1.6.3. Un désordre dans les relations de l’analyste avec son environnement professionnel 

Cette pathologie professionnelle

‘« [...] prend son origine non du côté du patient mais de celui du cadre institutionnel qui le contient et l’enveloppe lui-même. »79

Ce type de maladie professionnelle peut atteindre les analystes les plus avertis du métier. Il menace ceux

‘« [...] dont les peaux psychiques sembleraient devoir être les plus élaborées, et qui s’avèrent fragiles et mal décollées de leurs étayages collégiaux et parentaux. »80

Elle s’exprime surtout à travers l’idéalisation et provient de la part d’inachèvement propre à toute analyse. Selon J. Guillaumin elle connaît trois destins :

Notes
79.

Les enveloppes psychiques, op. cit., p.161. (59)

80.

Ibidem, p.161. (59)