Je voudrais en premier lieu remercier André Chapon qui m’a encadrée tout au long de ces années, m’a guidée et fait bénéficier de son expérience et de ses conseils. Il m’a fait confiance dès le commencement de ce travail et m’a encouragée dans tous les moments. Sans lui, ce travail n’aurait pas vu le jour. Merci André.
Je remercie Robert Martin pour avoir accepté de diriger cette recherche.
Je remercie à double titre Charles Tijus à qui je suis reconnaissante d'avoir accepté d'être rapporteur et président du jury. Mes très sincères remerciements vont aussi à Anabela Simões à qui je tiens à exprimer ma gratitude pour son aide à Lisbonne, ses encouragements amicaux et pour avoir accepté le rôle de rapporteur.
Je tiens à remercier très cordialement Catherine Thinus-Blanc pour l’intérêt qu’elle porte à ce travail, pour les discussions constructives que nous avons eues, et qui me fait le grand honneur de participer au jury de cette thèse.
Avec toute ma reconnaissance, je remercie :
Toute l’équipe du Lescot et plus particulièrement,
Véronique Guilhon et Philippe Deleurence, pour tout : leurs conseils, leur disponibilité et leur amitié ;
Blandine Lebreton-Gadekbeku, précieuse « garde-fou » en statistiques ; Jean-Jacques Denis, Jean-François Laurens, et Roger Trauchessec, pour leurs conseils techniques et leur participation aux expérimentations;
ainsi que
toutes les personnes qui ont endossé l’appellation « sujet » dont le personnel et les étudiants de la Faculté de Motricité Humaine, celles « d’expérimentateur » comme Madaléna Nunes Magalhães et Carlos Fujão, et José Carvalhais pour son aide en logistique,
et celles qui ont participé, d’une façon ou d’une autre, à la réalisation puis à l’amélioration de ce manuscrit.
Je remercie toutes mes amies qui chacune à leur manière, par leur confiance et leur enthousiasme, ont contribué à me faire oublier les moments de découragement ; Une pensée particulière pour Raquel, uma grande amiga portuguese de sempre, pour toutes ces années de complicité et de réconfort.
De tout mon cœur, Merci Didier, "pour tes astuces pratiques, ton soutien si précieux, ta patience, et tout simplement ta présence qui m’est si chère".
Enfin, un énorme Merci à mes parents, sans oublier Nicolas et Sophie à qui je dédie cette thèse.
La photographie n’est ni une peinture,
ni ... une photographie,
Elle est un TEXTE, c’est-à-dire
une méditation complexe sur le sens.
La photo, c’est comme le mot :
C’est une forme qui veut
tout de suite dire quelque chose.
(Roland Barthes, La chambre claire,
Notes sur la photographie; 1980)
Imagem vale mil palavras
(Une image vaut mille mots)