B. Le Dictionnaire des synonymes

Nous avons construit notre carte sémantique (voir carte n°1 à la fin de ce paragraphe) à partir de trois entrées: "exclusion", "exclu" et "S.D.F." qui figurent en tant que mot-clef dans ce dictionnaire.

Le but de cette carte est de rechercher les termes organisant les liens entre ces trois notions ou, au contraire, vérifier la diversité des champs sémantiques. Nous considérons ces termes comme des nœuds par lesquels se dessine le maillage du sens nous faisant entrevoir un tissu de représentations. Le sens implique ici la signification du mot mais aussi la direction à suivre, afin de se déplacer dans ce réseau. C'est donc sur l'étude de la composante associative que nous avons porté l'accent. Nous avons, là aussi, suivi le cheminement imposé au lecteur en épuisant les systèmes de renvois et nous avons tenté de restituer la place du S.D.F. au sein de cette constellation associative.

Le terme d'exclusion nous conduit vers quatre directions. Pour trois d'entre elles, le cheminement s'avère assez bref. Il s'agit "d'expulsion", "d'exception" et "d'ostracisme". "Expulsion" nous entraîne via "épuration" vers les termes de "purification, affinage et purge". Nous retrouvons ici l'analogie, déjà relevée plus haut dans le Thesaurus, entre l'exclusion et le rejet de ce qui pollue. "Excepté" est à entendre uniquement dans la locution l'exception de", nous n'avons donc pas poussé nos investigations plus loin. Le terme "d'ostracisme" quant à lui s'associe à "hostilité" qui nous conduit vers "opposition" et "haine". Le chemin s'arrête à ces dernières notions, aucun renvoi n'étant accolé aux substantifs correspondants.

La deuxième direction d'exclusion, en revanche, nous ouvre sur un large champ de renvois et c'est par elle que les termes d'exclusion, d'exclu et de S.D.F. se rencontrent. Cette direction fixe l'exclusion dans le cadre du discours actuel puisqu'elle cite en exemple la loi contre les exclusions votée en 1998. A ce stade, le lecteur est renvoyé, afin de compléter sa recherche, aux notions de "marginalisation" et "marginal". La rupture d'avec l'espace social normalisé est consommée et c'est du côté de "l'asocial", du "baba-cool" ou encore du "zonard" que l'association se prolonge. Le référent commun de cette marginalisation est "la non- intégration dans la société de consommation" que nous mettrons en parallèle avec "les plus démunis" cités en exemple à la notion d'"exclusion." L'espace de référence normalisé dont est exclu le "marginal" est d'abord celui de la consommation. J. Baudrillard 279 soulignait que l'objet, dans nos sociétés, n'est pas consommé pour lui-même mais pour le signe social qu'il représente. C'est donc moins le désir de consommer des objets dont il est question qu'un besoin de se différencier et d'exister grâce à ces objets. C'est dans et par l'objet que vont naître les relations interindividuelles et donc un espace de communication entre les hommes. Ainsi, ne consommant pas ou très peu, les pauvres ou les exclus sont d'abord exclus d'un rapport de sens d'avec le monde. Nous retrouvons ici la position développée par la revue Economie et Humanisme 280 associant pauvreté économique et misère culturelle. Cette exclusion culturelle conduit vers une marginalisation déclinée selon trois modalités très différentes: l'opposition à la société, le choix de la non-violence et d'un mode de vie écologiste enfin l'implantation géographique dans la formule stéréotypée des "jeunes de banlieues".

Cette mention de "marginal" va réapparaître, plus loin sur notre carte, en renvoi du mot "pauvre II". Elle est associée, cette fois à la catégorie du "sous-prolétariat" que nous rapprocherons du Lumpen-Prolétariat tel qu'il a été décrit par K. Marx: "une masse nettement distincte du prolétariat industriel, pépinière de voleurs et de criminels de toute espèce vivant des déchets de la société, individus sans métier avoué, rôdeurs, gens sans-aveu et sans feu" 281 . Selon l'auteur, le Lumpen-Prolétariat n'a pas été fortifié par la rude école du travail et c'est cette inutilité et ce parasitisme qui lui sont reprochés. Nous retrouvons ici la dichotomie entre les "bons pauvres", travailleurs exploités et les "mauvais pauvres", oisifs, non inscrits symboliquement dans un lieu ("rôdeurs") et soupçonnés de comportement déviants ("voleurs", "criminels"). Nous noterons de plus la prégnance de l'abject, si le Lumpen-Prolétariat n'est pas associé, lui-même, directement aux "déchets", il est accusé de s'en nourrir et, pire, d'en vivre et c'est peut-être dans cet acte d'incorporation qu'émerge la condition de sous-homme qualifiant le Lumpen-Prolétariat. Celui qui vit des déchets rejetés par le corps social dans toute son aversion n'est-il pas lui-même l'ignoble, l'envers de notre humanité?

Cette dimension du travail et donc de l'utilité sociale se retrouve dans la notion de "paria" que nous pouvons considérer comme un premier nœud. C'est vers elle, en effet, que convergent, sous forme de renvoi définitif, "marginal" mais aussi notre deuxième mot clef: "exclu". Dérivé du tamoul parayan, le terme de paria définissait la caste des intouchables privés de tous droits sociaux, vivant en dehors des villes. Par extension, le terme décrit celui qui est méprisé et repoussé. Le "paria", posé comme synonyme "d'exclu", est défini comme celui "qui a perdu son travail" en lien avec "la société industrielle". La continuité est donc établie entre société du travail et société de consommation comme espace social normalisé. C'est par l'utilité sociale et par le gain, fruit de cette utilité, que la norme de consommation peut être respectée et "l'intégration" dans la société acquise. Cette intégration donne accès aux droits sociaux et inscrit, par là, l'individu dans un statut de citoyen.

A l'inverse, le "marginal" devenu peu à peu "paria" est repoussé de cette sphère et méprisé dans sa différence. Il symbolise l'autre dans toute son infériorité statutaire, un sous-homme sans droits, effrayant, l'envers d'un modèle, celui auquel il ne faut pas ressembler, qu'il ne faut, en aucun cas, approcher et même toucher comme si le simple contact, par quelque obscur pouvoir magique, pouvait imprimer sur l'homme intégré et donc normalisé le sceau de la disgrâce.

Le terme de "paria" qui relie "exclusion" et "exclu" entraîne le lecteur vers le renvoi d'association "pauvre II". Ce renvoi forme un nœud vers lequel va converger notre troisième mot-clef: S.D.F. Cette dimension de la pauvreté et les nombreux sens qui lui sont attribués vont orchestrer le réseau des notions et donc le maillage des représentations. A cet égard, le terme "pauvre" est toujours indiqué dans les mentions d'associations correspondant aux différents renvois dont le mot se fait l'écho: "pauvre" nous conduit vers "petit" qui nous entraîne vers "faible" et qui nous renvoie, en définitive, vers "opprimé" et "pauvre". Même chose pour "misérable" qui nous dirige vers "pauvre" ou bien encore pour "mendiant", dérivé de "pauvre" qui nous entraîne vers "indigent", lui-même renvoyant à "misérable" et "pauvre".

Notre troisième entrée, S.D.F., ne fait pas l'objet d'une définition précise et le dictionnaire s'arrête à la traduction du "sigle". Deux directions de recherche sont fournies au lecteur: "sans-abri" et "pauvre". "Sans-abri" est associé à "sans logis" et boucle avec ce premier terme. L'exemple cité porte sur les "structures d'accueil". Une deuxième série de renvoi accolée à la mention "sans-abri" nous conduit vers "sinistré" et "sans toit" en mettant l'accent sur la perte du logement, définition traditionnelle de la période d'après-guerre. Il est à noter que la mention S.D.F., si elle ouvre sur un champ associatif, n'est pas l'objet, elle-même, de renvois particuliers et ne constitue donc pas une notion de référence contrairement à notre premier mot-clef, "exclusion" que l'on retrouve dans "ostracisme" et "éviction" via "expulsion". Le terme "d'exclu" quant à lui se retrouve en renvoi d'association de "paria".

Le nœud "pauvre", renvoi définitif de "marginal" ainsi que de "sans-abri", et renvoi d'association de "paria" (lui-même renvoi définitif d'exclu), se décompose en deux directions: tout d'abord "pauvre I" conduisant à "méchant I" et "misérable I", ensuite "pauvre II" qui se décline en quatre modalités. Nous noterons que si "marginal" et "paria" nous conduisent uniquement vers "pauvre II", les renvois "défavorisé" et "petit" nous entraînent vers la totalité de "pauvre", ainsi le lecteur, malgré la notation spécifique de la direction du mot "pauvre", se verra confronté, s'il continue sa recherche, à la globalité du champ recouvert par la notion. Ici les liaisons sont nombreuses et les représentations s'entrecroisent au gré des multiples associations.

La piste démarre par "misérable I" sur lequel pointent "pauvre I" et le premier sens de "pauvre II". Les associations relient "malheureux", "indigent, nécessiteux, humble", "populaire, miséreux, tiers monde, quart-monde". La "misère, la médiocrité, le malheur, le labeur besogneux mais aussi la malhonnêteté, la tristesse et la saleté" fondent la modalité de "misérable I". On retrouve, dans cette dernière série de termes, les connotations ambiguës accolées au pauvre, plus particulièrement la dimension normative comportementale ainsi que la thématique déjà rencontrée de l'abject traduite ici en terme de "sale". Trois autres renvois, correspondant tous au quatrième sens de "pauvre II", suivent. Tout d'abord, "faible II" sur lequel pointait déjà "petit", renvoi de "défavorisé", lui-même dérivant de "paria". Les "faibles" sont, ici, décrits comme des victimes: "petits, opprimés, pauvres" dont la "défense" peut constituer un "idéal". Viennent ensuite "mendiant" et enfin "marginal" que nous avons déjà relevé plus haut. Le renvoi "mendiant" est une veine riche à exploiter puisqu'il nous entraîne vers "vagabond I", "vagabond II", "indigent" avant de reboucler sur "pauvre". L'exemple donné par le dictionnaire situe la mendicité dans le champ de la pauvreté: "pauvre qui mendie", mais en fait porter la responsabilité, non pas sur l'individu, mais sur le fonctionnement de nos sociétés: "les sociétés industrielles fabriquent de plus en plus de pauvres". A cet égard, les termes de cette assertion ("industrielles", "fabriquent") font résonner, non pas l'image de notre société contemporaine mais plutôt celle du XIXième siècle et situent, dès lors, la pauvreté et la mendicité dans une problématique sociale vieillie. Néanmoins, l'association "nouveau pauvre" et "quart monde" replace l'exemple dans notre actualité et opère, ainsi, une liaison entre l'exclusion telle qu'elle est entendue aujourd'hui et la question de la mendicité comme fléau social.

Cette réactualisation se retrouve, de façon beaucoup plus prononcée, dans l'exemple donné pour "mendicité". Si "les sociétés industrielles fabriquent les pauvres", c'est "la crise économique qui accroît le nombre de mendiants" ainsi, nous rejoignons l'axe du chômage et de "l'intégration dans la société de consommation" sur lequel s'appuyaient les termes de "marginal", "paria" et "exclu".

Deux renvois d'association, "clochard" et "pauvre" ainsi que deux renvois définitifs, "indigent" et "vagabond II" structurent la notion de "mendicité". Le "clochard" est défini comme "quelqu'un qui vit sans domicile fixe, ni travail, en ville" et nous conduit vers "vagabond I". "Indigent" nous entraîne vers les pistes de "mendiant", "misérable I", "misérable II", "pauvre II" et "nécessiteux". Ce dernier terme met en scène "les familles" aidées par "l'organisation charitable" et représente ainsi l'envers du "clochard" et du "vagabond". Ceux-ci, en effet, ne sont pas décrits comme étant ou devant être assistés, de plus ils sont dépeints dans leur solitude, hors des liens amicaux ou familiaux: "quelqu'un", "une personne", enfin l'association entre "vagabond I" et "errant" par la référence aux "chiens errants ramassés par la police" les positionnent non seulement dans un registre animalier mais aussi dans un comportement déviant à éradiquer (les chiens errants sont soupçonnés d'être dangereux autant par leur colportage de maladies que par leurs réactions imprévisibles et la fourrière est souvent le lieu de leur euthanasie). On notera, de plus, que le sens premier de "vagabond I" amalgame dans une même catégorie "gitans, nomades et errants".

Ainsi, deux directions s'affirment: d'une part, les pauvres pris en charge et objets de toutes les charités, d'autre part les errants condamnés à la solitude et renvoyés à leur propre dénuement.

A cet égard, le clochard qui est décrit comme citadin est différencié du vagabond "qui désigne dans les campagnes une personne sans domicile fixe". Ici, le dictionnaire mêle deux sortes de réalité: celle de la situation personnelle: "le clochard vit en ville" et la réalité du discours "de la campagne" qui désigne, dans la langue qui lui est propre, la "personne sans domicile fixe" par le mot "vagabond". On retrouve d'ailleurs en synonyme de vagabond non seulement le "clochard" mais aussi le "gitan" comme si le dictionnaire opérait, à cet instant, une traduction en langage urbain. Ainsi, le décalage entre les termes ne seraient pas de l'ordre de la réalité de l'objet mais de la différence des langues, celles-ci désignant par des mots distincts la même réalité: un homme seul, sans travail et sans domicile. Le lien unissant le clochard et le vagabond est donc étroit, et "l'errance" pointée par "vagabond II" pourrait aisément s'appliquer au clochard.

Nous avons noté, plus haut, que "l'indigence", renvoi de "mendiant" nous entraînait via "nécessiteux" vers le domaine de la charité mais "l'indigence" nous conduit aussi vers "misérable II". Ce terme est aussi alimentépar "méchant I", renvoi de "pauvre I" auquel estassocié directement S.D.F. Le lecteur rencontre, ainsi, avec beaucoup moins de détours "misérable II" quand il étudie la constellation associée aux individus sans domicile. S.D.F nous entraîne, en effet, vers la totalité de "pauvre" contrairement à exclusion et exclu n'occupant que l'espace de "pauvre I". De plus, les renvois conduisant à "misérable II" sont ceux de "mendiant, vagabond et indigent". Il faudra donc que le lecteur donne une lecture particulière aux termes d'exclusion et d'exclu pour continuer sur cette voie. Rien de tel pour S.D.F. qui nous conduit directement vers "misérable II" où fleurissent les qualificatifs les plus péjoratifs: "gueux, paumé, pouilleux, crève la faim, fauché", "miséreux, traîne misère, meurt de faim", "traîne-savates, va-nu pieds" pour le sens premier. Ici, les connotations de misère et de saleté jouxtent celle de la paresse ("traîne-savates") et de la mendicité errante ("va-nu pieds"). L'amalgame entre les pauvres semble, de prime abord, consommé dans une même appellation (misérable II), toutefois la séparation en trois groupes de notions relativise ce semblant de généralité.

Le deuxième sens, quant à lui, désigne l'individu malhonnête, sans foi ni loi: "coquin, crapule, gueux, bandit". Nous noterons d'ailleurs le double sens de "gueux" désignant autant l'individu pauvre, réduit à mendier que le voleur impénitent. Cette double figure nous semble fort bien révéler les sentiments confus que nous inspire la pauvreté oscillant entre le "bon" ou le "mauvais" et le dilemme que celle-ci nous impose, à savoir la compassion ou la répression.

En guise de résumé, nous tracerons une deuxième carte rappelant les points les plus saillants de notre observation (voir carte n°2 en fin de paragraphe).

Tout d'abord l'alimentation mutuelle d'exclusion et d'exclu par les termes de "marginal" et "paria" qui relient donc directement ces notions. Le syntagme S.D.F., en revanche, n'appartient pas à la même constellation associative et nos trois entrées ne se rejoignent que dans la pauvreté que l'on peut dès lors considérer comme un nœud structurant notre carte nourrissant le jeu des renvois définitifs ou associatifs. Le dictionnaire opère une synonymie entre "exclusion" et "marginalité" et souligne, en outre, que cette marginalité est décrite comme choisie plutôt que subie au moins pour les deux premières modalités qu'elle recouvre ("asocial", "baba-cool"). Le terme "paria", en revanche, met en scène l'exclu dans un statut de victime subissant les affres de la crise économique. Mais les pistes se brouillent puisque "paria" pointe aussi vers "marginal". Ce brouillage atteint son apogée avec le mot "pauvre" qui qualifie, bien sûr, des personnes en état de dénuement mais associe, de surcroît, des notions relatives à l'irrespect des normes sociales et met en scène, dès lors, des individus coupables et responsables de leurs comportements. Si nos trois entrées se rejoignent sur la carte, le champ sémantique de S.D.F. se distingue néanmoins de celui de l'exclu. S.D.F., en effet, pointe sur la totalité de "pauvre" et nous entraîne via "méchant" vers "mauvais, malheureux" et les deux modalités de "misérable". Les termes d'exclu et d'exclusion nous conduisent aussi vers "misérable II" mais le cheminement est plus long et emprunte le pontage de "mendiant, vagabond et indigent", termes se référant à une pratique contrôlée (articles de Code pénal, arrêtés anti-mendicité) et à une absence d'inscription territoriale. "Misérable II" revêt une palette de connotations péjoratives ("traîne-savates, paresseux, pouilleux, crève la faim…") et décrit des individus hors la loi ("crapule, gueux, bandit"). De plus, les termes utilisés se réfèrent à un lexique vieilli et peu usité de nos jours. Dès lors, la constellation associative du terme S.D.F. puise dans des représentations sur lesquelles se lisent des "conserves culturelles" décrivant l'individu sans toit comme une figure historique déviante. Cette dimension se retrouve aussi dans le champ de représentations alimenté par le terme de pauvreté. Loin de se restreindre uniquement au discours véhiculé sur la crise économique et la société de consommation, "pauvreté" nous ouvre sur d'amples constellations associatives inscrivant leurs traces sur nos trois mots-clefs "exclusion", "exclu" et "S.D.F". Ces derniers nous entraînent d'ailleurs irrémédiablement vers cette notion et c'est par sa médiation qu'ils se rencontrent et se chevauchent. Pointant vers la pauvreté, c'est par elle et en elle qu'ils s'alimentent et puisent leur sens. On notera, ainsi, que derrière la nouveauté de ces mots résonne une représentation sourde, un écho à la fois proche et lointain, celui de la pauvreté et de ses représentations les plus extrêmes. Le manque de gains financiers, le chômage mais aussi l'absence de fixité territoriale et l'irrespect des normes sociales communes dressent la carte des victimes subissant leur sort et des coupables aux comportements asociaux. Et c'est dans la résonance de cet écho que les représentations véhiculées sur l'exclu et le S.D.F. se forgent, s'entremêlent et que les discours se propagent inscrivant l'homme sans domicile dans une constellation relevant de la déviance.

B1 Carte N°1: Carte sémantique
B1 Carte N°1: Carte sémantique
B2 Carte N°2: Carte sémantique résumée
B2 Carte N°2: Carte sémantique résumée
B2 Carte N°2: Carte sémantique résumée
B2 Carte N°2: Carte sémantique résumée
Notes
279.

J. Baudrillard, La société de consommation, ses mythes, ses structures, (1970), Denoël éd., 1986.

280.

M. Cornaton, "Pauvreté et misère", Economie et Humanisme, op. cit.

281.

K. Marx, op. cit., p. 58.