C. La transmutation du réel : d’une Eve l’autre.

— Bien-aimée, lorsque tu rêves à haute voix, et d’aventure prononces mon nom, tendre vainqueur de nos frayeurs conjuguées, de mon décri solitaire, la nuit est claire à traverser. 114

Notes
114.

“ Débris mortels et Mozart ”, La Parole en archipel, O. C., p. 388.