I - 1 L’ERRANCE POUR ACCEPTER D’AUTRES REFERENCES

Le premier séjour (mi-décembre 1996, mi-avril 1997) a été un séjour que je qualifierais ’d’errances’. Même s’il a été difficilement vécu, ayant l’impression de ne rien maîtriser, je sais aujourd’hui que c’est cette ouverture qui m’a permis de m’imprégner de certains modes d’actions ; car la seule chose dont j’étais réellement consciente était que lutter ne pouvait mener qu’à l’échec.

L’approche que j’ai menée s’est organisée autour de trois idées de la ville.