Actuellement, les pouvoirs décisionnels enferment derrière les constructions sur rues qui se rénovent ou se reconstruisent des ensembles d’habitations dont ils ne connaissent rien si ce n’est leur existence. Les plans du Comité populaire du ph ng sont faux et n’informent que sur la situation approximative des entrées des logements. Ils sont une représentation graphique des adresses administratives des habitants.

Ainsi, avec ces coe urs d’îlot où elle n’intervient que par le biais du comité populaire du ph ng, l’administration gouvernementale montre les limites d’une approche techniciste. Si les institutions du ph ng et les communautés de voisinage représentent une contrainte sociale suffisamment importante pour une gestion du quotidien dont chacun se satisfait ou se contente, aucune évolution de ces cadres de vie n’est envisagée, ni en terme d’amélioration pour ceux dont le niveaux d’hygiène est insuffisant, ni en terme de mise en valeur pour ceux dont la qualité de l’environnement est recherchée.