Nguyên Kim177.
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Xom Cai178 reflètent cette évolution. Le principe est de ne plus desservir pour chaque escalier que quatre logements par étage. Le rapport à l’espace extérieur est donc direct depuis les fenêtres du logement, dont certaines possèdent un balcon. L’évolution la plus notable, à part dans le cas de petit logements comme dans les cités de relogement179, est la transformation des cellules en appartements, avec des pièces spécialisées par fonction. Le nombre de pièces à éclairer ou à aérer se multiplie, alors que le climat n’impose pas la fermeture des espaces. Deux solutions ont été adoptées. Tout d’abord comme dans les bâtiments de la cité Xom Cai, la création de cours intérieures, qui remplacent les anciens puits d’aération des cellules et gagnent en taille. Puis comme dans le cas de la cité Hung Vuong, des tours de logements dont le développement des façades est plus important ont été adoptées.
cf. plans p. 112 [Les cellules desservies par coursives - les années 1970].
cf. plans p.414 [Les barres - orientées - de Xom Cai].
Lors des opérations de déguerpissement d’habitat spontané et précaire, principalement le long des arroyos, les habitants légaux se voient proposer de nouveaux logements au sein de bâtiments construits à cet effet.
Se reporter à la thèse de Sébastien Wust [2 000].