2. ÉTAT DU RÉSEAU D'EAU

Le développement du réseau d'eau lyonnais reposera sur le traité signé avec la Compagnie Générale des Eaux au moment où celle-ci fut constituée2558. L'objectif était la fourniture en eaux publiques de la ville de Lyon. Selon l'acte, la société s'engageait, à l'exclusion des parties hautes de la cité, à mettre à disposition de la population lyonnaise 90.000 m3 journaliers. Le réseau envisagé allait pourtant vite exprimer ses limites, notamment sous ceux de la quantité, sous un débit, et de la pression, deux paramètres dominants dans le concours à l'extinction des sinistres d'ampleur. Ces facteurs prendront, en outre, une conséquence encore plus significative sous l'usage des pompes à vapeur dont la première fut mise en service à Lyon en 18672559. Jusque là, en dehors de l'usage d'une chaîne de seaux, l'alimentation des agrès d'extinction pouvait également se faire au moyen des bouches d'arrosage servant au service de la voirie. Seulement, avec la mise en service des pompes à vapeurs, le débit, de 300 à 400 l/mn, et la pression de ces bouches d'eau étaient insuffisants pour alimenter, dans de bonnes conditions, l'engin. Il fut ainsi reconnu indispensable, de façon à assurer de manière satisfaisante le service des pompes et intervenir efficacement contre les flammes, de faire établir un réseau spécial de bouches d'eau à destination des moyens de secours2560 ; notamment en plusieurs points de la ville, critiques en ce qui concerne la disponibilité ou l'alimentation en eau. Il importait d'établir des bouches qui aient un débit suffisant pour les pompes à vapeur, c'est-à-dire de 1.200 l/mn. C'est d'ailleurs face à ces exigences que fut décidé le recensement de toutes les sources d'eau de la cité capables, à cette date, de remplir les critères nécessaires à l'approvisionnement de ces agrès en eau2561. Ainsi, des rapports des sergents de ville de 1868 recensaient, par exemple, tous les réservoirs, les puits, les lavoirs, les établissements de bains, les rivières, les industries usant de réserves d'eau, les fossés d'enceinte des forts, les bouches et prises d'eau, proposant donc des retenues utilisables par les pompes2562.

Dans tous les cas, la question des eaux sera primordiale à Lyon, au moins jusqu'aux années 1880, presqu'un comble pour une ville à la confluence de deux cours d'eau majeurs, le Rhône et la Saône. Jusque là, sous le caractère de la disponibilité de l'élément, les quotidiens locaux insistaient fréquemment sur le manque d'accessibilité à l'eau pour les services d'incendie, sous toutes sortes de difficultés, y compris les saisons. Le Courrier de Lyon du 12 juillet 1852 évoquait les hauts quartiers de la cité privés d'eau l'été tout en évoquant la question des eaux lyonnaises comme à l'ordre du jour depuis 40 ans mais qui n'était pas prête d'être résolue. L'Etat-Major du bataillon revenait, en 1859, sur le problème du gel qui rendait les bouches d'arrosage inutilisables sans parler des conséquences sur les conduites et pour lequel il se proposait de construire des coffrets autour de ces orifices2563. L'absence ou le manque d'eau relevaient bien, à cette époque, de la conscience de l'indisponibilité d'un agent essentiel à la lutte contre les flammes. Dans le projet d'améliorer le service des eaux à destination de la défense contre les incendies, Le Salut Public du 22 septembre 1853 écrivait que, en raison des dangers et des conséquences d'un sinistre, il devra rester, la nuit, où les craintes étaient multipliées, une hauteur d'eau dans les réservoirs correspondant à au moins un quart du volume total de la capacité des bassins. Les colonnes de distribution devaient également demeurer en charge et des clés à bouches d'eau déposées dans des lieux marqués et visualisés, préalablement définis par l'administration. Cependant, tant qu'un réseau ne sera pas organisé à destination des services d'incendie de l'agglomération lyonnaise, le fonctionnement et l'efficacité des agrès resteront tributaires des sources jusque là accessibles, avec les risques que cela entraînait parfois2564. Il est ainsi arrivé que les pompes du bataillon aient été alimentées par les eaux du lac des Brotteaux, avant que celui-ci ne soit asséché2565. La Rize, petite rivière traversant des rues du 3ème arrondissement avant de se perdre dans un collecteur proche du Pont Napoléon, alimenta, elle aussi, jusqu'à sa couverture, les agrès lorsqu'un feu se déclarait tout proche2566. Les fossés des forts, situés sur la ceinture Est de l'agglomération, fournirent également des réserves. Lorsque les besoins étaient imposants, il n'était pas rare d'établir des batardeaux dans les rues et dans lesquels les pompes venaient puiser. Le fait que les services d'incendie usent des bouches d'arrosage impliquaient, de manière à éviter les abus, que les cantonniers du service de la voirie interviennent simultanément aux secours pour ouvrir les bouches2567. Ceci causait parfois des retards préjudiciables dans le branchement des engins sur les prises d'eau2568. Dans certaines situations cela pouvait avoir des conséquences terribles si bien qu'un système de gratifications fut institué pour les premiers hommes du service de la voirie arrivant sur les lieux d'un incendie jusqu'à ce que les pompiers soient équipés de leurs propres clefs2569. Toutefois, alimenter les pompes, notamment à vapeur, de telle manière, ne permettait pas de tirer le meilleur parti du bénéfice et des capacités de ce genre de matériel. Il était nécessaire de pouvoir s'appuyer sur la toile d'un réseau principal.

Le projet d'établir un réseau spécial fut soulevé en 18712570. Cela faisait maintenant 4 ans que la ville disposait de pompes à vapeur sans véritables sources capables de les alimenter correctement en débit et en pression. Le voeu était émis face à des craintes, celle de l'incendie, ses effets, ses dommages et ses communications, et des préoccupations, liées à la concentration des populations, l'orientation de certaines parties de la cité et la structure du bâti lyonnais2571. Le projet fut donc envisagé, dans un premier temps, d'équiper les quartiers loin des cours d'eau avec un maillage de 50 bouches spécialement affectées au service d'incendie avec candélabres indicateurs2572. Un crédit de 20.000 francs fut bien voté mais l'intention ne reçut aucune exécution si bien que le crédit fut réouvert peu de temps avant que la ville ne perde à nouveau l'exercice de ses droits municipaux2573. Conclure néanmoins que le réseau était inexistant serait une erreur puisque, par exemple, en 1872, 265 bornes-fontaines et 1.300 bouches d'eau étaient réparties sur le territoire2574. Seulement celui-ci n'était pas adapté au parc technique et matériel du service d'incendie et des quartiers demeuraient mal protégés. Une pompe à vapeur remplaçait couramment l'usage de 4 pompes à bras, hormis qu'à cette date, une bouche d'eau fournissait un débit quatre fois inférieur au rendement maximum de l'engin, ce qui rendait sa mise en batterie peu efficace. Or, si la ville de Lyon s'était équipée de cette classe d'agrès, c'est qu'elle en avait l'utilité, fonction des risques que son agglomération concentrait sans pouvoir cependant en tirer tous les avantages. Face à l'inadaptation du réseau au moment de l'arrivée de ce matériel, la question peut alors se poser quant à savoir si cette acquisition ne fut pas d'abord la recherche d'une valorisation devant confirmer le statut et le rang de la ville de Lyon, y compris en termes de gestion et de maîtrise des risques incendie. Car, par l'achat d'une pompe à vapeur, en 1867, Lyon devenait une des premières villes de France à s'équiper d'un tel engin.

D'autres solutions, en dehors de la constitution d'un réseau spécial, ont été envisagées telle que, par exemple, la multiplication des bouches ordinaires. Ce projet aurait certes eu l'avantage d'augmenter la desserte mais ces prises d'eau étaient réellement insuffisantes, à moins d'une réunion, sous des caractéristiques techniques, pour alimenter les pompes à vapeur. Pour profiter des avantages qu'offraient ces agrès, la solution était bien celle de bouches spéciales qui prendront la dénomination de bouches d'incendie et dont la ville se dotera progressivement. Ainsi, une cinquantaine de celles-ci était en service au moment où THIERS rédigeait son rapport, implantées pour l'essentiel à Vaise et dans les 3ème et 6ème arrondissements2575. Cependant, le réseau de bouches d'arrosage et de bornes fontaines restait le plus facile à étendre. Il ne suffisait que d'augmenter les bouches alors que l'établissement d'un service spécial affecté à la lutte incendie commandait d'établir, dans la plupart des cas, une nouvelle trame. Même dans la constitution du réseau ordinaire, des quartiers comme les 3ème et 6ème arrondissements étaient très mal desservis, ce qui explique qu'ils furent parmi les premiers équipés en bouches d'incendie. En développant ce réseau, il était surtout commode d'établir directement celui-ci là où il n'était pas encore étendu alors qu'il fallait adapter le reste de la trame. Le projet d'un établissement complet de bouches spéciales, au moins sur les points de la cité qui étaient donc dépourvus d'une distribution ou présentaient de forts risques, fut de nouveau remis à l'ordre du jour, en 18742576. Au même moment, était également projeté l'essai de puits pneumatiques du système DONNET dans les quartiers privés de canalisations2577. Car, la question de l'eau devenait de plus en plus cruciale, autant face aux menaces qu'au fait de ne disposer de l'élément qu'en réponse aux concentrations de populations et aux conditions sanitaires2578. Les premières bouches d'incendie qui furent implantées obéirent donc à des logiques de développement, de risques, de distribution et d'efficacité du service d'incendie. Afin que les hommes puissent aisément les utiliser, et avant tout les situer, leur implantation, pour celles à placer, était faite au pied de candélabres2579. Dans le même temps, la décision était prise d'étendre la mesure aux autres bouches en établissant à leur contact des candélabres indicateurs2580. En 1889, ce seront des plaques en fonte fixées aux murs des maisons qui fourniront cette indication du placement des bouches2581. Il existait donc un mobilier public d'incendie dans le paysage urbain des cités. L'intention était ici principalement celle d'une visualisation des prises d'eau lorsque, en saison hivernale, la neige les recouvrait avant que le personnel de la voirie ne reçoive les consignes de dégager ces bouches après chaque chute de neige afin que les sapeurs intervenant perdent le moins de temps possible2582.

Service de distribution ordinaire des eaux et service spécial d'incendie se développeront donc graduellement. Ainsi, à la veille des années 1880, la ville comptait déjà quelques bouches d'incendie et les bornes fontaines, par rapport à l'état de 1872, étaient à présent au nombre de 285 alors que 1.600 bouches d'arrosage étaient comptées2583. Néanmoins, des problèmes persistaient qui font qu'un concours fut ouvert, en 1881, pour régler, une nouvelle fois, la question des eaux à Lyon2584. Edouard THIERS, dans son rapport rédigé en 1881, donnait d'ailleurs un état de la situation du réseau de distribution des eaux lyonnaise en demi-teinte pour ce qui était des conduites et des prises d'eau utilisables par le service d'incendie2585. Selon l'auteur, cela provenait, pour l'essentiel, du fait d'une alimentation de la ville de Lyon sous divers réservoirs et selon quatre services distincts. Ceux-ci étaient, en 18802586 : le bas service, qui concernait la presqu'île de l'agglomération, les quais de cette partie de l'espace, les Brotteaux -6ème arrondissement- et La Guillotière -3ème arrondissement- ; le haut service, qui représentait le plateau de La Croix-Rousse et ses pentes -4ème arrondissement- ; le service de Fourvière, qui desservait les hauteurs de la colline, ses pentes, les quartiers de Saint-Just, Saint-Irénée et remontait, au Nord, aux limites de Vaise ; le service du Parc de la Tête d'Or, peu intéressant en termes de couverture des dangers à la vue de l'orientation de l'espace sur lequel il était organisé. Chacun de ces services de distribution présentait des charges différentes issues de l'utilisation de conduites de diamètres distincts. Le bas service couvrait seulement, de façon correcte, la presqu'île alors que sur les autres portions de son implantation la situation était moyenne, parfois faible, ce qui posait une urgence selon Ed. THIERS. Il importait d'y étendre bouches d'arrosage et bouches d'incendie, notamment face au développement de ces secteurs de la ville et l'orientation des terrains. Avec cette distribution, le débit maximum des prises d'eau était de 300 l/mm, voire 200 l/mn suivant les heures et la consommation2587. Il fallait donc, couramment, le concours de plusieurs bouches pour alimenter correctement une pompe à vapeur. Ceci imposait donc l'établissement de plusieurs longueurs de tuyaux, des branchements et des raccordements, ou l'usage de bâches à eau qui, malgré le maillage de 40 mètres entre les prises d'eau là où elles existaient, ne facilitaient en rien les manoeuvres. L'issue, selon les conclusions du rapport, était bien, encore une fois, celle de l'implantation d'un réseau spécial. Seulement, en fonction de la surface de l'agglomération lyonnaise à couvrir, suivant ce qui existait dans d'autres villes, Paris par exemple, c'est-à-dire des bouches d'incendies sur un quadrillage de plus ou moins 200 m, c'était 550 prises d'eau qu'il fallait établir2588. Le coût financier était dès lors considérable. Malgré les préoccupations sécuritaires mais également vis-à-vis d'autres projets comme celui de la réorganisation du corps de sapeurs-pompiers, c'était difficilement envisageable. L'autre solution, déjà évoquée, était alors d'augmenter le réseau de bouches d'arrosage, incomplet. Au moment de la remise de son rapport, Ed. THIERS recensait 2.250 prises d'eau de cette classe2589. Or, selon lui, les
250 kilomètres de rues de la ville exigeaient, selon une trame de 40 m entre les bouches, que l'équipement soit porté à 6.250 unités2590 ; ce qui impliquait, de nouveau, un coût.
Quoi qu'il en soit, l'état actuel du réseau déterminait, invariablement, la situation critique de quartiers lyonnais dépourvus de tout moyen puissant et rapide de lutte contre le feu, ses effets et ses dangers de communication, du fait de la difficulté à alimenter, convenablement, les agrès d'extinction les plus performants. Ed. THIERS concluait, lui, sur l'urgence d'exécution des projets dans ces parties de la cité2591. Les conditions de mise en batterie des pompes différaient dans la distribution du haut service et dans celui de Fourvière.
Au bas des pentes, la pression et le débit étaient suffisants pour qu'une longueur de tuyau vissée sur une bouche fournisse l'équivalence d'un jet de lance issu de la mécanique d'une pompe à bras2592. L'importance n'était donc pas aussi capitale dans l'équipement en bouches d'incendie de ces parties de la cité, mais l'accroissement du nombre des bouches d'arrosage demeurait nécessaire. Lorsque le bataillon devait intervenir en partie basse de ces lieux, les consignes étaient d'établir les tuyaux et les pompes en profitant, le plus possible, des conditions que procurait le dénivelé dans l'amélioration des dispositions techniques de distribution des eaux2593. En revanche, en partie haute de ces quartiers et des plateaux qui en formaient la tête, créer des bouches d'incendie était indispensable car le débit des points d'eau était insignifiant du fait d'un manque de pression2594. Procéder à l'extinction d'un incendie dans ces parties administratives de la cité imposait de recourir, soit à l'usage de pompes en relais, soit de techniques d'alimentation particulières -le renfort d'une chaîne et l'improvisation de batardeaux-2595. L'urgence, dans l'équipement, était donc sur chaque partie de la cité lyonnaise. Quant au réseau existant, il convenait de le développer, l'améliorer et de le rendre aisément utilisable. A ce sujet, Ed. THIERS revenait sur l'intérêt de visualiser la localisation des bouches à l'attention des services de sécurité de manière à perdre le moins de temps possible dans l'établissement et la mise en batterie d'un engin d'extinction. Ces intentions de voir renforcer, par de nouvelles implantations, la toile des bouches d'eaux seront d'ailleurs reprises dans le rapport du maire, A. GAILLETON, en 18832596, et le projet GRINAND de réorganisation, en 18852597. Au fil des ans, le réseau sera donc régulièrement étendu, des bouches d'incendie et des bouches d'arrosage établies pour constituer, en 1911, une toile respective de 380 et 4.500 prises d'eau2598.

Notes
2558.

GUILLEMAIN Ch. - Histoire des eaux publiques à Lyon (du XVI ème siècle à nos jours), Lyon, Provincia, 1934, 132 p.

2559.

AML, 1270 WP 019 – Sapeurs-pompiers : Demandes, acquisitions et essais de matériels : - Pompes, voitures et échelles ; 1859-1897. Adoption d'un rapport émis par l'autorité préfectorale le 14/06/1867. La pompe est remisée au Dépôt Général en juillet 1867.

2560.

AML, 1270 WP 022 – Sapeurs-pompiers : Installations d'avertissement et de sécurité ; - Bouches d'incendie ; 1859-1898. Correspondance du service d'incendie à l'attention de l'ingénieur en chef des services de la voirie en date du 30/06/1868.

2561.

AML, 1270 WP 022 – Sapeurs-pompiers : Installations d'avertissement et de sécurité ; - Bouches d'incendie ; 1859-1898.

2562.

Idem 310. L'enquête fut menée par chaque commissariat de police de quartier afin de connaître les lieux susceptibles d'alimenter la pompe à vapeur. Vaise était alors présenté comme un quartier où s'écoulaient de nombreux ruisseaux.

2563.

Idem 310. Lettre du 26/12/1859.

2564.

AML, 1270 WP 024 – Sapeurs-pompiers : Incendies : - Rapports ; 1852-1879. Un rapport du commandant en date du 12/06/1858 cite, parmi ses remarques, le fonctionnement d'une pompe rendu défaillant par l'engorgement des pistons produit par l'obligation faite d'utiliser les eaux d'une boutasse, seule source d'eau disponible à proximité.

2565.

Le Salut Public du 18/07/1858.

2566.

Idem 313. Exemple du rapport d'incendie du 08/06/1874.

2567.

AML, 1270 WP 024 – Sapeurs-pompiers : Incendies : - Rapports ; 1852-1879. Exemple du rapport du service de la voirie en date du 19/08/1874. Le Salut Public du 06/09/1873 revenait sur les obligations du service de la voirie lorsqu'une alerte au feu était entendue.

2568.

Idem 316. Dans un rapport d'incendie du 03/05/1859, le commandant du corps revenait sur cette mesure qui faisait que les sapeurs-pompiers ne disposaient pas des clefs ouvrant les bouches à eau, ce qui les obligeait à attendre l'arrivée des cantonniers pour pouvoir mettre en eau. Le Salut Public du 25/08/1862 comporte une référence à ce genre de situation.

2569.

Idem 316. Rapport du service de la voirie en date du 25/09/1873.

2570.

AML, 1270 WP 022 – Sapeurs-pompiers : Installations d'avertissement et de sécurité ; - Bouches d'incendie ; 1859-1898. Séance du conseil municipal du 04/04/1871.

2571.

Ibidem 319.

2572.

Ibidem 319.

2573.

Idem 319. Délibération en séance du 11/02/1873 ayant reçu une approbation préfectorale le 02/05/1873.

2574.

Idem 319. Rapport des services de la voirie le 03/01/1872.

2575.

Voir la carte n° 5, page III-485 : Situation spatiale des bouches d'incendie réparties sur le territoire de l'agglomération lyonnaise en 1880 et 1899.

2576.

Procès-verbaux des séances du conseil municipal – 1874 ; vol. 2, séance du 06/06, pp. 435-438.

2577.

Idem 325.

2578.

Le courrier de Lyon du 23/12/1872 écrivait, à propos de la qualité du réseau et de la lutte contre le feu :
"Il ne convient pas, (...), que, dans un but d'économie mal comprise, on laisse la sécurité publique en péril".

2579.

AML, 1270 WP 022 – Sapeurs-pompiers : Installations d'avertissement et de sécurité ; - Bouches d'incendie ; 1859-1898.

2580.

AML, 1270 WP 002 – Sapeurs-pompiers : Conseil d'administration du bataillon ; - Comptes-rendus de séances ; 1863-1928. Année 1873.

2581.

Idem 329. La décision fut prise à la suite d'un voeu émis par le conseil d'administration du bataillon dans une séance du 13/10/1889.

2582.

Idem 329.

2583.

GUILLEMAIN Ch. - Histoire des eaux publiques à Lyon (du XVI ème siècle à nos jours), Lyon, Provincia, 1934, 132 p. Etat de 1878.

2584.

Idem 332.

2585.

THIERS Ed. - La réorganisation des sapeurs-pompiers de Lyon, Lyon, Association Typographique, 1881,
118 p. ; pp. 89-95.

2586.

Ibidem 334.

2587.

Ibidem 334.

2588.

Ibidem 334.

2589.

Ibidem 334. Selon les chiffres des services de la voirie, la ville ne comptait que 1.954 bouches de cette classe, à cette date. Fonction du tableau dressé par Edouard THIERS, celui-ci n'avait cependant aucun intérêt à augmenter leur nombre.

2590.

Ibidem 334.

2591.

Ibidem 334.

2592.

THIERS Ed. - La réorganisation des sapeurs-pompiers de Lyon, Lyon, Association Typographique, 1881,
118 p. ; pp. 89-95.

2593.

AML, 1270 WP 001 – Sapeurs-pompiers : Organisation et fonctionnement du service, budget, comptabilité ; 1803-1929.

2594.

Ibidem 341.

2595.

Ibidem 341.

2596.

Idem 342. Rapport dressé le 05/11/1883.

2597.

VILLE DE LYON. - Sapeurs-pompiers - Commission d'études pour la réorganisation du bataillon des sapeurs-pompiers, Lyon, Association Typographique, 1885, 29 p.

2598.

Documents administratifs et statistiques de la ville de Lyon, Lyon, Imp. Vve L. Delaroche, 1912, 647 p. ;
p. 48.