Pas d’oppositions dans le cadre de référence, donc, mais des structures progressives où domine l’‘« impression [...] d’un glissando sans accroc’ »1196. Face au cosmos, l’anthropos 1197 cherche sa voie. Entre les deux vont immanquablement s’établir des rapports complexes, faits de tensions, d’harmonie et de négociations. Désormais, la problématique s’infléchit. Quel homme, en effet, les paradoxes vont-ils dessiner pour habiter l’univers qu’ils ont largement contribué à construire ? Quelle sera en outre leur incidence sur la représentation des relations humaines ? Enfin, quels types de rapports vont-ils instaurer entre les hommes et leur environnement, et plus précisément les animaux en tant que symboles de l’altérité ?
Gérard Farasse, art. cité, p. 39.
Sur ces notions, v. Groupe µ, Rhétorique de la poésie, op. cit., passim et en particulier p. 85 et suiv.