C'est d'abord à ma directrice de recherche, Sylvie Schweitzer, que je souhaite faire part de toute ma gratitude. Si son solide soutien et sa grande disponibilité tout au long de cette thèse ont été essentiels, la rigueur intellectuelle qu'elle enseigne est sans doute encore plus précieuse.
Je remercie Michel Beaugars, directeur du Grand Bazar de Lyon jusqu'en 1998, d'avoir mis à ma disposition l'ensemble des archives du magasin et Catherine Barcowiac, cheffe de service à CIRRIC (caisse interprofessionnelle de retraites par répartition pour l'industrie et le commerce), qui a pris le temps rechercher les dossiers de retraite des salarié-e-s du Grand Bazar et qui m'a accueillie dans ses locaux le temps de leur consultation.
Je suis reconnaissante à Marie-Claude Blanc, Laurence Bazin, Raymonde Borderieux, Nicole Roche et Janine Gay, salariées du Grand Bazar, et Pierre Brac de la Perrière, directeur jusqu'en 1985, de m'avoir accordé un peu de leur temps pour des entretiens.
Les chaleureux encouragements prodigués au cours de la rédaction par Marie Chessel et Tania Angeloff ont toujours été très réconfortants.
Et tou-te-s mes proches, celles et ceux qui m'ont supportée (lecture polysémique de rigueur), aidée, relue. Jan Martin Proske avant tou-te-s, pour tout ce qu'il a fait pour moi. Emilie Romand-Monnier, qui m'a apporté une aide considérable et indispensable pour la numérisation et la mise en page de l'ensemble des documents, et Anne Folliet, Boris Chaffel, Christelle Avril, Fabrice Dubreuil, Guillaume Burnod, Thomas Brisson, Yasmine Siblot, Yves de Curraize, ainsi que mes parents.