Modernité et christianisme
Le Centre catholique des intellectuels français
(1941-1976)
A Sébastien, Louise et Martin
A mes parents
Monsieur Étienne Fouilloux a dirigé cette recherche et en a suivi le cheminement ; nos rencontres bretonnes ont été pour moi précieuses et vivifiantes, qu’il trouve ici toute ma reconnaissance.
Monsieur René Rémond avec beaucoup de bienveillance a suivi les étapes de ce travail en me faisant bénéficier tout à la fois de son témoignage et de son analyse d’historien, qu’il en soit vivement remercié.
La plupart des acteurs qui ont animé le Centre catholique des intellectuels français ont répondu généreusement à mes questions en m’accordant de leur temps. Ne pouvant les citer tous, on trouvera leur nom dans la bibliographie. Monseigneur Émile Berrar, Monseigneur André Brien, l’abbé Biard, Monsieur et Madame François Bédarida ont tout particulièrement été sollicités. Beaucoup avec confiance m’ont confié leurs documents personnels. Ils m’ont été très précieux. Qu’ils trouvent ici mes remerciements.
Sœur Abel, puis Jean-Baptiste Lebigre du Centre des archives de l’Institut catholique de Paris m’ont accueillie avec beaucoup de gentillesse. L’abbé Ploix du Centre des archives de l’archevêché de Paris, le père Bonfils du Centre des archives jésuites de Vanves, le père Duval de la province dominicaine de France, Madame Olivier-Millot de la Bibliothèque nationale, Mademoiselle Réthoré de la Paroisse universitaire m’ont ouvert leurs archives, qu’ils en soient remerciés.
Je remercie également l’Université Lumière-Lyon II qui m’a accordé une allocation de recherche rendant plus aisé mon travail, et l’Université de Nantes, puis d’Angers qui m’ont accueillie au sein de leur département d’histoire.
Qu’il me soit permis enfin de donner à ces remerciements un ton plus personnel en soulignant que je n’aurais pas réalisé cette thèse sans le soutien de ma famille. Louise et Martin sont nés et ont grandi durant cette recherche Ils m’ont aidée à leur manière à mener ce travail. Quant à Sébastien, il a pendant six ans partagé avec intérêt et patience ce temps, qu’il trouve ici mon affectueuse gratitude.