III. Études consacrées à Jules Supervielle

1. Monographies

  1. AUBRY (Laurence), Langage oblique et recomposition d’univers dans l’écriture poétique de Jules Supervielle — Étude stylistique fondée sur les poèmes de Gravitations (1932), La Fable du monde (1938), Oublieuse mémoire (1949) et les récits de L’Enfant de la haute mer (1931), L’Arche de Noé (1938), thèse (sous la direction de Monsieur le Professeur Georges Molinié), Université Paris IV Sorbonne, décembre 1999, 641 p.
  2. ÉTIEMBLE (René), Jules Supervielle, coll. « La Bibliothèque idéale », Paris, Gallimard, 1960, 328 p. [réédité en une version abrégée, Gallimard, 1968].
  3. FAVRE (Yves-Alain), Supervielle : la rêverie et le chant dans Gravitations, Paris, Nizet, 1981, 143 p.
  4. GREENE (Tatiana W.), Jules Supervielle, Genève / Paris, Droz / Minard, 1958, 444 p.
  5. HIDDLESTON (James A.), L’Univers de Jules Supervielle, Paris, José Corti, 1965, 239 p.
  6. JANS (Adrien), Jules Supervielle, Bruxelles, Les Cahiers du Journal des poètes, 1940, 88 p.
  7. LUSSY (Florence de), Jules Supervielle, poète intime et légendaire, catalogue de l’exposition du centenaire (12 décembre 1984 - 8 janvier 1985), avant-propos d’André Miquel, préface de Georges-Emmanuel Clancier, Paris, Bibliothèque Nationale, 1984, 111 p.
  8. PASEYRO (Ricardo), Jules Supervielle. Le Forçat volontaire, Monaco, Éditions du Rocher, 1987, 257 p.
  9. ROBICHEZ (Jacques), «  Gravitations  » de Supervielle, Paris, CDU / SEDES, 1981, 192 p.
  10. ROY (Claude), Supervielle, Paris, Seghers, coll. « Poètes d’aujourd’hui », 1949, 176 p.
  11. VIALLANEIX (Paul), Le Hors venu, ou le personnage poétique de Supervielle, Paris, Klincksieck, 1972, 176 p.
  12. VIVIER (Robert), Lire Supervielle, Paris, José Corti, 1973, 213 p.