lyonnais2433. Ainsi prenait fin la sauvegarde contre l'incendie de ces quartiers sous les traits de composition d'une section auxiliaire de sapeurs-pompiers ayant fonctionné de 1887 à 1895 et qui aurait pu être assimilée à une association.

La ville de Lyon ne s'est pas appuyée sur la formation de sections auxiliaires que pour la seule protection de ses quartiers excentrés. L'administration municipale avait également autorisé la création d'une compagnie ayant une forme assez proche au moment du conflit franco-prussien de 1870, situation toutefois exceptionnelle2434. A cette occasion, face aux risques encourus du fait de l'appel des hommes du corps sous les drapeaux, du développement des manufactures de guerre dans les murs de la cité, et des craintes exprimées devant un éventuel siège de la ville, une division, issue de la volonté de ressortissants suisses résidant à Lyon, avait en effet été composée2435. En dehors de son caractère de bienveillance, celle-ci ne rendit cependant pas les services pour lesquels elle fut créée puisque la cité n'aura à subir aucun siège. Il n'en demeure pas moins que jusqu'à sa suppression, en avril 18712436, elle apporta ses renforts sur plusieurs incendies et aurait même démontré des qualités fonctionnelles supérieures à celles déployées par le bataillon lyonnais2437, hormis que, dans le contexte, à cet instant, les remarques étaient fréquemment de nature provocatrice et manquaient souvent de recul dans l'analyse. Les sections auxiliaires de sapeurs-pompiers organisées dans les quartiers excentrés de la cité lyonnaise ont fait partie intégrante du réseau de distribution des secours. Seulement, elles ne feront pas de leur service une exigence. Aucune correspondance ne s'effectuait, en dehors du fait de lutter contre les flammes, avec le bataillon proprement dit. Ces unités rendirent néanmoins de notables services. Elles fonctionnèrent en fait devant la crainte de déclarations d'incendie, des dangers de propagation et des délais d'intervention jusqu'à ce que la structure sécuritaire ait été modernisée et qu'elle s'appuie sur un effectif caserné de sapeurs-pompiers permanents. Pourtant cela ne suffisait pas. C'est la conjonction avec le développement des moyens d'alerte et l'extension du réseau d'eau qui fera aussi que l'administration acceptera, par exemple, de voir disparaître, par incorporation dans les rangs du corps lyonnais, la section de Montplaisir2438. Ce sont ces mêmes critères qui, en revanche, laisseront subsister, encore un temps, la section du Point-du-Jour, essentiellement sous la contrainte de déplacements physiques rendus plus difficiles et de difficultés techniques dans l'équipement en réseau urbain d'adduction d'eau de cet espace communal ; et ce, dans un quartier qui avait droit à une protection incendie au même titre que tous les autres quartiers de l'agglomération lyonnaise. Ainsi, le maintien, en ce lieu, d'une section auxiliaire de sapeurs-pompiers pouvait fortement y contribuer.

Notes
2406.

Voir la carte n° 3, page III-447 : Situation spatiale des postes et dépôts du service d'incendie de la ville de Lyon (1905).

2407.

ASPL, n° 408 – Conseil d'administration du bataillon des sapeurs-pompiers ; 18/11/1879-1900. Année 1882.

2408.

AML, 1270 WP 013 – Sapeurs-pompiers : Bâtiments : - Service de la voirie et de l'architecture municipale ; 1856-1873 ; - Postes-casernes, dépôts de matériel : Création et fonctionnement ; 1802-1911.

2409.

Voir la carte n° 3, page III-447 : Situation spatiale des postes et dépôts du service d'incendie de la ville de Lyon (1905). Le nom de ce quartier est porté sur la carte.

2410.

AML, 1270 WP 024 – Sapeurs-pompiers : Incendies : - Rapports ; 1852-1879. Rapport du 02/06/1873.

2411.

AML, 1270 WP 001 – Sapeurs-pompiers : Organisation et fonctionnement du service, budget, comptabilité ; 1803-1929. Courrier du 14/11/1882.

2412.

Ibidem 160.

2413.

Ibidem 160.

2414.

Idem 160.

2415.

AML, 1270 WP 001 – Sapeurs-pompiers : Organisation et fonctionnement du service, budget, comptabilité ; 1803-1929. Courrier de 1890 du commandant au maire.

2416.

Voir la carte n° 3, page III-447 : Situation spatiale des postes et dépôts du service d'incendie de la ville de Lyon (1905). Le nom du quartier du Grand-trou ne figure pas sur la carte mais celui-ci est aisément "situable", au Sud-Est, légèrement au nord du lieudit Moulin à vent et à l'Ouest des Héridaux. Le quartier de Montplaisir est situé, lui, plus à l'Est.

2417.

Idem 164. Compagnie auxiliaire du Grand-Trou.

2418.

Ibidem 166.

2419.

Ibidem 166.

2420.

Idem 164. Compagnie auxiliaire de Montplaisir.

2421.

AML, 1270 WP 001 – Sapeurs-pompiers : Organisation et fonctionnement du service, budget, comptabilité ; 1803-1929. Compagnie auxiliaire de Montplaisir.

2422.

Ibidem 170.

2423.

Sous l'influence, peut-être, d'industriels.

2424.

Ibidem 170.

2425.

Ibidem 170. Mr BOUTEILLE, architecte, d'ailleurs très rapidement destitué de ses fonctions en raison d'une moralité douteuse.

2426.

Ibidem 170.

2427.

Ibidem 170.

2428.

Bien que le "re-découpage" administratif de la ville ne soit pas, à cet instant, à l'ordre du jour.

2429.

Ibidem 170.

2430.

Voir la carte n° 3, page III-447 : Situation spatiale des postes et dépôts du service d'incendie de la ville de Lyon (1905). La consultation de cette carte permet la situation de ces espaces.

2431.

AML, 1270 WP 001 – Sapeurs-pompiers : Organisation et fonctionnement du service, budget, comptabilité ; 1803-1929. Compagnie auxiliaire de Montplaisir.

2432.

Ibidem 180.

2433.

Ibidem 180. Voeu de nouveau émis en séance du conseil municipal du 10/01/1895. Décision entérinée par la délibération du 04/06/1895.

2434.

Idem 180. Compagnie Suisse auxiliaire.

2435.

Ibidem 183. Arrêté préfectoral de composition en date du 30/09/1870.

2436.

Ibidem 183. Décision du 02/04/1871.

2437.

Le Courrier de Lyon du 04/02/1871. Article signé du Docteur CHAPOT.

2438.

L'extension des réseaux, dans le 3ème arrondissement, ne présentait pas d'obstacles particuliers. En outre, le Dépôt Général, abritant l'effectif permanent, était établi sur les limites administratives de cet espace et disposait des agrès d'extinction les plus rapides et les plus puissants.