On ne s’en étonnera pas, la mise en relief et le soulignement glissent parfois vers l’hyperbole, comme dans ces vers où s’exprime le sentiment de solitude né de l’exil :
De même, la vocation de l’homme pour la souffrance ou les effets dévastateurs d’une bombe inspirent au poète des séquences hyperboliques :
Coulé dans la structure de la comparaison, ce type de paradoxe peut du reste s’avérer très expressif, comme en témoigne « Notre ère »1672, où la fragilité du monde est assimilée à celle d’une coupe de cristal.
« Les Couleurs de ce jour », 1939-1945, p. 413.
« Souffrir », 1939-1945, p. 420.
« Finale », Le Corps tragique, p. 604.
L’Escalier, p. 586.