4. Ouvrages généraux ou regroupant des études sur plusieurs auteurs

  1. BÉGUIN (Albert), « Jules Supervielle, poète des deux nuits » ; « Jules Supervielle, poète des naissances », Poésie de la présence, de Chrétien de Troyes à Pierre Emmanuel, Neuchâtel / Paris, La Baconnière / Le Seuil, coll. « Les Cahiers du Rhône », p. 285-299 et 300-312.
  2. BLANCHET (André), « Jules Supervielle, poète de l’espace », La Littérature et le spirituel, t. III, Paris, Aubier-Montaigne, 1961, p. 145-162.
  3. BLANCHOT (Maurice), « Oublieuse mémoire », L’Entretien infini, Paris, Gallimard, 1969, p. 459-464.
  4. CLANCIER (Georges-Emmanuel), « Supervielle dans la distance », La Poésie et ses environs, Paris, Gallimard, 1973, p. 175-178.
  5. COLLOT (Michel), « Du vertige de l’horizon aux horizons verticaux », L’Horizon fabuleux, t. II, Paris, José Corti, 1988, p. 71-100.
  6. COLLOT (Michel), « Alchimie de la genèse » ; « Écriture et réparation », La matière-émotion, Paris, P.U.F., coll. « Écriture », 1997, p. 93-125 et 129-159.
  7. DOUMET (Christian) et MARTIN (Jean-Pierre), “Jules Supervielle”, in « Figures du temps », BANCQUART (Marie-Claire) [sous la dir. de], Poésie de langue française 1945-1960, Paris, P.U.F., coll. « Écriture », 1995, p. 119-121.
  8. EIGELDINGER (Marc), « La Théodicée de Jules Supervielle », Poésie et métamorphoses, Neuchâtel, La Baconnière, 1973, p. 155-182.
  9. ÉTIEMBLE (René) « L’évolution de la poétique chez Supervielle entre 1922 et 1934 » ; « Il faut de tout pour faire une fable du monde », Hygiène des Lettres, IV, Poètes ou faiseurs ?, Paris, Gallimard, 1966, p. 298-322 et 323-351.
  10. JACCOTTET (Philippe), « Le Coeur de Supervielle » ; « Notes », L’Entretien des Muses, Paris, Gallimard, 1968, p. 21-25 et 26-30.
  11. JACCOTTET (Philippe), « Vieillesse du poète », Une transaction secrète, Paris, Gallimard, 1987, p. 211-216.
  12. JEAN (Raymond), « Supervielle ou le travail du poète », Pratique de la littérature, Paris, Éditions du Seuil, 1978, p. 254-258.
  13. KADDOUR (Hédi), « Soeur obscure », L’Émotion impossible, Cognac, Le Temps qu’il fait, 1994, p. 25-33.
  14. MICHEL (Jacqueline), « Supervielle et le tracé d’un trait d’union », Le Pays sans nom, Archives des lettres modernes, n° 237, Paris, Minard, 1989, p. 57-102.
  15. NADAL (Octave), « Jules Supervielle ou le rêve surveillé », À mesure haute, Paris, Mercure de France, 1964, p. 269-275.
  16. POULET (Georges), « Supervielle », Études sur le temps humain, t. III, Le Point de départ, Paris, Plon, 1964, p. 109-127.
  17. POULET (Georges), La Pensée indéterminée, t. III, Paris, P.U.F., coll. « Écriture », 1990, p. 104-109.
  18. RAYMOND (Marcel), De Baudelaire au surréalisme, Paris, José Corti, 1966, p. 327-333.
  19. ROUSSEAUX (André), « Supervielle, poète de la nostalgie », Portraits littéraires choisis, Genève, Skira, 1947, p. 325-334.
  20. SABATIER (Robert), La Poésie du vingtième siècle - 1 - Tradition et Évolution, Paris, Albin Michel, 1982, p. 352-371.