La symétrie est ici tellement prégnante qu’on ne s’étonnera pas de la fréquence élevée des chutes paradoxales :
Il arrive du reste que le discours paradoxal prenne en position finale une certaine ampleur :
Évidemment, les séquences longues peuvent aussi bien clore un poème irrégulier ou en prose :
« La Terre », Débarcadères, p. 143.
« Offrande », Gravitations, p. 205.
« L’Enfant et les Escaliers », La Fable du monde, p. 389.
« Des deux côtés des Pyrénées », 1939-1945, p. 408.
« Paris », 1939-1945, p. 410.
« J’aurai rêvé ma vie à l’instar des rivières... », Oublieuse mémoire, p. 487.
« Sonnet », Oublieuse mémoire, p. 492.
« Ce pur enfant », Naissances, p. 543.
« Une apparition tonnante de corbeaux... », Le Corps tragique, p. 599.
« À nos amis hongrois », Le Corps tragique, p. 613.
« Ces longues jambes que je vois... », À la nuit, p. 480.
« Attente », Oublieuse mémoire, p. 531.
« 400 atmosphères », Gravitations, p. 206.
« Rythmes célestes », Le Corps tragique, p. 647.