Certaines situations issues du système collectiviste, qui devait répartir équitablement les richesses nationales, cohabitent donc avec un environnement où chacun se débrouille dans un cadre où le logement a un coût élevé. Cet ensemble de données fait que le bénéficiaire d’un logement étatique et subventionné, entend en tirer profit sur le marché privé si bon lui semble, puisqu’il a une valeur marchande : il s’estime propriétaire du droit de location du logement que l’Etat lui a attribué.
Cet état de fait mène de manière courante à une simple sous-location. Mais à bien y regarder, cette dernière comporte plusieurs effets en chaîne.
A laquelle s’ajoute la hausse du foncier, provoquée par l’Etat afin de mettre en place des J.V. à moindre coût.
Par exemple madame C. à qui un logement a été attribué il y a plus de 10 ans pour un loyer mensuel de 20 000 V.N.Dongs. En 1997, une collègue a eu un logement équivalent, mais le loyer a été réévalué pour cette nouvelle locataire à 100 000 V.N.Dongs.