1- Le départ sans crise.

L'idée de quitter pour autre chose, sans pour autant être malheureux dans l'enseignement, existe.

Le premier scénario est classique : on y entre sans avoir renoncé à d'autres options. A des moments précis (un sentiment de s’enliser, une carrière peu intéressante...), cette incertitude refait surface.

Le second scénario concerne surtout les femmes qui travaillent à temps partiel et dont le mari assure une sécurité financière. On quitterait alors l'enseignement pour se consacrer davantage à sa famille, pour refaire des études...

Le troisième cas peut être un désir de promotion : quitter lorsqu'une offre plus attrayante parvient, telle qu’un poste de cadre dans le secteur privé. C’est l’orientation également des personnes qui, au fur et à mesure des années, développent un intérêt en dehors de l’école et, à un moment donné, envisagent sérieusement de le poursuivre à temps plein.