II - 4 Conclusion - DES ARRANGEMENTS ’REGLEMENTAIRES’

La principale différence entre la gestion d’un îlot et celle des immeubles de logements collectifs est la suppression de l’interlocuteur intermédiaire qu’est le ph message URL ubarre.gif message URL obarreaccent2.gif ng. dans les collectifs. Les services du comité populaire du ph message URL ubarre.gif message URL obarreaccent2.gif ng sont contactés pour atteindre l’institution gestionnaire de l’immeuble, mais exclusivement comme intermédiaire hiérarchique obligatoire et non en tant qu’interlocuteur. Or, j’ai montré que c’est à son échelle que se réalisent les ajustements factuels nécessaires au fonctionnement général.
Il n’existe pas de contact personnalisé entre l’habitant et les institutions gestionnaires des immeubles collectifs du niveau de l’arrondissement ou de la ville. Alors, en fonction de ses intérêts propres, chacun s’applique à s’inscrire au sein des obligations des règlements, le principal restant celui du droit à résider à Hô Chi Minh Ville, et plus précisément à l’adresse voulue. Ce droit est inscrit sur le carnet de résidence du chef du foyer du logement, validé par la police du ph message URL ubarre.gif message URL obarreaccent2.gif ng. Dans les cas plus compliqués d’accession à la propriété, de rétrocession ou de sous-location, les chemins sont multiples mais ont tous en commun de répondre scrupuleusement aux obligations financières du loyer afin de ne pas se mettre hors règlement.

Je voudrais juste relever au sein de ces possibles-interdits, la reconnaissance par un notaire d’état de la propriété de madame H., vietnamienne d’origine mais de nationalité américaine, à qui la loi nationale interdit la propriété de biens immobiliers. C’était pour cette raison que tous les papiers avaient été faits au nom de sa soe ur madame I. Il est possible d’imaginer l’amalgame si un conflit avait éclaté, l’impossibilité à la justice de trancher si comme toujours elle prend en compte le contexte, et donc l’obligation de consensus inhérente636. Madame H. comme madame I. étaient conscientes de cet état de fait, sur lequel leurs rapports personnels d’alors étaient établis.

Notes
636.

En fait, les deux étaient en tort.