Symétriquement, on trouvera souvent un paradoxe à la fin d’une strophe ou d’un ensemble de versets. Ce vers, par exemple, est le dernier d’une strophe de dix :
Chacun des suivants vient clore un quatrain :
Celui-ci termine un tercet :
celui-là un groupe de six versets dans « Le Portrait » :
Même les séquences de deux vers trouvent place en fin de strophe :
« À la nuit », p. 474.
« Soir créole », Poèmes, p. 104.
« La fervente Kha-Li ne pouvait se consoler de la guerre », Poèmes, p. 72.
« Une étoile tire de l’arc », Gravitations, p. 165.
« Je vous rêve de loin, et, de près, c’est pareil... », Oublieuse mémoire, p. 487.
« Portrait », Oublieuse mémoire, p. 505.
« Sonnet », Oublieuse mémoire, p. 492.
Gravitations, p. 160.
« La Belle Morte », Gravitations, p. 201.
« Les Amis inconnus », p. 299-300.
« Pour ces yeux verts, souvenir de quels mondes... », Le Corps tragique, p. 627.